Découvrez les Arènes de Nîmes, cet amphithéâtre romain situé dans la ville de Nîmes, dans le Gard, qui a traversé les siècles et continue d’émerveiller par son architecture et son histoire. Dans cet article, nous vous invitons à explorer ce monument emblématique, ses origines, sa construction et son utilisation au fil des siècles.
Origines et construction des Arènes de Nîmes
Construites durant le Ier siècle après J.C, les Arènes de Nîmes témoignent de la grandeur et de l’influence du monde romain. À l’époque, la ville de Nîmes faisait partie de la province romaine de Gaule Narbonnaise et était un important centre commercial et culturel. La construction de cet amphithéâtre s’inscrit dans le développement urbain de la ville, marqué également par la présence d’autres monuments romains tels que la Maison Carrée ou encore la Tour Magne.
Architecture et dimensions des Arènes de Nîmes
L’amphithéâtre de Nîmes est considéré comme l’un des mieux conservés au monde. Il mesure 133 mètres de longueur, 101 mètres de largeur et possède une hauteur maximale de 21 mètres. De forme ovale, il pouvait accueillir environ 24 000 spectateurs répartis sur deux niveaux de gradins. Les Arènes de Nîmes sont composées de pierres calcaires locales et ont été conçues avec un système de voûtes et d’arcs qui assurent la stabilité et la solidité de l’ensemble.
Dans le souci du détail caractéristique de l’architecture romaine, les façades des Arènes sont ornées de sculptures et de bas-reliefs représentant notamment Neptune et Typhon, divinités marines dans la mythologie romaine. Leur disposition est organisée selon les ordres architecturaux dorique, ionique et corinthien, symboles de raffinement et d’harmonie.
Les Arènes de Nîmes à travers les siècles
L’utilisation des Arènes de Nîmes a évolué au fil des siècles en fonction des besoins et des influences culturelles successives. Découvrons quelques-unes des étapes importantes de cette histoire mouvementée.
Fonction originelle : amphithéâtre romain et spectacles antiques
À l’époque romaine, les Arènes de Nîmes avaient pour principale fonction d’accueillir des spectacles publics, tels que les combats de gladiateurs, les courses de chars ou encore des représentations théâtrales. Ces divertissements étaient organisés pour distraire et impressionner la population locale, mais aussi pour témoigner de la puissance et de la prospérité du monde romain.
Moyen Âge et Renaissance : forteresse et habitat
Au Moyen Âge, les Arènes de Nîmes ont été réutilisées comme forteresse par les seigneurs locaux pour protéger la population lors des conflits et des invasions barbares. Des tours fortifiées ont été ajoutées aux quatre angles de l’édifice afin d’assurer sa défense. À l’intérieur de l’amphithéâtre, des habitations ont été construites pour loger plus de 2 000 personnes. La vie quotidienne s’est alors organisée autour des commerces, des ateliers et des lieux de culte qui ont vu le jour au sein même des Arènes.
Cette période sombre a cependant entraîné une profonde dégradation du monument, qui sera progressivement abandonné dès le XVIe siècle avec la Renaissance et le rétablissement de l’autorité royale.
XIXe siècle : restauration et préservation du patrimoine
L’intérêt pour les vestiges du monde romain renaît au XIXe siècle, à l’image de l’écrivain français Victor Hugo qui célèbre la beauté des Arènes de Nîmes dans son ouvrage « Les Voix intérieures ». Les autorités françaises décident alors de lancer des travaux de restauration et de mise en valeur du monument. La première étape consiste à démanteler les habitations et les structures médiévales qui défiguraient l’architecture originelle des Arènes. Puis, des campagnes de fouilles archéologiques sont menées et several projets de restauration sont entrepris pour redonner leur magnificence aux Arènes de Nîmes.
Les Arènes de Nîmes aujourd’hui : entre histoire et spectacle
Actuellement, les Arènes de Nîmes témoignent de leur passé prestigieux tout en continuant d’accueillir des événements divers, faisant ainsi le lien entre l’histoire romaine et notre époque moderne. Parmi les manifestations les plus connues ayant lieu dans cet amphithéâtre, citons notamment :
La Feria de Nîmes, célèbre fête taurine locale qui se déroule chaque année pendant la Pentecôte et la récolte du vin;
Des corridas traditionnelles, perpétuant ainsi la dimension spectaculaire et combative des Arènes;
Des concerts et festivals, comme les « Nuits Musicales » ou encore les « Grands Jeux Romains », reconstituions historiques mettant à l’honneur la culture antique;
Des expositions temporaires et autres animations autour de l’histoire et de l’archéologie.
Ainsi, grâce aux efforts de préservation et de valorisation, les Arènes de Nîmes demeurent un témoin vibrant du patrimoine architectural et culturel du monde romain, permettant aux visiteurs du monde entier de plonger dans l’univers fascinant de cette période riche en découvertes et en émotions.
EN SAVOIR PLUS…La fascinante histoire des Arènes de Nîmes
Situées dans la ville française de Nîmes, dans le département du Gard, les Arènes de Nîmes sont un amphithéâtre romain édifié au Ier siècle après J.-C. Elles comptent parmi les mieux conservées au monde et témoignent encore aujourd’hui de l’incroyable ingéniosité des architectes de l’époque.
Un héritage architectural impressionnant
Bâties en 70 après J.-C., les Arènes de Nîmes étaient conçues pour accueillir entre 20 000 et 24 000 spectateurs lors de divers spectacles offerts aux habitants de la cité romaine. Grâce à leurs deux niveaux, soit 60 arcades chacun, elles mesurent 133 mètres de longueur pour 100 mètres de largeur. Il s’agit du monument public le plus grand de la ville, suivi de près par la Maison Carrée.
L’amphithéâtre romain
L’amphithéâtre ressemble fortement au Colisée de Rome. Il possède une arène elliptique entourée de gradins dont l’accès était réglementé selon la classe sociale du spectateur. L’arène centrale mesure 69 mètres de long sur 38 mètres de large et servait originellement aux combats de gladiateurs, aux courses de chars et aux chasses d’animaux sauvages. Ces spectacles étaient en effet très prisés par l’élite de l’époque.
La particularité des Arènes de Nîmes
Comme la plupart des amphithéâtres romains, les Arènes de Nîmes étaient dotées de dispositifs ingénieux pour optimiser tant le confort que l’acoustique. Parmi ces innovations : un système de galeries souterraines qui permettait une circulation fluide des spectateurs et des participants aux jeux de surface, ainsi qu’un mécanisme subterfuge composé de poulies et de cordages afin d’afficher en temps réel le déroulement des courses de chars à grand rayon d’action, ou encore les systèmes d’entrées secondaires pour faciliter la sortie des animaux sauvages au cours des représentations.
Les différentes fonctions du site au fil du temps
Au cours des siècles qui ont suivi la construction des Arènes, celles-ci sont passés successivement par différents usages :
En 475 après J.-C., les Arènes ont progressivement perdu leur fonction initiale due à l’interdiction du christianisme et se sont transformées en carrière ouverte ;
Au Moyen-Âge, elles ont servi d’hôtel fortifié, puis de base militaire à partir du XVIIe siècle pour protéger la ville contre les troupes étrangères;
Jusqu’au XIXe= siècle, elles ont accueilli tournois médiévaux et fêtes foraines, avant d’être réinvesties pour leur usage originel à l’initiative de Prosper Mérimée et les premiers spectacles taurins voient le jour.
Depuis le XXe siècle, elles sont utilisées également pour des événements culturels, comme des concerts ou spectacles en plein air.
La restauration et la valorisation des Arènes de Nîmes
Afin de préserver cet héritage patrimonial exceptionnel, les autorités compétentes ont entrepris dès le XIXe siècle un travail de restauration conséquent. Des experts spécialistes dans le domaine classique sont régulièrement sollicités pour mener cette démarche dans le respect des règles de l’art.
Le programme de restauration actuel
Les travaux de restauration actuels ont débuté en 2010 et doivent s’étendre sur plusieurs années encore. Le périmètre couvert par ces interventions englobe :
La consolidation et la rénovation des façades extérieures;
Le remplacement total ou partiel de certaines pierres abimées;
Le nettoyage des surfaces par des techniques douces pour préserver la patine du temps;
La mise en valeur de l’amphithéâtre lui-même, ainsi que de ses annexes (tour médiévale, église Saint-Alexandre, etc.), grâce à des dispositifs muséographiques et d’expositions temporaires.
Les événements organisés aux Arènes de Nîmes
Le caractère unique et le patrimoine exceptionnel qui entoure les Arènes de Nîmes en font également un lieu prisé pour l’organisation d’événements culturels dans la ville. Parmi ceux-ci :
Festival de Nîmes : une série de concerts souvent attendus avec impatience par les amateurs de musique française et internationale;
Les Grands Jeux Romains : cette importante reconstitution historique rassemble chaque année des milliers de participants venus du monde entier pour revivre les combats de gladiateurs ou les courses de chars rendues célèbres à travers le monde;
Expositions temporaires : sur des thèmes liés à l’histoire romaine, elles offrent au public l’occasion de découvrir des objets et documents rares prêtés par plusieurs musées nationaux ou étrangers.
L’impact économique et touristique des Arènes de Nîmes
La visite des prestigieuses Arènes constitue une étape incontournable lors d’un séjour touristique dans le sud de la France, notamment en Languedoc-Roussillon. Classées monument historique depuis 1840, elles attirent chaque année près d’un million de visiteurs et génèrent ainsi d’importantes retombées économiques pour la ville et ses alentours, contribuant grandement à la dynamisation de la région.
Les Arènes de Nîmes
C’est dans ce lieu magique, empreint d’histoire, que de nombreux artistes et groupes prennent plaisir à venir se produire pour des spectacles culturels et festifs où se pressent un public local et international, notamment lors d’un festival bien connu le Festival de Nîmes.
Où se situent les Arènes de Nîmes ?
Joyau de la Romanité, cet amphithéâtre est situé au cœur de la commune de Nîmes ou Nemausus, citée prospère sous l’Empire Romain, aujourd’hui préfecture du département du Gard, en Occitanie, dans le sud de la France. Nîmes, avant-poste important au temps de l’Empire romain, est connue pour ses monuments bien conservés, comme la Maison Carrée, La Tour Magne ou encore le Temple de Diane.
Cet amphithéâtre conçu pour le spectacle et communément appelé « Arènes de Nîmes » ; de part son origine latine « arena » qui signifie aire de sable où se déroulent les courses ; fait partie des plus grands amphithéâtres de la Gaule Romaine les mieux conservés du monde antique.
Qui a construit les Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes, pensées sur le modèle du Colisée à Rome, ont été construites vers 100 après J.C sous le règne de l’Empereur Auguste. Toujours en usage pour des concerts, des représentations théâtrales, des manifestations sportives et des corridas pendant les férias, cet édifice a été bâti à l’époque romaine pour accueillir des spectacles de gladiateurs qui aujourd’hui revivent au travers de ludi (jeux du cirque)reconstitués chaque année, fin avril, lors des Grands Jeux Romains.
Cette ellipse mesure 133 mètres de long sur 101 mètres de large. Les Arènes de Nîmes possèdent une piste centrale ovale de 68 mètres de long sur 38 mètres de large. La corniche sommitale est située à 21 mètres de haut. Sa forme permet donc d’éviter tout angle mort quelque soit la place occupée et d’avoir une vue incroyable de l’ensemble, en plein air.
Réparties sur 2 étages, 120 arcades sont séparées par 60 colonnes surmontées de blocs en saillie, percés et destinés à recevoir un mat afin d’y tendre des câbles soutenant un Velum (voile immense) protégeant les spectateurs du soleil.
A l’intérieur des Arènes de Nîmes, le système de galeries et d’escaliers, appelés « vomitoires », a été pensé pour éviter les bousculades et faciliter la circulation. Le système architectural permet ainsi de vider l’édifice en un temps record et en toute sécurité.
Combien de places aux Arènes de Nîmes ?
A l’époque Romaine, les Arènes de Nîmes pouvaient accueillir 24 000 spectateurs, sur 34 rangées de gradins réparties en 4 zones. Chaque zone était réservée à une catégorie sociale. Les plus hauts placés socialement étaient placés le plus bas dans les arènes, c’est-à-dire au plus prés du spectacle.
Aujourd’hui la capacité d’accueil a été réduite puisque des rangées de gradins ont été détruites. Les Arènes de Nîmes peuvent accueillir près de 13 800 spectateurs en position assise.
Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Quelque soit votre emplacement, la vue sera magnifique, mais plus vous serez placés dans le bas des gradins, plus vous serez proches de(s) artiste(s). En définitive, ceux qui souhaitent profiter du concert en étant à quelques mètres de la scène, avec un certain confort, optez pour la catégorie 1 ou carrément le carré Or.
Pour ceux qui veulent vivre une expérience plus intense, au cœur de l’ambiance, assez proches de la scène, et emportés par la foule, optez pour la fosse c’est-à-dire débout (catégorie 3). Attention pour certains spectacles, les places assises occupent la fosse. Dans ce cas vous aurez accès à 2 catégories en fosse : carrée or (tout devant) ou catégorie 1.
Si vos moyens sont plus limités et que vous ne souhaitez pas vous mêler à l’euphorie de la fosse, choisissez une vos places dites « en général » avec placement libre ou en catégorie 2 (places choisies). Elles seront situées aux points les plus hauts.
Enfin, à éviter si vous ne voulez pas louper une miette du show et que vous êtes sensibles aux ondes sonores, la catégorie 4. Ces places sont en fait des sièges situés sur le côté de la scène, à la même hauteur que les places en catégorie 1. Vous serez certes bien placés mais la visibilité ne sera pas optimisée. Et équipez vous de bouchons d’oreille ou d’un casque car niveau décibels vous serez servis.
Peut on visiter les Arènes de Nîmes ?
Même si les Arènes de Nîmes sont classées aux monuments historiques, elles ne sont pas inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco. Depuis qu’Edeis a repris la gestion en 2021 en délégation de service public, une nouvelle visite est proposée aux touristes avec un audio-guide en sept langues, des panneaux pédagogiques ainsi que des espaces muséographiques.
Il est donc possible grâce aux nouvelles technologies et à la bonne conservation du lieu, de se plonger à l’époque de nos ancêtres les romains.
Les arènes de Nîmes sont ouvertes tous les jours sur des amplitudes horaires allant de 9h à 20h selon les saisons et les périodes de l’année. La visite des arènes n’est toutefois pas autorisée lors des fêtes, spectacles et férias. Il est facile de stationner puisque des parkings souterrains sont situés tout autour du site et dès la Gare Feuchères, située à quelques dizaines de mètres de l’édifice.
Le festival de Nîmes: le festival des les Arènes de Nîmes
Le Festival de Nîmes est un événement annuel de musique qui se déroule dans la ville de Nîmes, dans le sud de la France. Depuis sa création en 1997, il est devenu l’un des événements musicaux les plus importants de la région, attirant des milliers de visiteurs chaque année.
Le festival se déroule chaque été, généralement en juin et juillet, dans l’amphithéâtre romain de Nîmes, qui est l’un des plus grands et des mieux préservés de l’Antiquité. L’amphithéâtre peut accueillir jusqu’à 16 000 spectateurs et offre une expérience de concert unique avec ses gradins en pierre et son acoustique exceptionnelle.
Au fil des ans, le Festival de Nîmes a accueilli de nombreux artistes de renommée internationale, tels que Bob Dylan, Sting, Elton John, Muse, Metallica, Coldplay, Depeche Mode et bien d’autres. Les concerts sont généralement organisés sur plusieurs jours et offrent une variété de styles musicaux, allant du rock et du pop au reggae, à l’électro et à la musique du monde.
Outre les concerts dans l’amphithéâtre romain, le festival propose également des spectacles dans d’autres lieux de la ville, tels que la Maison Carrée et la Tour Magne. Il y a également une foire aux vins qui propose des dégustations de vins locaux et régionaux ainsi que des produits artisanaux.
Le Festival de Nîmes est une occasion unique de découvrir la beauté de l’amphithéâtre romain tout en profitant de la musique live de certains des artistes les plus célèbres au monde. C’est un événement incontournable pour les amateurs de musique et les passionnés d’histoire et de culture romaine. Si vous envisagez de vous rendre à Nîmes pour le festival, il est recommandé de réserver vos billets et votre hébergement à l’avance car les places sont souvent limitées et se vendent rapidement.
FAQ sur les Arènes de Nîmes
1. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes ?
La capacité des Arènes de Nîmes varie en fonction des événements organisés. Lors de spectacles et concerts, l’amphithéâtre peut accueillir environ 13 000 spectateurs. Cependant, en configuration historique pour les jeux romains, la capacité des Arènes de Nîmes était estimée à environ 24 000 personnes, ce qui montre l’ampleur de cet édifice romain.
2. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes pour les concerts ?
Lors des concerts, la capacité des Arènes de Nîmes est légèrement réduite par rapport à sa capacité historique. Selon la configuration scénique et les dispositions de sécurité, l’arène peut accueillir jusqu’à 13 000 personnes, assurant une ambiance intime malgré la grandeur de l’espace.
3. Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Les meilleures places aux Arènes de Nîmes pour assister à un concert ou un spectacle dépendent de vos préférences. Pour une vue panoramique, les places situées au sommet de l’amphithéâtre offrent une vision globale de l’arène. Si vous préférez être plus proche de l’action, les places situées au niveau des gradins inférieurs sont idéales. Les places VIP ou de catégorie supérieure, généralement situées au centre, sont aussi très prisées pour leur proximité avec la scène.
4. Combien de places y a-t-il aux Arènes de Nîmes ?
En fonction de la configuration, le nombre de places aux Arènes de Nîmes peut varier. En version concert ou spectacle moderne, la capacité est d’environ 13 000 places. En version historique, lors des spectacles de gladiateurs ou d’événements sportifs dans l’Antiquité, elle pouvait atteindre près de 24 000 places.
5. Quelle est la hauteur des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes mesurent environ 21 mètres de hauteur. Cet édifice monumental, construit au 1er siècle après J.-C., impressionne par ses proportions et la qualité de sa préservation. La structure comporte deux étages d’arcades et une série de galeries internes permettant la circulation des spectateurs.
6. Comment est organisé le plan des places pour les concerts aux Arènes de Nîmes ?
Le plan des places pour les concerts aux Arènes de Nîmes est généralement divisé en plusieurs catégories. Les places les plus proches de la scène se situent dans la zone centrale de l’arène, suivies par les gradins inférieurs, puis les gradins supérieurs. Ce système permet à chaque spectateur de bénéficier d’une excellente vue, tout en tenant compte de la configuration historique des lieux.
7. À quoi servaient les Arènes de Nîmes à l’époque romaine ?
À l’époque romaine, les Arènes de Nîmes servaient principalement à accueillir des spectacles de gladiateurs, des combats d’animaux et d’autres événements publics. Construites au 1er siècle après J.-C., elles représentaient un centre majeur de divertissement pour la population de l’époque, un peu comme les stades de football aujourd’hui.
8. Quel est le nombre de places disponibles aux Arènes de Nîmes pour les événements modernes ?
Le nombre de places disponibles aux Arènes de Nîmes pour les événements modernes, tels que des concerts, des festivals ou des spectacles, est d’environ 13 000. Cette capacité est optimisée pour garantir le confort et la sécurité des spectateurs tout en conservant l’authenticité du lieu.
9. Quel est le plan des Arènes de Nîmes pour les concerts ?
Le plan des Arènes de Nîmes lors des concerts varie en fonction de l’événement, mais il est généralement organisé en trois zones principales :
La fosse : située directement devant la scène pour les spectateurs souhaitant être au plus près de l’action.
Les gradins inférieurs : offrant une excellente vue sur la scène tout en étant légèrement surélevés.
Les gradins supérieurs : idéals pour une vue d’ensemble et pour les personnes préférant une vision panoramique.
10. Quelle est l’histoire des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes, construites à la fin du 1er siècle après J.-C., sont l’un des amphithéâtres romains les mieux préservés au monde. Leur architecture est inspirée du Colisée de Rome, mais avec des dimensions plus modestes. Au fil des siècles, elles ont servi à de multiples usages, allant des spectacles de gladiateurs à la forteresse médiévale, et aujourd’hui, elles accueillent des concerts et des événements culturels majeurs.
11. Combien de places étaient disponibles dans les Arènes de Nîmes à l’époque romaine ?
À l’époque romaine, la capacité des Arènes de Nîmes était d’environ 24 000 places. L’amphithéâtre pouvait accueillir une grande partie de la population de Nîmes et des environs, pour des spectacles de gladiateurs et d’autres événements publics.
12. Comment accéder aux meilleures places dans les Arènes de Nîmes ?
Pour accéder aux meilleures places des Arènes de Nîmes, il est conseillé de réserver tôt, notamment pour les événements très populaires. Les places situées au centre de l’arène ou dans les gradins inférieurs sont généralement les plus recherchées pour leur proximité avec la scène et leur excellente vue.
13. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes en fonction des événements ?
La capacité des Arènes de Nîmes varie en fonction du type d’événement. Pour les concerts et spectacles, elle est d’environ 13 000 places, tandis qu’à l’époque romaine, elle pouvait atteindre 24 000 personnes lors des combats de gladiateurs et autres spectacles publics.
14. Pourquoi visiter les Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes sont un monument incontournable pour quiconque s’intéresse à l’histoire romaine et à l’architecture ancienne. Non seulement elles sont parfaitement conservées, mais elles continuent de vivre aujourd’hui grâce aux événements culturels qui y sont organisés. C’est un mélange parfait entre histoire et modernité, qui vous permet de marcher dans les pas des spectateurs romains tout en assistant à des concerts de légendes du rock ou de la musique classique.
15. Quelle est l’importance historique des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes représentent un témoignage exceptionnel de l’ingéniosité romaine en matière d’architecture et de divertissement public. Elles ont survécu à des millénaires d’histoire, servant à la fois de stade, de forteresse, et aujourd’hui de salle de spectacle moderne. Leur importance historique réside dans leur capacité à avoir traversé les âges tout en restant un centre de vie culturelle, faisant le lien entre le passé glorieux de la civilisation romaine et notre époque contemporaine.
Hormis Mick Rock, Peu de stars du rock’n’roll ont mieux compris la relation symbiotique entre la musique et l’image. David Bowie a avec le photographe Mick Rock, trouvé le partenaire créatif idéal.
Chargé de faire un article de photojournalisme par le bureau londonien du magazine Rolling Stone, Mick Rock se rendit à un concert de Bowie à la mairie de Birmingham en mars 1972 et noua une relation immédiate avec le gourou du glam rock, juste au moment où il se métamorphosait en son Ziggy Stardust.
Mick Rock est un photographe britannique mondialement connu pour son travail de photographie de rock et de musique. Né en 1948, il a commencé sa carrière artistique dans les années 1970, travaillant en étroite collaboration avec des artistes tels que David Bowie, Lou Reed et Iggy Pop pour créer des images emblématiques du mouvement glam rock.
Mick Rock est souvent considéré comme le photographe le plus célèbre du mouvement, ayant contribué à définir son esthétique flamboyante et colorée. Au cours de sa carrière, il a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Lifetime Achievement Award du Classic Rock Roll of Honour Awards en 2011.
Les œuvres de Mick Rock sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, faisant de lui l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique rock.
Avant sa disparition le 18 novembre 2021, Il continuait à travailler en tant que photographe et avait publié un livre de photographies intitulé « Mick Rock: The Rise of David Bowie, 1972-1973 ». Il travaillait également sur des projets tels que la création d’une installation artistique pour la station de métro de Tottenham Court Road à Londres. En plus de son travail de photographie, il était également impliqué dans des projets de musique et de cinéma, travaillant notamment sur la bande sonore du film « The Velvet Underground ».
Retour sur la vie de cet artiste incontournable.
Mick Rock : photographe de Bowie
Mick Rock, décédé à l’âge de 72 ans, est devenu le photographe personnel de Bowie alors que son profil a grimpé en flèche avec la sortie de son cinquième album studio, The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars, en juin 1972, et a capturé certains des meilleurs souvenirs images de l’étoile mercurielle.
Mick Rock
Celles-ci comprenaient la photo de Bowie et du guitariste Mick Ronson en train de déjeuner dans un train pour Aberdeen, et la célèbre photo provocante de « fellation » du duo sur scène à la mairie d’Oxford.
Comme Mick Rock l’a expliqué plus tard, probablement avec ironie : « Tout ce que David essayait de faire – et il me l’a expliqué plusieurs années plus tard, lorsque nous avons fait le livre Moonage Daydream – était de mordre la guitare. »
Mick Rock jouissait d’un accès intime unique à Bowie (« Je l’ai eu dans sa culotte, juste en train de camper »), et le charisme pionnier de Bowie a attiré d’autres musiciens tels que Lou Reed et Iggy Pop dans son orbite.
Mick Rock était toujours présent avec son appareil photo. Il a pris la photo définitive d’un Reed aux yeux de panda et à l’air mélancolique pour la couverture de son album solo à succès Transformer (1972), et a mis en sac l’image de couverture dramatique d’un Pop torse nu pour Iggy and the Stooges’ RawPower LP ( 1973).
Sa photo de pochette pour Queen’s Queen II (1974) faisait écho de manière mémorable à une image de Marlene Dietrich du film Shanghai Express de 1932 (« Personne n’a jamais été plus glamour que la divine Mme Dietrich », a déclaré Mick Rock), et Queen l’a revisitée dans leur vidéo pour Bohemian Rhapsody en 1975.
1977 :Mick Rock s’installe à New york
Après avoir voyagé à New York en tournée avec Bowie en 1972, Mick Rock s’est de plus en plus entiché de la ville et s’y est installé en 1977. « Il ne fait aucun doute que New York était plus sombre, plus dépravée que Londres », a-t-il déclaré à l’intervieweur Barney Hoskyns.
Mick Rock
« Lou Reed m’a emmené dans des endroits que vous n’auriez jamais trouvés à Londres. » Mick Rock s’est inévitablement retrouvé à photographier des icônes de la scène new-yorkaise comme les Ramones et Debbie Harry de Blondie, et a chéri son cliché de Mötley Crüe dans un bain moussant (« le groupe le plus sale, le plus méchant des années 80, que Dieu les bénisse »).
Mick Rock n’aimait pas parler de ses antécédents et de son éducation, commentant que « je n’aborde pas cela normalement parce que je ne pense pas que ce soit nécessaire », mais il était généralement admis qu’il était né à Hammersmith, Londres, son ses parents Joan et David Rock, ce dernier étant fonctionnaire au ministère du Travail.
Cependant, Mick Rock a jeté un éclairage différent à ce sujet dans une interview de 2017 avec le site Web The Talks . Il a décrit comment il avait été conçu lorsque sa mère mal mariée a eu une liaison avec un aviateur américain, qui est ensuite retourné aux États-Unis. Il a affirmé qu’il avait eu deux certificats de naissance, dont le premier le nommait Michael Edward Chester Smith.
Cependant, c’est sous le nom de Michael Rock qu’il a fréquenté l’école indépendante Emanuel de Battersea, avant de décrocher une bourse au Gonville and Caius College de Cambridge, où il a obtenu un diplôme en langues médiévales et modernes.
À Cambridge, il a d’abord commencé à expérimenter la photographie, en acquérant « un appareil photo Pentax cabossé d’un compagnon pour 40 livres », et là, il a rencontré le garçon local Syd Barrett , membre fondateur de Pink Floyd. Mick Rock photographierait Barrett pour son premier album solo, The Madcap Laughs (1970), avec la couverture arrière représentant une femme nue, et a également pris la photo centrale de l’album Meddle de Pink Floyd en 1971.
Mick Rock s’est immergé avec enthousiasme dans le style de vie des artistes qu’il a photographiés et a admis que «à la fin des années 80, début des années 90, mon problème de cocaïne était devenu complètement hors de propos. Je pouvais encore tirer, mais le reste de ma vie était une épave. Il a divorcé de sa première femme, Sheila (également photographe), et s’est remarié avec Pati (qui travaillait dans l’immobilier).
Mick Rock
En 1996, il a subi un quadruple pontage et une greffe de rein, sa facture médicale payée par l’ancien manager des Rolling Stones, Allen Klein , et a ensuite connu une renaissance de carrière. Il avait été irrité par le tag « Man Who Shot the 70s », considérant que cela le rendait obsolète, et il a photographié des pans d’artistes plus récents, dont Snow Patrol, les Black Keys, Snoop Dogg, Foo Fighters, Alicia Keys, Yeah Yeah Yeahs. , Janelle Monae, Rufus Wainwright, Lady Gaga, Miley Cyrus et Pharrell Williams.
En plus de ses photographies, il a créé plusieurs vidéos mémorables avec Bowie, pour Life on Mars, John I’m Only Dancing, Jean Genie et Space Oddity, et Bowie a donné son approbation aux livres de Rock Blood and Glitter : Glam – an Eyewitness Account (2001), Moonage Daydream: The Life and Times of Ziggy Stardust (2002) et The Rise of David Bowie 1972-1973 (2015).
Il a également publié des livres en collaboration avec Debbie Harry, Iggy Pop et les membres de Queen Brian May et Roger Taylor.
En 2016, Mick a animé une série télévisée Ovation Cable acclamée, « On The Record With Mick Rock ». Un documentaire sur sa carrière, produit par Vice Films et Straight Up Films, intitulé « SHOT! », A été lancé au Tribeca Film Festival en avril 2016.
Mick Rock a été présenté dans le documentaire SHOT! de Barney Clay! Le mantra psycho-spirituel du rock (2016). Il a été photographe en chef sur les films The Rocky Horror Picture Show, Hedwig and the Angry Inch et Shortbus.
Mick Rock with his photo of David Bowie and Iggy Pop (Photo by J. Vespa/WireImage for Peoples Revolution)
Mick Rock a eu de grandes expositions à Tokyo, Toronto, Londres, Liverpool, Berlin, Manchester, Mexico, Oslo, Göteborg, Stockholm, Amsterdam, Rotterdam, São Paulo, San Francisco, Las Vegas, EMP Museum Seattle, Buenos Aires, Barcelone, Los Anges, New York et Toulouse.
Il fait également partie de la collection permanente du Victoria & Albert Museum de Londres ainsi que du Brooklyn Museum de New York. Il a été honoré d’une plaque bleue à la salle de concert Scala commémorant le titre de deux nuits (14 juillet 1972) de Lou Reed et Iggy Pop, et la capture par Mick des photos de l’album Transformer et Raw Power.
Mick Rock
Conteur enthousiaste, Mick Rock a souligné que son travail découlait toujours d’une admiration pour les artistes avec lesquels il travaillait. « Pour moi, ces gars étaient comme Baudelaire, Rimbaud, Shelley, Keats, Coleridge, les Beats… J’ai été respectueux parce que j’aime ces gens et je sens que je suis une sorte de gardien de l’image. »
SHOOT! by ROCK – L’autobiographie visuelle d’une icône.
SHOOT! by ROCK, sortie le 22 novembre 2022, est une monographie de luxe pleine de la signature de Mick Rock, de photographies saturées de couleurs et de sujets légendaires, ainsi que de tout nouveaux souvenirs de Mick pour les accompagner.
Né en 1948 à Hammersmith, Londres, Michael Rock a traversé la scène rock londonienne de la fin des années soixante et des années soixante-dix pour devenir l’un des photographes rock et pop les plus emblématiques de tous les temps.
Mick était à la fois photographe et ami de certains des artistes et stars musicaux les plus dynamiques et passionnants de l’histoire du rock, et Shot! by Rock contient des histoires étonnantes et amusantes sur les coulisses de musiciens, de Mick Jagger à Miley Cyrus ; de Queen à Lana Del Ray; de David Bowie à Snoop Dog, et bien au-delà.
Mick a sélectionné des photos à la main et a contribué à de nouvelles histoires de son incroyable carrière. Ce livre inoubliable sert de monument à la brillante carrière de cinquante ans et à la vie étonnante de Mick.
Shot-By-Mick-Rock
Mick Rock : Publications
1995 : A Photographic Record 1969-1980
2002 : Psychedelic Renegades: Syd Barrett
2002 : Moonage Daydream: Ziggy Stardust
2003 : Killer Queen
2004 : Picture This: Debbie Harry and Blondie
2010 : Exposed
Pour conclure, Mick Rock est surtout connu pour son travail de photographie de rock et de musique, notamment pour ses portraits emblématiques d’artistes tels que David Bowie, Lou Reed et Iggy Pop. Voici quelques-unes de ses photographies et publications les plus célèbres :
Les photographies de l’album « Transformer » de Lou Reed, sorti en 1972.
Les photographies de l’album « The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars » de David Bowie, sorti en 1972.
Les photographies de l’album « Raw Power » des Stooges, sorti en 1973.
Les photographies de l’album « Queen II » de Queen, sorti en 1974.
Les photographies du livre « Rock ‘n’ Roll Eye: The Photography of Mick Rock », publié en 1999.
Les photographies du livre « Exposure: The Music Photography of Mick Rock », publié en 2005.
Les photographies du livre « The Rise of David Bowie, 1972-1973 », publié en 2015.
Ces photographies et publications ont contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970 et ont fait de Mick Rock l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique rock.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Mick Rock est un photographe britannique né en 1948, connu pour son travail en tant que photographe de rock et de musique. Il est souvent considéré comme le photographe le plus célèbre du mouvement glam rock des années 1970.
Question 2: Quels sont les sujets de prédilection de Mick Rock ?
Mick Rock est surtout connu pour son travail de photographie de rock et de musique, notamment pour avoir photographié des groupes tels que Queen, David Bowie, Lou Reed, Iggy Pop, et les Sex Pistols.
Question 3: Comment Mick Rock a-t-il commencé sa carrière artistique ?
Mick Rock a commencé sa carrière en tant que photographe dans les années 1970, travaillant en étroite collaboration avec des artistes tels que David Bowie, Iggy Pop et Lou Reed pour créer des images emblématiques du mouvement glam rock.
Question 4 : Quels sont les livres les plus connus de Mick Rock ?
Mick Rock a publié plusieurs livres de photographies, notamment « Rock ‘n’ Roll Eye » (1999), « Glam! An Eyewitness Account » (2006), « Exposure: The Music Photography of Mick Rock » (2009), et « The Rise of David Bowie, 1972-1973 » (2015).
Question 5: Quels sont les prix et distinctions que Mick Rock a remportés au cours de sa carrière ?
Mick Rock a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Lifetime Achievement Award du Classic Rock Roll of Honour Awards en 2011, et le Outstanding Contribution to Music Photography Award de la Professional Music Photographers Association en 2015.
Question 6 : Comment Mick Rock a-t-il influencé la photographie de rock et de musique ?
Mick Rock est considéré comme l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique, ayant capturé certains des moments les plus emblématiques de la musique rock et ayant contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970.
Question 7: Où peut-on trouver des œuvres de Mick Rock ?
Les œuvres de Mick Rock sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, notamment dans des musées tels que le Victoria and Albert Museum de Londres et le National Portrait Gallery de Londres.
Question 8: Quel est le style de photographie de Mick Rock ?
Mick Rock est connu pour son style de photographie flamboyant et coloré, qui a contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970. Il utilise souvent des techniques telles que la surexposition et la superposition d’images pour créer des effets visuels saisissants.
Question 9 : Comment Mick Rock travaille-t-il avec les artistes qu’il photographie ?
Mick Rock a souvent travaillé en étroite collaboration avec les artistes qu’il photographie, les aidant à créer des images qui reflètent leur personnalité et leur esthétique. Il a également contribué à définir l’image de nombreux artistes, en leur proposant des idées pour leurs costumes, leur maquillage et leur coiffure.
Question 10 : Quel est le processus créatif de Mick Rock lorsqu’il prend des photos ?
Le processus créatif de Mick Rock varie selon les projets, mais il travaille souvent en étroite collaboration avec les artistes qu’il photographie pour créer des images qui reflètent leur personnalité et leur style. Il utilise également des techniques de post-production pour modifier et améliorer ses images.
Question 11: Quels sont les projets récents de Mick Rock ?
Mick Rock continue de travailler en tant que photographe et a récemment publié un livre de photographies intitulé « Mick Rock: The Rise of David Bowie, 1972-1973 ». Il a également travaillé sur des projets tels que la création d’une installation artistique pour la station de métro de Tottenham Court Road à Londres.
Question 12: Quels sont les conseils de Mick Rock pour les photographes en herbe ?
Mick Rock conseille aux photographes en herbe de travailler dur, d’être passionnés par leur travail, et de ne jamais perdre de vue leur vision artistique. Il recommande également de s’inspirer de la musique et de l’art pour créer des images qui ont une signification et une émotion fortes.
THE CURE concert & histoire : De tous les groupes qui ont émergé immédiatement après le punkrock à la fin des années 70, peu étaient aussi durables et populaires que The Cure.
Dirigé à travers de nombreuses incarnations par le guitariste/chanteur Robert Smith (né le 21 avril 1959), le groupe est devenu célèbre pour ses chants lents et sombres et Smith, l’apparence macabre de Cure, une image publique qui cachait souvent la diversité de la musique de The Cure.
The cure concert
Au début, The Cure jouait des chansons pop irrégulières et énervées avant d’évoluer lentement vers une tenue plus texturée. En tant que l’un des groupes qui a jeté les bases du rock gothique, le groupe a créé d’imposantes couches de guitares et de synthétiseurs, mais au moment où le goth s’est imposé au milieu des années 80, The Cure s’était éloigné du genre.
À la fin des années 80, le groupe était entré dans le courant dominant non seulement dans son Angleterre natale, mais aussi aux États-Unis et dans diverses parties de l’Europe.
The Cure est resté un attrait populaire pour les concerts et un vendeur de disques fiable tout au long des années 90, et leur influence pouvait être clairement entendue sur des dizaines de nouveaux groupes au cours du nouveau millénaire, dont beaucoup n’avaient pas grand-chose à voir avec le gothique.
Initialement appelé Easy Cure, le groupe a été formé en 1976 par des camarades de classe Smith (chant, guitare), Michael Dempsey (basse) et Laurence « Lol » Tolhurst (batterie). Initialement, le groupe s’est spécialisé dans la guitare pop sombre et nerveuse avec des paroles pseudo-littéraires, comme en témoigne le « Killing an Arab » inspiré d’ Albert Camus .
The cure concert
Une cassette démo avec « Killing an Arab » est arrivée entre les mains de Chris Parry , un représentant A&R chez Polydor Records; au moment où il a reçu la cassette, le nom du groupe avait été tronqué à The Cure.
Parry a été impressionné par la chanson et a arrangé sa sortie sur le label indépendant Small Wonder en décembre 1978.Parry a quitté Polydor pour former son propre label, Fiction, et The Cure a été l’un des premiers groupes à signer avec le label parvenu. « Killing an Arab » est ensuite réédité en février 1979, et The Cure entame sa première tournée en Angleterre.
THE CURE : Three Imaginary Boys
Le premier album de The Cure, Three Imaginary Boys , est sorti en mai 1979 avec des critiques positives dans la presse musicale britannique. Plus tard cette année-là, le groupe a sorti les singles non LP « Boys Don’t Cry » et « Jumping Someone Else’s Train ».
Cette même année, The Cure se lance dans une grande tournée avec Siouxsie and the Banshees . Pendant la tournée, le guitariste des Banshees , John McKay , quitte le groupe, et Smith a remplacé le musicien disparu. Pendant la décennie suivante, Smith collaborera fréquemment avec des membres des Banshees .
THE CURE : Seventee seconds
Fin 1979, The Cure sort un single, » I’m a Cult Hero « , sous le nom de Cult Heroes. Suite à la sortie du single, Dempsey quitte le groupe pour rejoindre les Associates ; il est remplacé par Simon Gallup au début des années 1980.
Parallèlement, The Cure s’adjoint un claviériste, Mathieu Hartley , et boucle la production du deuxième album du groupe, Seventeen Seconds ., qui a été publié au printemps 1980.
L’ajout d’un claviériste a élargi le son du groupe, qui était désormais plus expérimental et embrassait souvent des chants lents et sombres. Néanmoins, le groupe écrivait toujours des accroches pop, comme en témoigne le premier single à succès britannique du groupe, « A Forest », qui a culminé au numéro 31. Après la sortie de Seventeen Seconds , The Cure a lancé sa première tournée mondiale.
Après l’étape australienne de la tournée, Hartley a quitté la formation et ses anciens camarades du groupe ont choisi de continuer sans lui, sortant leur troisième album en 1981 ( Faith ) et le regardant culminer au numéro 14 dans les charts. Faith a également engendré le single à succès mineur « Primary ». Le quatrième album de The Cure, le doom-laden,, est sorti peu de temps après en 1982.
Pornography a encore élargi son public culte et a percé le Top Ten britannique. Une fois la tournée Pornography terminée, Gallup a quitté le groupe et Tolhurst est passé de la batterie aux claviers. Fin 1982, The Cure sort un nouveau single, le « Let’s Go to Bed » teinté de danse.
THE CURE : Hyaena
Smith a consacré la majeure partie du début de 1983 à Siouxsie and the Banshees , enregistrant l’ album Hyaena avec le groupe et apparaissant en tant que guitariste du groupe lors de la tournée d’accompagnement de l’album.
Cette même année, Smith forme également un groupe avec le bassiste des Banshees Steve Severin ; après avoir adopté le nom The Glove , le groupe sort son unique album, Blue Sunshine . À la fin de l’été 1983, une nouvelle version de The Cure – mettant en vedette Smith , Tolhurst , le batteur Andy Anderson et le bassiste Phil Thornalley– avait composé et enregistré un nouveau single, un morceau enjoué nommé « The Lovecats ».
La chanson est sortie à l’automne 1983 et est devenue le plus grand succès du groupe à ce jour, culminant à la septième place des charts britanniques. La nouvelle formation de The Cure a sorti The Top en 1984. Malgré les penchants pop du hit numéro 14 « The Caterpillar », The Top était un retour aux paysages sonores sombres de la pornographie .
Au cours de la tournée mondiale soutenant The Top , Anderson a été renvoyé du groupe. Au début de 1985, après la fin de la tournée, Thornalley quitte le groupe. The Cure a réorganisé sa formation après son départ, ajoutant le batteur Boris Williams et le guitariste Porl Thompson; Gallup revient à la basse.
THE CURE : The head on the door
Plus tard en 1985, The Cure sort son sixième album, The Head on the Door . L’album était le disque le plus concis et orienté pop que le groupe ait jamais sorti, ce qui a contribué à l’envoyer dans le Top Ten britannique et au numéro 59 aux États-Unis, la première fois que le groupe avait battu l’American Hot 100.
« In Between Days » et » Close to Me » – tous deux tirés de The Head on the Door – sont devenus des succès britanniques importants, ainsi que des succès populaires de la radio underground et universitaire aux États-Unis.
THE CURE : Kiss me, kiss me,kiss me
The Cure a suivi le succès retentissant de The Head on the Door en 1986 avec la compilation Standing on a Beach : The Singles. Standing on a Beach a atteint la quatrième place au Royaume-Uni, mais plus important encore, il a établi le groupe comme un groupe culte majeur aux États-Unis; l’album a culminé au numéro 48 et est devenu or en un an. En bref, Standing on a Beach a préparé le terrain pour le double album de 1987 Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me .
the cure concert
L’album était éclectique mais c’était un succès, engendrant quatre singles à succès au Royaume-Uni (« Why Can’t I Be You », « Catch », « Just Like Heaven », « Hot Hot Hot !!! ») et le groupe premier hit américain du Top 40, « Just Like Heaven ». Après la tournée de soutien pour Kiss Me,, l’activité du Curé s’est ralentie.
Avant que The Cure ne commence à travailler sur leur nouvel album au début de 1988, le groupe a renvoyé Tolhurst , affirmant que les relations entre lui et le reste du groupe avaient été irrévocablement endommagées.
Tolhurst allait bientôt intenter une action en justice, affirmant que son rôle dans le groupe était plus important que celui indiqué dans son contrat et, par conséquent, il méritait plus d’argent.
THE CURE : Désintégration
Entre-temps, The Cure a remplacé Tolhurst par l’ancien claviériste de Psychedelic Furs Roger O’Donnell et a enregistré leur huitième album, Disintegration . Sorti au printemps 1989, l’album était plus mélancolique que son prédécesseur, mais ce fut un succès immédiat, atteignant le numéro trois au Royaume-Uni et le numéro 14 aux États-Unis, et engendrant une série de singles à succès.
» Lullaby » est devenu le plus grand succès britannique du groupe au printemps 1989, culminant au numéro cinq. À la fin de l’été, le groupe a eu son plus grand succès américain avec « Love Song », qui a grimpé au numéro deux. Sur la désintégrationtournée, The Cure a commencé à jouer dans des stades à travers les États-Unis et le Royaume-Uni.
À l’automne 1990, The Cure a sorti Mixed Up , une collection de remixes comprenant un nouveau single, « Never Enough ». Après la tournée Disintegration , O’Donnell a quitté le groupe et The Cure l’a remplacé par leur roadie, Perry Bamonte . Au printemps 1992, le groupe sort Wish .
Comme Disintegration , Wish a été un succès immédiat, entrant dans les charts britanniques au numéro un et les charts américains au numéro deux, ainsi que le lancement des singles à succès « High » et « Friday I’m in Love ».
The Cure s’est lancé dans une autre tournée internationale après la sortie de Wish. Un concert, joué à Detroit, a été documenté sur un film intitulé Show et sur deux albums, Show et Paris . Le film et les albums sont sortis en 1993.
THE CURE : Wild Mood Swings
Thompson a quitté le groupe en 1993 pour rejoindre le groupe de Jimmy Page et Robert Plant . Après son départ, O’Donnell a rejoint la formation en tant que claviériste et Bamonte est passé des fonctions de synthétiseur à la guitare. Pendant la majeure partie de 1993 et au début de 1994, les Cure ont été écartés par un procès en cours de Tolhurst , qui revendiquait la copropriété du nom du groupe et cherchait également à restructurer ses paiements de redevances.
Un règlement (décision en faveur du groupe) est finalement arrivé à l’automne 1994, et les Cure se sont concentrés sur la tâche à accomplir : enregistrer un album de suivi de Wish .
Cependant, le batteur Boris Williams démissionner juste au moment où le groupe se préparait à commencer le processus d’enregistrement. Le groupe a recruté un nouveau percussionniste grâce à des annonces dans les journaux musicaux britanniques; au printemps 1995, Jason Cooper avait remplacé Williams .
Tout au long de 1995, The Cure a enregistré son dixième album studio proprement dit, s’arrêtant pour effectuer une poignée de festivals de musique européens en été. L’album, intitulé Wild Mood Swings , sort finalement au printemps 1996, précédé du single « The 13th ».
THE CURE : Galore
Une combinaison de morceaux pop et de moments plus sombres à la hauteur de son titre, Wild Mood Swings a reçu un accueil mitigé critique et commercial, ralentissant mais n’arrêtant pas l’élan acquis par Wish .
Galore , la deuxième collection de singles de The Cure axée sur les succès du groupe depuis Standing on a Beach, est apparue en 1997 et a présenté la nouvelle chanson « Wrong Number ».
The Cure a passé les années suivantes tranquillement – donnant une chanson à la bande originale de X-Files, Robert Smith apparaissant dans un épisode mémorable de South Park – réapparaissant en 2000 avec Bloodflowers, leur dernier album de matériel original, pour Fiction.
Conçu comme le dernier volet d’une trilogie gothique lourde qui remontait jusqu’à la pornographie et incluait la désintégration , Bloodflowers a été bien accueilli et un succès respectable, remportant une nomination aux Grammy Awards pour le meilleur album de musique alternative.
L’année suivante, The Cure a conclu son contrat avec Fiction avec Greatest Hits , qui a également été accompagné d’une sortie DVD de leurs vidéos les plus populaires. En 2002, ils ont passé du temps sur la route, terminant leur tournée par une aventure de trois nuits à Berlin, où ils ont joué chaque album de leur « trilogie gothique » une nuit différente.
l’événement a été documenté sur la sortie vidéo à domicile Trilogy.
The cure & GEFFEN Records
The Cure signe un contrat international avec Geffen Records en 2003 puis lance une vaste campagne de réédition en 2004 avec le coffret de raretés Join the Dots : B-Sides & Rarities, 1978-2001 (The Fiction Years) ; des éditions étendues à double disque de leurs premiers albums ont rapidement suivi.
Toujours en 2004, le groupe sort son premier album pour Geffen, un effort éponyme enregistré en direct en studio. Plus lourd mais pas nécessairement plus dur – et certainement pas plus sombre que Bloodflowers – The Curea été en partie conçu pour plaire à un public plus jeune familier avec The Cure grâce à leur influence sur une nouvelle génération de groupes, dont beaucoup ont été présentés en première partie de la tournée de soutien du groupe pour l’album.
The Cure a subi un autre changement de composition en 2005, lorsque Bamonte et O’Donnell ont quitté le groupe et que Porl Thompson est revenu pour son troisième passage.
Cette nouvelle formation sans clavier a fait ses débuts en 2005 en tant que tête d’affiche du concert-bénéfice Live 8 Paris, puis s’est dirigée sur le circuit des festivals d’été, dont les temps forts ont été capturés sur la sortie DVD 2006 Festival 2005. The Cure est apparu dans divers festivals au cours des deux années suivantes, jouant une tournée européenne plus étendue au début de 2008, alors qu’ils terminaient leur 13e album.
Conçu à l’origine comme un double album, le disque a été divisé en deux avant sa sortie, avec le matériel plus léger et plus pop sorti en premier sous le nom de 4:13 Dream en octobre 2008. Après une pause de trois ans, le groupe est revenu sur le circuit live avec leur tournée « Reflections » – qui démarre en Australie et voit le retour du batteur et claviériste original Lol Tolhurst après environ 22 ans – qui a vu le groupe jouer ses trois premiers albums, Three Imaginary Boys , Seventeen Seconds et Faith, dans leur intégralité.
Un titre principal de 150 minutes couvrant toute la carrière au Bestival de 2011 sur l’île de Wight a été enregistré et sorti la même année et le groupe a continué à tourner tout au long de 2012 et 2013 avec des spectacles de festivals en Europe et en Amérique du Nord et des spectacles phares en Amérique latine.
Début 2014, Smith a annoncé qu’il sortirait la suite de 4:13 Dream plus tard en 2014, et qu’il poursuivrait également sa tournée « Reflections » avec une autre série d’albums complets, cette fois en interprétant The Top , The Head on the Door , et Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me dans leur intégralité.
FAQ The Cure
1. Qui est The Cure ?
Réponse : The Cure est un groupe de rock britannique formé en 1976 par Robert Smith, Michael Dempsey et Lol Tolhurst. Le groupe est connu pour son style musical sombre et mélancolique, ainsi que pour l’apparence excentrique de ses membres.
2. Quelle est la carrière de The Cure ?
Réponse : The Cure a sorti son premier album en 1979, intitulé « Three Imaginary Boys ». Depuis lors, le groupe a sorti 13 albums studio, ainsi que de nombreux singles et compilations. Le groupe est également connu pour ses performances en direct, qui sont souvent accompagnées d’un éclairage et d’une scénographie spectaculaires.
3. Quel est le style musical de The Cure ?
Réponse : Le style musical de The Cure est souvent décrit comme étant du rock gothique, bien que le groupe ait exploré différents genres tout au long de sa carrière, notamment la new wave, le post-punk et le pop rock. Le son distinctif du groupe est caractérisé par la guitare mélancolique de Robert Smith et les textes introspectifs.
4. Quels sont les plus grands succès de The Cure ?
Réponse : The Cure a connu de nombreux succès tout au long de sa carrière, mais certains de ses plus grands hits incluent « Boys Don’t Cry », « Just Like Heaven », « Lovesong », « Friday I’m in Love », et « Pictures of You ».
5. Quel est l’album le plus vendu de The Cure ?
Réponse : L’album le plus vendu de The Cure est « Disintegration », sorti en 1989. L’album a été certifié double platine aux États-Unis et a été salué par la critique pour son atmosphère sombre et sa production élaborée.
6. Quel est le lien entre The Cure et le cinéma ?
Réponse : La musique de The Cure a été utilisée dans de nombreux films, notamment dans « Le Journal de Bridget Jones », « Le Labyrinthe de Pan », et « 500 jours ensemble ». Le groupe a également enregistré des chansons pour plusieurs films, notamment « The Crow » et « Batman Forever ».
7. Quelles sont les influences musicales de The Cure ?
Réponse : Les influences musicales de The Cure sont variées et incluent des groupes tels que Joy Division, Siouxsie and the Banshees, The Velvet Underground, et David Bowie. Le groupe a également été influencé par la musique classique et la musique électronique.
8. Quel est l’héritage de The Cure dans l’industrie musicale ?
Réponse : L’héritage de The Cure dans l’industrie musicale est considérable. Le groupe est considéré comme l’un des pionniers du rock gothique et a influencé de nombreux groupes dans ce genre. The Cure est également connu pour avoir innové dans la production musicale, en utilisant des techniques d’enregistrement avancées pour créer des atmosphères sonores uniques.
9. Quel est le statut actuel de The Cure ?
Réponse : The Cure est toujours actif et continue de tourner et de sortir de la musique. Le groupe a effectué sa dernière tournée en 2019 et a déclaré qu’il travaillait sur un nouvel album. Robert Smith, le leader de The Cure, a également déclaré qu’il avait de nombreuses idées pour l’avenir du groupe.
10. Qu’est-ce qui fait la renommée de The Cure ?
Réponse : La renommée de The Cure est due à son style musical unique, qui a influencé de nombreux autres artistes, ainsi qu’à son apparence excentrique et à ses performances en direct spectaculaires. Le groupe est également connu pour ses paroles introspectives et ses thèmes sombres, qui ont touché de nombreux fans à travers le monde.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
« Comment devient-onphotographe de concert ? J’ai répondu à cette question un million de fois et de différentes manières, car il n’y a pas de moyen simple pour devenir photographe de concert.
Chaque photographe de concert aura son propre parcours créatif et professionnel. Il n’y a pas nécessairement une » bonne « façon de s’y rendre (l’art est subjectif), mais au cours des 10 dernières années en tant que photographe de concert, j’ai appris qu’il y a des choses à ne pas faire ou à faire dans le monde de la photographie de concert.
En tant que débutant, vous ne pouvez pas vous attendre à connaître toutes ces choses dès le départ.
C’est pourquoi je vais tenter de vous donner quelques conseils et astuces si vous êtes un nouveau photographe de concert dans une salle ou dans un festival. Je ne suis pas un expert, mais après quelques années d’expérience, de concerts et de grands festivals, je sais 2-3 choses qui pourront vous intéresser si vous voulez vous lancer dans la photo « live ».
Voici donc dix conseils pour les futurs photographes de concerts :
1. Photographe de concert : Shootez non stop !
Cela devrait être évident, mais vous devez littéralement shooter autant de concerts que vous le pouvez. Vous ne savez pas comment faire entrer votre réflexe en concert?
Ne vous inquiétez pas, je vais tout de suite entrer dans la partie la plus sérieuse. Pour l’instant, contactez certains groupes locaux et demandez si vous pouvez shooter leur concert.
Honnêtement, aucun groupe local ne refuse des photos gratuites si vous devez vous entraîner. Avouons-le, les musiciens sont un peu égoïstes – ils aiment les photos où ils ont l’air super cool sur scène (J’expliquerai en détail, plus tard, de la façon d’obtenir des pass photos pour les grands concerts).
Après…se faire la main au départ est une chose, mais travailler gratuitement en est une autre. Dans l’idée, il faut très rapidement se faire payer en tant que photographe , car c’est un boulot comme un autre.
Cela ne traverse l’esprit de personne d’entrer dans une boulangerie pour demander une baguette gratuite, car, si elle est bonne, vous en ferez la pub qui fera connaître la boulangerie. Pour les photos, c’est la même chose.
Photographes concert- Crédit photo Eric CANTO
2. Apprenez à connaître votre équipement
Apprenez à connaître votre appareil photo et ses paramètres pour devenir photographe . Même si ce n’est pas du live, prenez beaucoup de photos et habituez-vous à utiliser votre appareil, en particulier avec différents types de lumières, car l’éclairage de concert peut être complètement imprévisible (et parfois indésirable).
La plupart des photographes débutants pensent également qu’apprendre à utiliser leur équipement, c’est simplement connaître leur appareil photo, mais je pense aussi aux logiciels.
Utilisez Lightroom et Photoshop. Passez du temps à regarder des tutos relatif au logiciel utilisé– je sais que cela peut sembler ennuyeux …
Prenez une photo et modifiez-la de mille façons différentes. Apprenez à exploiter toutes les possibilités que vous offre le logiciel choisi, notamment en post-traitement, même si vous pensez que vous n’en aurez jamais besoin.
Vous serez reconnaissant quand il sera une heure du matin et que vous aurez un shoot à rendre dans sept heures, et que toutes vos photos auront été prises dans une lumière rouge ou bleue nettement sursaturée.
3. L’importance du Réseau pour le photographe
Je ne parle pas nécessairement de vendre à tous ceux que nous rencontrons, je parle simplement d’être ouvert aux gens, d’apprendre à les connaître. Cela devrait également aller de soi, mais vous serez surpris du nombre de portes qui s’ouvriront à vous si vous êtes amical et détendu.
Si vous êtes sur un festival et attendez le prochain groupe, entamez une conversation avec le service de sécurité. Rencontrez les organisateurs de concerts locaux, les personnes qui dirigent vos salles de concerts locales et les groupes locaux qui y jouent. Soyez présent et accessible.
Il est important d’apprendre, d’être agréable et de simplement travailler en restant cool, par téléphone et par e-mail, car au final, vous ferez beaucoup d’affaires par téléphone ou en ligne.
Cela peut paraître évident…mais vous vous rendrez compte que l’ego un peu démesuré se retrouve aussi auprès de certains photographes de concerts. On se détend, on fait juste des photos de concert, on ne sauve pas de vies.
C’est amusant parce que vous pouvez toujours travailler à trouver votre propre style de photographe , peu importe depuis combien de temps vous faites des concerts (ou autre). Après 10 ans, je continue d’apprendre chaque jour.
Y a-t-il un photographe particulier dont vous appréciez le style ? Jouez avec les photos de grands maîtres et voyez si vous pouvez les recréer ! Passez votre temps libre à découvrir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas dans le cadrage, la composition.
Je ne saurais trop insister sur le fait que les didacticiels YouTube sont nos amis. Il y a toujours quelque chose de nouveau à apprendre !
Si vous ne travaillez pas pour une publication, obtenir un pass photo est probablement un peu plus difficile. Certaines salles et groupes sont plus indulgents que d’autres et vous permettent de photographier leur groupe pour constituer facilement votre portfolio.
Cependant, les places sur la liste des accréditations sont généralement réservées aux publications locales ou aux photographes en place. Parfois, vous obtenez uniquement un laissez-passer photo, mais pas un billet d’entrée.
J’ai profité de ces opportunités chaque fois qu’elles se présentaient, car elles me permettaient de construire mon portfolio de photographe lorsque je shootais pour celui-ci. Parfois, une production ne peut tout simplement pas vous accréditer, et si c’est le cas, soyez amical, respectueux et indulgent.
N’adoptez jamais une mauvaise attitude, les divas sont sur la scène, pas dans la fosse ;). Faites en sorte que l’on se souvienne de vous comme une personne agréable avec qui travailler.
Walls of Jericho – Crédit photo Eric CANTO
6. Pour être un photographe, il faut trouver un support de presse.
Si vous êtes un pigiste et que vous souhaitez passer à l’étape suivante (ou si vous voulez simplement faire plus d’artistes / groupes qui ont besoin d’un support médiatique), vous devez prendre une photo pour faire des publications. Cela inclut les stations de radio locales, les journaux, les blogs, les magazines, etc.
Recherchez partout.
Trouvez des publications nationales qui acceptent des candidatures à travers le pays / la région. Toutes ces autres compétences seront utiles ici. Vous devez envoyer des e-mails à ces personnes, vous devez avoir de l’expérience et un portfolio décent, vous devez être cool accessible, et souple dans votre approche.
Comme pour les tourneurs, certains de ces supports diront non ou ne répondront pas, mais ne vous laissez pas décourager. Essayez de toucher autant de personnes que possible, soyez amical et courtois et, finalement, des portes s’ouvriront à vous.
7. Suivre les règles….
Je pense que c’est l’une des choses les plus importantes de cette liste. Si vous avez reçu une accréditation pour un spectacle, respectez scrupuleusement les règles imposées. TOUJOURS suivre les règles et les conditions fixées par l’organisateur. La plupart du temps, vous serez autorisé à shooter sur les trois premières chansons, du crash, sans flash.
Cependant, cela peut varier selon la salle, l’artiste, le groupe. Dans 99% des cas, les règles sont fixées avant votre arrivée. Cela signifie également que vous devez respecter tous les contrats ou avis de non-responsabilité que vous devrez signer avant le concert.
Si vous prenez des photos du crash et que d’autres photographes sont avec vous, soyez poli. Ne restez pas au même endroit pendant la durée des trois chansons. Bougez.
De cette façon, vous obtiendrez non seulement beaucoup de photos, mais vous aurez également les mêmes chances de prendre de bonnes photos.
Vous ne devez pas vous faire d’ennemis parmi vos pairs, car ils vous aideront lorsque vous en aurez vraiment besoin. De plus, en tant que photographe de concert, vous êtes là pour ramener un extrait visuel du concert, mais jamais pour priver le groupe ou le public de cette expérience.
Ne faites rien que vous ne voudriez pas que quelqu’un vous fasse, par exemple en vous tenant sur les barrières et en bloquant la vue d’un fan.
Scorpions – Crédit photo Eric CANTO –
8. Apprenez à envoyer des e-mails
Je sais que cela semble un peu bizarre, et vous vous demandez peut-être: « Quel est le lien entre la messagerie électronique et la photographie de concert? Je veux juste sortir et prendre des photos! »
En effet, savoir envoyer des emails a tout à voir avec la photographie de concert. Si vous souhaitez prendre une photo d’un groupe local, mais que vous ne le connaissez pas, vous devez lui envoyer un e-mail.
Si vous souhaitez prendre une photo d’un groupe en tournée, vous devez, comme vous le soupçonniez, envoyer une demande par e-mail à son tourneur ou à son management.
Ce sont des gens qui reçoivent des centaines ou des milliers de courriels chaque jour, et la dernière chose à laquelle ils veulent faire face est quelqu’un qui est impoli.
Étonnamment, ils ne veulent pas lire toute l’histoire de votre vie, tous vos groupes préférés ni pourquoi vous voulez shooter cet artiste.
GHOST- Crédit photo Eric CANTO –
Lorsque vous envoyez un e-mail à un tourneur / manager pour demander un pass photo pour un concert, il y a trois choses à considérer: soyez courtois, précis et clair.
Lorsque vous leur envoyez un e-mail, soyez bref, précis: de qui voulez-vous prendre des photos? Où et quand? Quel est votre nom ? Pour qui ou pourquoi photographiez vous? Pour votre portfolio ou pour une publication ? Ce sont toutes des choses qu’un manager aimerait savoir.
Un simple e-mail sans fioritures doit être envoyé 10 à 14 jours avant le spectacle et ressemble à ceci:
« Bonjour [SALLE / MANAGER], Je m’appelle [NOM]. Je vous contacte, car je souhaite photographier [GROUPE] à [SALLE] à [VILLE] le [DATE]. Je n’ai besoin que d’un pass photo pour photographier le spectacle et les images sont utilisées pour mon portfolio. Je peux vous envoyer un lien vers les photos une fois celles-ci terminées. Merci beaucoup pour votre temps !
9. Photographe de concert, kiffez, oubliez la concurrence
L’idée est de passer plus de temps à se concentrer sur son propre travail que sur celui des autres. La concurrence avec vos pairs est absolument inutile, ni pour vous ou pour la scène musicale.
Vous pouvez vous soucier de ce qui vous rend spécial, de ce qui vous rend commercialisable ou de ce qui vous différencie des autres, mais à partir du moment où vous essayez d’être « meilleur que » ou « plus populaire que » quelqu’un d’autre ce n’est plus votre travail artistique, mais celui de quelqu’un d’autre.
Prenez soin de votre boîtier, de vos objectifs et de votre passion. Il s’agit de vous améliorer et de shooter ce que vous aimez shooter. Rester intègre, accessible et modeste vous permettra de faire de belles rencontres, et vous tisserez des liens précieux avec d’autres photographes, vous créerez votre réseau tout au long de cette belle aventure qu’est la photographie de concert.
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Julien Doré – Festival de Nîmes – Crédit photo Eric CANTO
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Vous avez déjà entendu parler de Slash. Si vous aimez le rock, vous connaissez sans doute ses solos endiablés, ses riffs reconnaissables entre mille, et ce look emblématique : un chapeau haut de forme, des lunettes noires, et une GibsonLes Paul qu’il manie comme personne. Slash, c’est la définition même du guitar hero, celui qui a marqué des générations entières avec des morceaux qui résonnent encore aujourd’hui.
Né Saul Hudson à Londres en 1965, Slash est devenu le guitariste principal des légendaires Guns N’ Roses dans les années 80. Mais son influence va bien au-delà d’un groupe. Slash a contribué à la renaissance du rock, un genre en pleine évolution à l’époque. Entre sa technique incroyable et son sens inné de la mélodie, il est devenu une figure incontournable du paysage musical.
Alors, qu’est-ce qui rend Slash si spécial ? Pourquoi est-il considéré comme l’un des plus grands guitaristes de tous les temps ? Plongeons ensemble dans l’univers d’un homme qui a littéralement écrit l’histoire du rock’n’roll avec ses solos de guitare.
I. Les débuts de Slash : d’un enfant de Londres à une légende du rock
1.1 Une enfance bercée par la musique
Slash n’était pas destiné à devenir une légende du rock. Né à Stoke-on-Trent, en Angleterre, en 1965, il est le fils d’un artiste anglais et d’une créatrice de costumes américaine qui a travaillé pour des stars comme David Bowie. À seulement 5 ans, Slash déménage avec sa mère à Los Angeles, une ville qui allait bientôt devenir le terrain de jeu de sa carrière.
Un environnement créatif : Dès son plus jeune âge, Slash a été plongé dans le monde de la création artistique. Sa mère travaillait pour des stars du rock, ce qui lui a permis d’être en contact avec des musiciens et des artistes dès son plus jeune âge. Cette immersion dans la musique et la créativité a fortement influencé son avenir.
L’appel de la guitare : À 14 ans, Slash découvre la guitare grâce à un ami, et là, tout change. Il se consacre corps et âme à l’apprentissage de l’instrument, pratiquant des heures chaque jour, jusqu’à développer son style si unique. Il cite des artistes comme Eric Clapton, Jimi Hendrix, et Jimmy Page comme ses plus grandes influences.
1.2 La rencontre avec Guns N’ Roses
Le destin de Slash change radicalement lorsqu’il rencontre Axl Rose, Izzy Stradlin, Duff McKagan, et Steven Adler. Ensemble, ils forment les Guns N’ Roses en 1985, un groupe qui va révolutionner la scène rock.
Des débuts modestes : Les Guns N’ Roses commencent à se produire dans des clubs de Los Angeles, attirant rapidement l’attention avec leur mélange explosif de punk, rock et blues. Leurs concerts sont sauvages, bruts, et chargés d’énergie.
L’ascension fulgurante : Leur premier album, Appetite for Destruction, sorti en 1987, devient un véritable phénomène. Des titres comme « Sweet Child O’ Mine« , « Welcome to the Jungle« , et « Paradise City » propulsent le groupe au rang de légende. Slash, avec ses solos enflammés et son style unique, devient rapidement une star.
Slash guitariste
II. Le style unique de Slash : entre blues et riffs percutants
2.1 Une technique reconnaissable parmi toutes
Slash est souvent considéré comme un guitariste aux racines blues, mais capable d’ajouter une touche rock moderne qui rend chaque morceau mémorable. Sa technique repose sur plusieurs éléments clés qui ont fait sa renommée.
Le vibrato précis : Un des aspects les plus reconnaissables du jeu de Slash est son vibrato unique. Chaque note qu’il joue semble vibrer avec une émotion brute, donnant à ses solos une intensité particulière. Il a réussi à perfectionner cette technique au point de la rendre instantanément identifiable.
Les bends expressifs : Slash est aussi célèbre pour ses bends, ces notes qu’il fait monter ou descendre tout en douceur, presque comme s’il racontait une histoire avec sa guitare. Dans des solos comme celui de « November Rain« , chaque bend est une montée en puissance, un cri qui transcende la simple technique.
Un mélange de vitesse et de précision : Contrairement à certains guitaristes qui misent tout sur la vitesse, Slash privilégie la précision. Même dans les morceaux les plus rapides, il prend soin que chaque note soit claire et distincte. Il n’est jamais esclave de la technique, mais plutôt au service de l’émotion.
2.2 Gibson Les Paul : l’arme de prédilection de Slash
On ne peut pas parler de Slash sans mentionner sa Gibson Les Paul, un modèle qu’il a rendu encore plus légendaire. Cet instrument, avec ses courbes élégantes et son son chaleureux, est devenu l’extension naturelle du guitariste.
Le choix de la Les Paul : Slash a opté pour la Les Paul parce qu’elle offrait le son qu’il cherchait : riche, épais, avec une capacité à se démarquer dans un mix rock’n’roll. Il a souvent dit que cette guitare était celle qui lui permettait de mieux s’exprimer.
Une symbiose parfaite : Ce modèle de guitare, entre les mains de Slash, est devenu un symbole du rock classique. Chaque note qu’il joue semble couler naturellement de l’instrument, comme si les deux étaient faits l’un pour l’autre.
Le son iconique : Avec ses micros humbucker, la Les Paul produit un son qui est à la fois doux et percutant, parfait pour les solos longs et émotionnels de Slash, mais aussi pour les riffs plus lourds et entraînants.
III. L’après Guns N’ Roses : Slash se réinvente
3.1 Slash’s Snakepit : une aventure solo
Après des tensions internes avec Axl Rose et la dissolution progressive de la formation classique des Guns N’ Roses dans les années 90, Slash décide de créer son propre projet, Slash’s Snakepit, en 1994.
Un retour aux racines : Avec ce projet, Slash voulait revenir à un rock plus brut et direct, loin des tensions et des pressions entourant les Guns N’ Roses. It’s Five O’Clock Somewhere, le premier album de Slash’s Snakepit, reçoit un accueil mitigé, mais les fans de Slash apprécient son retour à un rock authentique et décomplexé.
Un exutoire créatif : Slash a décrit Slash’s Snakepit comme un moyen de s’exprimer sans avoir à se soucier des dynamiques de groupe complexes qui pesaient sur Guns N’ Roses à l’époque. C’était son terrain de jeu personnel, un espace où il pouvait laisser libre cours à ses instincts rock.
3.2 Velvet Revolver : la renaissance
Après quelques années en solo, Slash rejoint un nouveau groupe, Velvet Revolver, en 2002, aux côtés de plusieurs anciens membres des Guns N’ Roses, ainsi que du chanteur de Stone Temple Pilots, Scott Weiland.
Un supergroupe explosif : Velvet Revolver est rapidement salué comme l’un des supergroupes les plus prometteurs du début des années 2000. Leur premier album, Contraband (2004), connaît un succès commercial et critique, en grande partie grâce à des hits comme « Slither » et « Fall to Pieces« .
Une nouvelle énergie : Slash semble revitalisé dans Velvet Revolver, offrant certains de ses solos les plus puissants depuis Guns N’ Roses. Ce groupe permet à Slash de combiner son style classique avec une énergie grunge et moderne qui le connecte à une nouvelle génération de fans.
Slash guitariste
IV. L’héritage de Slash dans le monde du rock
4.1 Une icône toujours active
Même après plusieurs décennies sur le devant de la scène, Slash reste une figure active du rock contemporain. Que ce soit avec Guns N’ Roses, Velvet Revolver ou en tant qu’artiste solo, il continue de se produire, d’enregistrer des albums, et de repousser les limites de son art.
Collaborations et projets solo : Slash a collaboré avec de nombreux artistes, de Michael Jackson à Ozzy Osbourne, prouvant que son talent transcende les genres. Ses projets solo, notamment avec Myles Kennedy (chanteur d’Alter Bridge), ont aussi été salués pour leur qualité et leur créativité.
4.2 Un modèle pour les générations futures
Slash n’est pas simplement un guitariste exceptionnel, il est aussi un modèle pour de nombreux musiciens et fans du monde entier. Il a prouvé que la guitare pouvait être bien plus qu’un simple instrument ; entre ses mains, elle devient une extension de son être, un moyen d’expression unique.
Influence sur les jeunes musiciens : Des générations entières de guitaristes ont été inspirées par son jeu. Nombreux sont ceux qui ont appris leurs premiers riffs sur « Sweet Child O’ Mine » ou ont tenté de reproduire son célèbre solo sur « November Rain« . Pour de nombreux musiciens débutants, Slash représente ce que le rock’n’roll peut avoir de plus pur et de plus passionné.
Un style inimitable : Alors que certains guitaristes sont connus pour leur vitesse ou leur technique, Slash est salué pour sa capacité à raconter une histoire à travers sa guitare. Il joue avec émotion, et chaque note semble avoir un sens. C’est cette capacité à allier technique et expression qui en fait un modèle pour les jeunes musiciens cherchant à développer leur propre style.
Un look iconique : Ce fameux chapeau haut de forme, ces lunettes de soleil, et cette Gibson Les Paul. Le look de Slash est immédiatement reconnaissable et participe à son charisme sur scène. Au-delà de la musique, il a aussi influencé la culture visuelle du rock.
V. Slash aujourd’hui : un héritage vivant et un guitariste indémodable
5.1 Le retour de Guns N’ Roses
Après des années de séparation, les fans du monde entier ont eu la surprise de voir Slash rejoindre Guns N’ Roses pour une tournée mondiale en 2016, intitulée Not In This Lifetime Tour. Cette tournée marquait le grand retour de Slash aux côtés d’Axl Rose, après deux décennies de tensions entre les membres.
Une réunion historique : La tournée Not In This Lifetime a été un véritable événement mondial, rassemblant des millions de fans à travers des concerts mémorables. Les retrouvailles entre Slash et Axl sur scène étaient plus que symboliques, et leur alchimie musicale intacte a ravi les fans de longue date.
Un nouvel album ? : Bien que des rumeurs persistent quant à l’enregistrement d’un nouvel album studio avec les membres historiques de Guns N’ Roses, Slash reste évasif sur la question, laissant le mystère planer. Cependant, les fans sont optimistes et espèrent un retour en studio pour immortaliser cette renaissance.
5.2 Slash, un artiste solo accompli
Outre ses projets avec Guns N’ Roses, Slash continue de développer sa carrière solo. En collaboration avec Myles Kennedy et The Conspirators, il a sorti plusieurs albums qui ont rencontré un succès critique et commercial. Leur chimie musicale est indéniable, et ensemble, ils repoussent les frontières du rock moderne.
Les albums solo : Slash a déjà sorti plusieurs albums sous son propre nom, notamment Apocalyptic Love (2012), World on Fire (2014) et Living the Dream (2018). Ces albums montrent que Slash est toujours aussi créatif, expérimentant de nouveaux sons tout en restant fidèle à son style unique.
Une tournée constante : Qu’il soit sur scène avec Guns N’ Roses ou avec Myles Kennedy, Slash est un performer infatigable. Il passe une grande partie de son temps en tournée, jouant dans les plus grandes salles du monde, prouvant que, même après toutes ces années, il reste l’un des guitaristes les plus respectés de la scène rock.
Conclusion : Slash, une légende du rock’n’roll toujours en mouvement
Slash est plus qu’un simple guitariste ; il est un phénomène. Que ce soit à l’époque des Guns N’ Roses, avec Velvet Revolver ou dans sa carrière solo, il a marqué chaque projet de son empreinte indélébile. Avec son look iconique, son jeu de guitare puissant et sa capacité à transcender les genres, il est devenu un symbole du rock’n’roll dans toute sa splendeur.
Aujourd’hui encore, il continue de faire vibrer les scènes du monde entier, prouvant que son héritage est loin d’être figé dans le passé. Slash est une légende vivante, et chaque nouvelle note jouée est une pièce supplémentaire de l’histoire du rock qu’il continue d’écrire avec passion.
FAQ Slash
1. Pourquoi Slash est-il considéré comme l’un des plus grands guitaristes de tous les temps ?
Slash est souvent cité parmi les plus grands guitaristes de l’histoire du rock pour plusieurs raisons. D’abord, il a développé un style unique, mêlant influences blues et rock avec une fluidité et une expressivité incomparables. Ensuite, ses riffs et solos sont devenus emblématiques, reconnaissables entre mille, et ont marqué des générations de musiciens. Des morceaux comme « Sweet Child O’ Mine », « November Rain », et « Paradise City » sont des exemples parfaits de son génie musical.
Signature sonore : Slash a un son immédiatement identifiable, en partie grâce à sa Gibson Les Paul, mais aussi grâce à sa maîtrise du vibrato et des bends, qui ajoutent une dimension émotionnelle à chaque note.
Solos intemporels : Ses solos ne sont pas seulement techniques, ils racontent une histoire. Par exemple, le solo de « November Rain » est considéré comme l’un des plus grands de tous les temps, grâce à sa progression lente et majestueuse qui culmine dans une explosion d’émotion.
Influence durable : Slash a inspiré des milliers de guitaristes à travers le monde. Même aujourd’hui, des jeunes musiciens apprennent à jouer la guitare en reproduisant ses riffs, preuve de l’impact durable de son style.
2. Comment Slash a-t-il influencé la guitare rock moderne ?
Slash a eu une influence majeure sur la guitare rock moderne, surtout à une époque où le rock était dominé par le heavy metal ou les groupes de hair metal des années 80. Il a ramené un son plus brut et authentique, basé sur les racines du blues et du rock classique.
Retour aux sources : Alors que beaucoup de guitaristes de son époque se concentraient sur la virtuosité technique et la vitesse, Slash a prouvé que l’émotion et le feeling étaient tout aussi importants. Son jeu se distingue par sa capacité à communiquer des sentiments à travers des riffs simples mais puissants, ainsi que des solos mélodiques.
Popularisation de la Gibson Les Paul : Bien que la Les Paul soit un modèle de guitare mythique depuis les années 50, Slash l’a remise sous les feux de la rampe dans les années 80, contribuant à une résurgence de cet instrument auprès des jeunes guitaristes. Il a démontré que la Les Paul pouvait offrir à la fois des sons doux et chauds pour des ballades, mais aussi un ton lourd pour des riffs rock intenses.
3. Quelle est la relation entre Slash et Axl Rose ?
La relation entre Slash et Axl Rose a été tumultueuse, marquée par des périodes d’amitié, de collaboration musicale intense, mais aussi de conflits et de séparations. Les tensions entre les deux icônes du rock ont contribué à la dissolution de la formation originale de Guns N’ Roses dans les années 90.
Collaboration fructueuse : Au début, la collaboration entre Slash et Axl a donné naissance à certains des plus grands hits du rock. Leur alchimie musicale était indéniable, Axl apportant une voix puissante et charismatique, et Slash produisant des riffs et des solos mémorables. Ensemble, ils ont créé des albums légendaires comme Appetite for Destruction.
Conflits internes : Cependant, au fil des années, des divergences artistiques et personnelles ont émergé. Axl Rose a progressivement pris le contrôle créatif du groupe, et Slash, qui voulait plus de liberté musicale, a quitté le groupe en 1996. Pendant près de 20 ans, les deux artistes ont été en froid, échangeant parfois des mots durs dans les médias.
Réconciliation : En 2016, contre toute attente, Slash et Axl se sont réconciliés, marquant le début de la tournée « Not In This Lifetime » qui a vu Guns N’ Roses se reformer avec plusieurs membres originaux. Depuis, leur relation semble apaisée, et ils continuent de collaborer musicalement.
4. Quelle a été l’influence de Slash sur Guns N’ Roses ?
Slash est l’un des piliers fondateurs du son de Guns N’ Roses. Sans lui, les morceaux emblématiques du groupe n’auraient probablement pas eu le même impact.
Des riffs emblématiques : Slash est responsable de certains des riffs les plus célèbres du groupe. Par exemple, le riff d’ouverture de « Sweet Child O’ Mine » a été créé presque par accident, mais il est devenu l’un des riffs les plus reconnaissables de l’histoire du rock. De même, le riff de « Welcome to the Jungle » capte l’énergie brute de la scène rock des années 80.
Solos mémorables : Les solos de Slash ont joué un rôle crucial dans l’identité sonore de Guns N’ Roses. Des morceaux comme « November Rain » et « Estranged » mettent en avant sa capacité à combiner des passages techniques avec des mélodies captivantes et émotionnelles.
Image visuelle : Au-delà de la musique, Slash a contribué à l’image visuelle de Guns N’ Roses. Son look iconique, avec son chapeau haut de forme et ses cheveux longs, est devenu indissociable de l’identité du groupe.
5. Pourquoi Slash a-t-il quitté Guns N’ Roses dans les années 90 ?
Le départ de Slash de Guns N’ Roses dans les années 90 était principalement dû à des conflits internes et des différences créatives avec Axl Rose. Au fur et à mesure que le groupe devenait plus célèbre, Axl a pris de plus en plus de contrôle sur la direction musicale du groupe, ce qui a créé des tensions avec Slash.
Désaccords sur le son : Axl voulait que Guns N’ Roses adopte une approche plus expérimentale et diversifiée, incorporant des éléments de musique électronique et de symphonie, tandis que Slash voulait rester fidèle aux racines rock plus brutes du groupe. Ces différences ont mené à une rupture inévitable entre les deux membres.
Fatigue émotionnelle et épuisement : Après des années de tournées intenses et de pression pour produire des albums à succès, Slash a également ressenti un épuisement émotionnel et créatif. Les conflits au sein du groupe, ainsi que les difficultés de communication avec Axl, ont contribué à sa décision de quitter le groupe en 1996.
6. Comment Slash a-t-il géré sa carrière après Guns N’ Roses ?
Après avoir quitté Guns N’ Roses en 1996, Slash a exploré plusieurs avenues musicales, cherchant à se réinventer tout en restant fidèle à ses racines rock.
Slash’s Snakepit : En 1994, Slash a lancé son projet Slash’s Snakepit, un groupe qu’il a formé en parallèle avec Guns N’ Roses avant de s’y consacrer pleinement après son départ. Le groupe a sorti deux albums, It’s Five O’Clock Somewhere (1995) et Ain’t Life Grand (2000), qui ont reçu des critiques mitigées mais ont trouvé un public fidèle parmi les fans de rock.
Velvet Revolver : En 2002, Slash a rejoint un supergroupe appelé Velvet Revolver, composé d’anciens membres de Guns N’ Roses et du chanteur de Stone Temple Pilots, Scott Weiland. Velvet Revolver a connu un succès commercial avec leur premier album Contraband (2004), qui comprenait des hits comme « Slither » et « Fall to Pieces ». Le groupe a duré jusqu’en 2008, date à laquelle il s’est dissous en raison de conflits internes.
Carrière solo : Depuis 2010, Slash a également poursuivi une carrière solo réussie, collaborant avec le chanteur Myles Kennedy et son groupe, The Conspirators. Ensemble, ils ont sorti plusieurs albums, et leur collaboration continue de susciter l’enthousiasme des fans.
7. Quelle est la relation de Slash avec Myles Kennedy ?
La collaboration entre Slash et Myles Kennedy est l’une des plus fructueuses de la carrière post-Guns N’ Roses de Slash. Kennedy, qui est également le chanteur d’Alter Bridge, a apporté une nouvelle dynamique à la musique de Slash, alliant virtuosité à expressivité vocale.
Chimie musicale : Ensemble, Slash et Myles Kennedy ont sorti plusieurs albums à succès, dont Apocalyptic Love (2012), World on Fire (2014), et Living the Dream (2018). Kennedy est un chanteur polyvalent, capable d’ajouter à la fois puissance et émotion aux compositions de Slash, ce qui en fait un duo complémentaire.
Tournées mondiales : Le groupe Slash featuring Myles Kennedy and the Conspirators a également entrepris plusieurs tournées mondiales, jouant des titres issus de la carrière solo de Slash, ainsi que des classiques de Guns N’ Roses. Leur collaboration continue de se renforcer, et les fans attendent toujours avec impatience leurs nouvelles sorties musicales.
8. Quels sont les albums les plus marquants de Slash en solo ?
Slash a publié plusieurs albums solo qui ont été bien accueillis par la critique et les fans. Voici quelques-uns des plus marquants :
Slash (2010) : Cet album est le premier véritable album solo de Slash, et il fait appel à une série de chanteurs invités, dont Ozzy Osbourne, Fergie, et Chris Cornell. Cet album a montré la capacité de Slash à s’adapter à différents styles tout en restant fidèle à son son caractéristique.
Apocalyptic Love (2012) : Cet album marque le début de sa collaboration avec Myles Kennedy et The Conspirators. Il est plus cohérent que son premier album solo, et contient des morceaux puissants comme « Anastasia », qui met en avant les talents de guitariste de Slash.
World on Fire (2014) : Cet album a été salué pour son intensité et son énergie. Le morceau titre, « World on Fire », est l’un des plus gros succès solo de Slash, combinant riffs percutants et mélodies accrocheuses.
Living the Dream (2018) : Dernier album en date, Living the Dream continue de montrer la vitalité de Slash en tant qu’artiste solo, avec des morceaux comme « Driving Rain » et « Mind Your Manners ».
9. Quels sont les modèles de guitare préférés de Slash ?
Slash est surtout connu pour jouer sur des Gibson Les Paul, un modèle qui est devenu indissociable de son son et de son image.
Gibson Les Paul : La Les Paul est la guitare préférée de Slash, en grande partie grâce à sa tonalité riche et chaleureuse. Slash utilise principalement des modèles Custom Shop qui sont conçus sur mesure pour répondre à ses besoins spécifiques. Il a également une série signature chez Gibson qui reproduit les spécifications exactes de ses guitares les plus utilisées.
B.C. Rich Mockingbird : Au début de sa carrière, Slash a également joué sur une B.C. Rich Mockingbird, notamment sur certains des premiers concerts de Guns N’ Roses. Cette guitare, au design unique, a contribué à façonner son son avant qu’il ne se tourne définitivement vers la Les Paul.
Marshall Amplifiers : En plus de ses guitares, Slash est également connu pour utiliser des amplificateurs Marshall, qui ajoutent une distorsion classique à son son et lui permettent de créer des solos puissants et accrocheurs.
Depuis sa création, le rock est un genre musical qui a toujours rassemblé et offert des concerts de rock incroyables à tous ses fans. Certains concerts de rock restent encore dans les annales comme spectacles mythiques comme The Jimi Hendrix Experience, Monterey en 1967, The Rolling Stones, Hyde Park 1969, The Beatles, Shea Stadium 1965…et j’en passe.
Dans cet article, vous en saurez un peu plus sur les meilleurs et plus mythiques grands concerts de Rock qui ont été donnés dans toute l’histoire du genre.
Chaque concert est un spectacle sans précédent qui démontre que seul le Rock est capable de réunir en un seul et même lieu autant de spectateurs et susciter autant d’émotions et d’énergie.
Concert des Monsters of Rock (1991) Moscou – Tushino Airfield (audience estimée à plus de 1,6 million)
Imaginez qu’un festival puisse réunir tous vos artistes / groupes de rock et de métal préférés. Le festival Tushino Airfield à Moscou est considéré comme l’un des meilleurs de l’histoire, car non seulement il a la réputation d’être l’un des plus massifs qui réussit à rassembler les meilleures icônes du rock et du métal en une journée.
Le Concert des Monsters of Rock (1991) à Moscou est devenu avec le temps une belle référence emprunt de nostalgie, à cause notamment de la disparition de certaines légendes comme le légendaire guitariste de Pantera, Dimebag Darrell. Seuls les monstres du rock pouvaient accomplir cela.
L’aérodrome de Tushino à Moscou était le seul lieu pouvant recevoir toutes ces icônes et légendes de la musique rock et métal pour offrir un spectacle épique dans un endroit où les tensions au niveau politique étaient complètement saturées.
En effet, cet événement a représenté un moment d’exception et de liesse pour beaucoup notamment au regard de cette période historique qu’a été la chute de l’Union Soviétique. Dans ce contexte si tendu, ce concert a été un des plus fantastiques de l’histoire du rock: AC-DC, The Black Crows, Pantera ou encore Metallica, les plus grands noms du rock étaient bien présents.
Concerts de rock : Rolling Stones (2006) à Rio de Janeiro – Copacabana Beach (1,5 million de personnes)
Tout le monde les connaît, leur renommée les précède.
Les Rolling Stones sont l’un des groupes de rock les plus influents qui n’aient jamais existé. Et ils ont toujours marqué une voie à suivre pour les autres artistes du genre.
Les Rolling Stones ont décidé en 2006 de répéter l’exploit de Rod Stewart de 1994, sur la même scène de Rio. Plus de 1,5 million de personnes ont répondu présentes.
Une fois de plus, Copacabana a assisté à un exploit musical qui a réuni près de 2 millions de spectateurs pour voir les fantastiques Rolling Stones jouer les chansons les plus symboliques de leur tournée « A Bigger Bang ».
Mick Jagger, le leader du groupe, a donné au concert le titre de «la plus grande fête du monde».
La scène de cet inoubliable spectacle des Rolling Stones devait être construite à une hauteur difficile à croire, près de 24 mètres de haut pour pouvoir être vue par le plus de monde possible.
Concerts de rock : Rolling Stones
Concerts de rock : Woodstock Festival (1969) Sullivan County, États-Unis (plus de 400.000 personnes)
Quand on dit «festival» ou » Concert de rock« , le premier mot qui nous vient à l’esprit est «Woodstock», car grâce à son succès, il est devenu une référence, une légende.
White Lake, une ferme dans le hameau de Bethel, comté de Sullivan, abritait dans ses 240 hectares plus de 400 000 personnes, réunies pour profiter d’un spectacle sans précédent dans lequel se sont produits les plus grands artistes de la scène rock de l’époque.
Ce festival emblématique n’ a finalement pas duré que 3 jours mais bien 4, en réunissant 32 artistes au total. Même Les conditions météorologiques défavorables et l’organisation chaotique n’ont pas pu faire décourager le demi million de festivaliers.
Non seulement artistiquement et musicalement, ce concert était fou, mais il rassemblait également toute une génération de jeunes, marquée par les violences et les guerres, qui s’élevait ainsi, en prônant paix. L’acheminement de ces 400 000 personnes a causé embouteillages et un certain chaos dans les environs de la ville de Bethel, qui le temps d’un week-end est devenue l’une des trois villes les plus peuplées de l’Etat de New-York.
Cette alternative « anti-guerre et anti-violence », a été décrite comme un festival emblématique de la culture «Hippie», et pour de nombreuses personnes, les symboles emblématiques de la paix sont nés dans cet événement. Toutes les spectateurs et artistes réunis étaient contre la guerre du Vietnam, comme Jimi Hendrix, qui lors de ce festival, pour protester et réclamer la paix, a joué l’hymne national des États-Unis sur un solo de guitare.
De plus, Joe Cocker a également réalisé une performance spectaculaire en jouant une reprise des Beatles «With a little help from my friends». Ce morceau a reçu un accueil incroyable pour toutes les personnes présentes.
Concerts de rock : Woodstock
Concerts de rock : Rod Stewart (1994) Rio de Janeiro – Copacabana Beach (3,5 – 4,2 millions de personnes)
Nous commençons ce festival avec un concert fantastique et inégalé, celui de Rob Stewart à Rio de Janeiro. Plus de 3,5 millions de personnes réunies dans un concert spectaculaire. Copacabana Beach a connu l’un des exploits musicaux les plus spectaculaire de l’histoire.
En décembre 1994, le 31 plus précisément, c’est déroulé un concert entièrement gratuit puisque l’icône du rock britannique a exprimé son intention d’offrir à chaque citoyen un spectacle inoubliable, qu’il puisse ou non payer leur place.
Le sentiment que près de 4 millions de personnes chantent et dansent au rythme de ses chansons les plus célèbres était sûrement écrasant mais certainement inoubliable.
Bien que l’on pense que presque toutes les personnes présentes ne pouvaient le voir sur scène, tout le monde a pleinement apprécié chacune de ses notes.
Rod Stewart était tellement excité à l’idée de partager sa musique avec autant de personnes qu’il a offert une fête inoubliable. Le chanteur écossais a révélé d’ailleurs avoir fait appel à un sorcier brésilien, pour optimiser sa capacité à entrer en communion avec son public.
Concerts de rock : Rod Stewart
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le Festival de Nîmes 2022 s’est déroulé cette année encore dans ce cadre magnifique que sont les Arènes romaines de Nîmes.
Des artistes nationaux et internationaux se sont produits cet été devant plus de 10 000 spectateurs. Kiss – Nightwish – Deep Purple – Foo Fighters – Dropkick Murphys – Sting – Angele – Booba – PLN – GORILLAZ – Orelsan et d’autres encore sur la scène mythique des arènes.
Festivale de Nîmes 2022 : les captations visuelles
Certains concerts ont déjà fait l’objet de captations visuelles ou sonores lors du Festival de Nîmes, à l’instar du groupeMetallica en 2009 (1), dont le DVD est intituléFrançais pour une nuit, ou encore le groupeJustice (groupe)pour son album live en 2012.
De la chanson française (Johnny Hallyday, Michel Polnareff, Renaud, Patrick Bruel…) au métal (Slipknot, Rammstein, Metallica…), stars internationales (Placebo, Foo Fighters, Bjork, Lenny Kravitz, Arcade Fire, Red Hot chilly Peppers…), artistes confirmés ces dernières années (Stromae, Shaka Ponk, Angele, Maitre Gim’s…), le festival de Nîmes accueille aussi des artistes plus reconnus et adulés (Sting, Santana, Daft Punk, Slash, Radiohead, David Bowie…).
(1) Français pour une nuit est un DVD live du groupe de heavy metal américain Metallica , enregistré à Nîmes , en France, dans les Arènes de Nîmes le 7 juillet 2009, lors du World Magnetic Tour . Il est sorti en trois formats : Un DVD standard dans un digipak comprenant un livret de 16 pages, un Blu-ray , et un digipak avec le livret et un coffret deluxe en édition limitéecomprenant le DVD, une copie de Death Magneticsur CD, un T-shirt, un laissez-passer plastifié et cinq photos exclusives. Bien qu’il n’ait été émis qu’en France, il a été importé en quantité suffisante pour être considéré comme une version régulière. Hormis la photographie de Ross Halfin , l’ensemble du projet a été réalisé par des professionnels français, de la vidéo à la direction artistique.
Anton Corbijn. Ce nom évoque immédiatement des images en noir et blanc saisissantes, où les icônes du rock semblent dénudées de tout artifice, plongées dans un monde où l’authenticité prime. Photographe, réalisateur, artiste polyvalent, il est devenu une légende dans le milieu, capturant l’essence des plus grandes stars de la musique. Mais qu’est-ce qui le rend si unique, et comment a-t-il influencé l’art de la photographie musicale ? C’est ce que nous allons explorer ensemble.
Qui est Anton Corbijn ?
Anton Corbijn est né le 20 mai 1955 à Strijen, aux Pays-Bas. Grandissant dans un environnement religieux, il a rapidement ressenti le besoin de s’exprimer différemment, cherchant une évasion artistique. Sa carrière débute par un coup de chance : lors d’un concert aux Pays-Bas, il commence à photographier avec l’appareil de son père, et il se découvre une passion instantanée pour capturer les artistes en action. Le reste appartient à l’histoire, une histoire qu’il a lui-même écrite avec sa caméra.
Les années de formation : le jeune Corbijn et la découverte de la photo
Dans les années 70, Corbijn commence à prendre des clichés de groupes locaux. Très vite, son talent est remarqué, et il déménage à Londres pour être au plus près de la scène musicale effervescente. Cette époque marque le début de collaborations légendaires avec des artistes qui allaient bientôt dominer les charts. Il ne se contente pas de photographier les stars, il les réinvente, dévoilant des facettes souvent ignorées par le grand public.
De la scène musicale à la photographie : la fusion des passions
Ce n’est pas un hasard si Corbijn est devenu le photographe favori de nombreux musiciens. Pour lui, la musique et la photographie ne sont pas deux mondes distincts, mais des expressions complémentaires. Il parvient à capturer l’âme de ses sujets, des instants d’abandon que seule la musique semble pouvoir révéler.
Un style visuel unique : le noir et blanc brut d’Anton Corbijn
Le choix du noir et blanc n’est pas simplement une préférence esthétique, c’est une signature, une façon d’aller droit à l’essentiel. Les contrastes marqués, les ombres profondes et les textures rugueuses donnent à ses clichés une intensité rare. Le noir et blanc, pour Corbijn, c’est un moyen de transcender le sujet, de le libérer des distractions colorées pour se concentrer sur l’émotion pure.
Les collaborations marquantes d’Anton Corbijn
Si l’on devait résumer la carrière de Corbijn en un mot, ce serait « collaboration. » Il ne se contente pas de photographier, il collabore, il participe, il devient presque un membre du groupe. Ses partenariats avec des artistes comme U2 et Depeche Mode ont durablement marqué l’histoire de la musique.
U2 et Anton Corbijn : une relation durable qui a façonné l’image du groupe
Lorsque l’on pense à U2, on imagine immédiatement des photos iconiques en noir et blanc, des paysages désolés, et des poses dramatiques. C’est le regard de Corbijn qui a contribué à créer cette image du groupe, une image qui dure depuis plus de 30 ans. Dès l’album The Joshua Tree, sa vision a aidé à définir l’esthétique visuelle du groupe, en capturant l’essence de leurs chansons : l’exploration, l’introspection, et un désir insatiable de liberté.
Les albums emblématiques où Corbijn a laissé sa marque
Les pochettes d’albums comme Achtung Baby, The Unforgettable Fire, et Rattle and Hum portent tous la patte de Corbijn. Ce dernier ne se contente pas de photographier les membres du groupe, il raconte une histoire visuelle qui résonne avec leur musique. Chaque photo devient un symbole, un moment suspendu dans le temps qui accompagne l’auditeur au fil des morceaux.
Anecdotes de tournages photo avec le groupe
Corbijn a souvent raconté des anecdotes sur ses séances photo avec U2, notamment une séance dans le désert de Mojave pour The Joshua Tree. « C’était comme si le paysage lui-même faisait partie du groupe, » se souvient-il. Cette immersion totale dans l’environnement et la musique crée des photos qui ne sont pas de simples portraits, mais des évocations de l’âme du groupe.
Depeche Mode : comment Corbijn a créé une esthétique visuelle pour le groupe
Depeche Mode est un autre groupe qui a trouvé en Corbijn un allié visuel de choix. En collaborant avec eux pour leurs clips vidéo et pochettes d’albums, il a contribué à façonner l’image de la bande synth-pop, ajoutant une touche de mystère et de profondeur qui a captivé leurs fans.
Les vidéos iconiques et les pochettes d’album
Corbijn n’est pas seulement photographe pour Depeche Mode, il a aussi réalisé certains de leurs clips les plus célèbres, comme Personal Jesus et Enjoy the Silence. Ces vidéos sont devenues des références, non seulement pour les fans du groupe, mais aussi dans le monde du clip musical.
Impact sur l’image publique de Depeche Mode
Avant Corbijn, Depeche Mode était considéré comme un simple groupe synth-pop. Grâce à ses collaborations, leur image a évolué vers quelque chose de plus sombre, de plus adulte, et de plus intemporel. Corbijn a littéralement sculpté leur identité visuelle, la rendant indissociable de leur musique.
Nirvana, Metallica, et d’autres légendes du rock : diversité et continuité dans ses choix artistiques
La liste des artistes avec lesquels Corbijn a travaillé est aussi longue qu’impressionnante : Nirvana, Metallica, The Rolling Stones, Joy Division… Chaque collaboration apporte son lot de défis, et pourtant, il parvient à capturer l’essence de chaque artiste.
Le style artistique d’Anton Corbijn
Le style d’Anton Corbijn ne se résume pas à un choix de noir et blanc, il s’agit d’une approche globale de l’art visuel. Son esthétique se caractérise par un minimalisme assumé, où chaque élément a sa place, rien n’est superflu.
Le choix du noir et blanc : pourquoi Corbijn privilégie cette esthétique
Pour Corbijn, le noir et blanc permet de révéler l’âme des artistes. « Les couleurs peuvent distraire, » explique-t-il, « le noir et blanc nous force à voir les détails, les imperfections, et c’est là que réside la vérité. » Ce choix de couleur est devenu une marque de fabrique, un moyen de distiller l’essentiel.
Anton Corbijn Photographe
Le minimalisme et l’authenticité : capturer l’essence des artistes
L’approche de Corbijn est résolument minimaliste : pas de décors extravagants, pas de retouches sophistiquées. Ce qui compte, c’est l’émotion brute. Son objectif est de dénuder les artistes de tout ce qui est superficiel pour atteindre ce qui est réel. « La photographie, c’est une quête de vérité, » dit-il souvent.
L’influence du cinéma sur ses photos : un regard de réalisateur
Les photos de Corbijn sont souvent comparées à des scènes de films. Cela n’a rien d’étonnant, puisqu’il est aussi réalisateur. Ses expériences derrière la caméra ont enrichi son regard, ajoutant une dimension narrative à ses photos. Chaque cliché raconte une histoire, et c’est ce qui les rend si captivants.
Anton Corbijn, le réalisateur
En 2007, Corbijn fait ses débuts au cinéma avec Control, un biopic sur Ian Curtis, le chanteur de Joy Division. Le film est acclamé par la critique, et Corbijn se fait une place dans le monde du septième art.
« Control » : le film qui a marqué le début d’une carrière cinématographique
Loin d’être un simple biopic, Control est une œuvre intimiste, un hommage à l’univers musical que Corbijn connaît si bien. Le film plonge le spectateur dans l’angoisse et la vulnérabilité de Curtis, et le noir et blanc sert encore une fois de toile de fond pour raconter une histoire profondément humaine.
« The American » et « A Most Wanted Man » : explorer de nouveaux horizons
Après Control, Corbijn continue à explorer le cinéma avec des films comme The American et A Most Wanted Man. Bien que ces films soient très différents de ses débuts photographiques, ils portent la marque de son style : un souci du détail, une mise en scène soignée, et un amour pour les histoires qui vont à l’essentiel.
La complémentarité entre la photo et le cinéma : deux moyens d’expression distincts mais connectés
Pour Corbijn, la photographie et le cinéma sont deux facettes d’une même pièce. L’un capture un instant, l’autre raconte une histoire en mouvement, mais les deux cherchent à révéler l’âme humaine.
Bruce Springsteen Photos
L’héritage et l’influence d’Anton Corbijn
Le nom d’Anton Corbijn est indissociable de la culture rock, mais son influence s’étend bien au-delà de la musique. Son approche a marqué des générations d’artistes et de photographes, et son héritage continue de résonner dans le monde de la photographie contemporaine.
Influence sur les photographes contemporains et les réalisateurs
Les photographes modernes qui cherchent à capturer l’essence des artistes ont souvent été influencés par Corbijn. Son utilisation du noir et blanc, sa capacité à créer des images intemporelles et sa recherche de l’authenticité sont autant de traits repris par d’autres artistes.
La marque Anton Corbijn dans la culture populaire : de la musique aux arts visuels
Que ce soit à travers des pochettes d’albums, des vidéos ou des films, Corbijn a laissé une marque indélébile sur la culture populaire. Il a redéfini ce que signifie être un photographe de musique, et a montré que la photographie peut être aussi puissante que la musique elle-même.
Expositions et rétrospectives : une reconnaissance mondiale de son œuvre
Les expositions dédiées à son travail, notamment à la Tate Modern et au Fotomuseum, attirent les foules et témoignent de la reconnaissance internationale dont il jouit. Elles permettent à un nouveau public de découvrir ses œuvres et d’apprécier la profondeur de son art.
Conclusion
Anton Corbijn n’est pas qu’un simple photographe ou réalisateur, il est un raconteur d’histoires. Son style, son approche, et sa vision ont durablement marqué l’histoire de la photographie et de la musique. Ses œuvres ne se contentent pas de capturer des images, elles capturent des âmes, et c’est cela qui les rend intemporelles.
Clips réalisés par Anton Corbijn
Hockey, Palais Schaumburg (1983)
Beat Box, Art of Noise (1984)
Dr. Mabuse, Propaganda (1984)
Red Guitar, David Sylvian (1984)
Seven Seas, Echo & the Bunnymen (1984)
The Ink in the Well, David Sylvian (1984)
Pride (In the Name of Love) (third version), U2 (1984)
Bring on the Dancing Horses, Echo & the Bunnymen (1985)
Quiet Eyes, Golden Earring (1986)
A Question of Time, Depeche Mode (1986)
Bedbugs and Ballyhoo, Echo & the Bunnymen (1987)
Strangelove, Depeche Mode (1987)
Pimpf, Depeche Mode (1987)
The Game, Echo & the Bunnymen (1987)
Never Let Me Down Again, Depeche Mode (1987)
Lips Like Sugar (first version), Echo & the Bunnymen (1987)
Behind the Wheel, Depeche Mode (1987)
Welcome to Paradise, Front 242
My Secret Place, Joni Mitchell avec Peter Gabriel (1988)
Blueprint, Rainbirds (1988)
Atmosphere, Joy Division (1988)
Headhunter, Front 242 (1988)
Faith and Healing, Ian McCulloch (1989)
Sea of Time, Rainbirds (1989)
White City of Light, Rainbirds (1989)
Personal Jesus, Depeche Mode (1989)
Killer Wolf, Danzig (1990)
Enjoy the Silence (first version), Depeche Mode (1990)
Policy of Truth, Depeche Mode (1990)
World in My Eyes, Depeche Mode (1990)
May This Be Your Last Sorrow, Banderas (1990)
Clean, Depeche Mode (1991)
Marie, Herbert Grönemeyer (1991)
Two Faces, Rainbirds (1991)
Tragedy (For You), Front 242 (1991)
Halo, Depeche Mode (1991)
Front By Front, Front 242 (1992)
Hail Hail Rock ‘n’ Roll, Garland Jeffreys (1992)
Lover Lover Lover, Ian McCulloch (1992)
One (original version), U2 (1992)
Straight To You, Nick Cave and the Bad Seeds (1992)
Dirty Black Summer, Danzig (1992)
Do I Have to Say the Words?, Bryan Adams (1992)
I Feel You, Depeche Mode (1993)
Walking in My Shoes, Depeche Mode (1993)
Condemnation (first version), Depeche Mode (1993)
Heart-Shaped Box, Nirvana (1993) Alternative Video
Delia’s Gone, Johnny Cash (1994)
Mockingbirds, Grant Lee Buffalo (1994)
In Your Room, Depeche Mode (1994)
Liar, Henry Rollins (1994)
Love & Tears, Naomi Campbell (1994)
Have You Ever Really Loved a Woman?, Bryan Adams (1995)
My Friends (first version), Red Hot Chili Peppers (1995)
Hero of the Day, Metallica (1996)
Mama Said, Metallica (1996)
Barrel of a Gun, Depeche Mode (1997)
It’s No Good, Depeche Mode (1997)
Useless, Depeche Mode (1997)
Please (first version), U2 (1997)
Bleibt Alles Anders, Herbert Grönemeyer (1998)
Fanatisch, Herbert Grönemeyer (1998)
Goddess on a Hiway (second version), Mercury Rev (1998)
Salvation, Roxette (1999)
Opus 40 (first version), [Mercury Rev (1999)
Stars, Roxette (1999)
Chemical (first version), Joseph Arthur (2000)
In The Sun, Joseph Arthur (2000)
Invalid Litter Dept., At the Drive-In (2001)
Freelove (second version), Depeche Mode (2001)
Mensch, Herbert Grönemeyer (2002)
Electrical Storm, U2 (2002)
Re-Offender, Travis (2003)
Zum Meer, Herbert Grönemeyer (2003)
Haar Schnitt: Love Will Come Through, Travis (2004)
All These Things That I’ve Done » (second version) The Killers (2005)
Talk, Coldplay (2005)
Suffer Well, Depeche Mode (2005)
Viva La Vida (seconde version), Coldplay (2008)
Should Be Higher, Depeche Mode (2013)
Reflektor, Arcade Fire (2013)
Where’s the Revolution, Depeche Mode (2017)
Cover Me, Depeche Mode (2017)
FAQ sur Anton Corbijn
1. Pourquoi Anton Corbijn utilise-t-il principalement le noir et blanc dans ses photographies ?
Corbijn privilégie le noir et blanc car il considère que cette palette réduit les distractions et permet de se concentrer sur l’essentiel : l’émotion et l’authenticité du sujet. Pour lui, le noir et blanc crée une atmosphère intemporelle et évite que l’image ne soit datée par les tendances en matière de couleur. Cela ajoute également une profondeur émotionnelle, car les contrastes et les ombres révèlent des détails qui peuvent être perdus dans la couleur.
2. Quelles sont les collaborations les plus marquantes d’Anton Corbijn ?
Les collaborations les plus célèbres de Corbijn incluent des groupes tels que U2, Depeche Mode, Joy Division, Nirvana, et Metallica. Avec U2, il a non seulement photographié les pochettes d’albums, mais a aussi contribué à façonner l’esthétique visuelle du groupe pendant des décennies. Pour Depeche Mode, il a réalisé des clips vidéo iconiques et créé des pochettes d’albums inoubliables. Son travail avec Joy Division est particulièrement marquant, notamment pour avoir immortalisé Ian Curtis peu avant sa mort.
3. Comment le style de Corbijn a-t-il influencé la photographie musicale contemporaine ?
Anton Corbijn a introduit un style plus brut et émotionnel dans la photographie musicale, en s’éloignant de l’image glamour et en préférant une approche plus minimaliste et réaliste. Il a mis l’accent sur l’émotion des artistes, capturant des moments de vulnérabilité plutôt que des poses glamour. Cette approche a inspiré de nombreux photographes qui cherchent à aller au-delà de la surface pour capturer l’âme des musiciens.
4. Quel est le lien entre les travaux de Corbijn en photographie et en cinéma ?
Les travaux photographiques et cinématographiques de Corbijn sont étroitement liés par une recherche de vérité et d’émotion brute. En photographie, il capture des instants figés dans le temps qui racontent une histoire, tandis qu’au cinéma, il développe ces histoires sur la durée. Les deux disciplines lui permettent d’explorer l’intensité humaine, mais d’une manière différente : la photographie condense l’émotion en une seule image, tandis que le cinéma la déroule sur plusieurs minutes.
5. Quels films a réalisés Anton Corbijn et pourquoi sont-ils importants ?
Corbijn a réalisé plusieurs films, dont Control (2007), un biopic sur Ian Curtis de Joy Division, The American (2010), un thriller avec George Clooney, et A Most Wanted Man (2014), adapté du roman de John le Carré. Control est particulièrement important car il marque le passage de Corbijn de la photographie au cinéma, tout en conservant son esthétique visuelle caractéristique. Le film a été salué pour sa représentation intime et réaliste de Curtis et a montré que Corbijn pouvait utiliser le langage cinématographique pour explorer les mêmes thèmes que dans ses photographies.
6. Quelles techniques photographiques Anton Corbijn utilise-t-il ?
Corbijn privilégie les techniques simples et directes, évitant les retouches complexes. Il travaille principalement avec la lumière naturelle et utilise souvent des appareils photo argentiques pour obtenir une texture granuleuse. Sa préférence pour les prises de vue en extérieur ou dans des lieux peu conventionnels, plutôt qu’en studio, renforce l’authenticité de ses clichés. Il est également connu pour ses compositions asymétriques et ses angles inattendus qui donnent une impression de spontanéité.
7. Comment le travail de Corbijn avec Depeche Mode a-t-il influencé l’image du groupe ?
La collaboration avec Depeche Mode a débuté dans les années 80 et a contribué à transformer l’image du groupe, passant d’un look synth-pop à une esthétique plus sombre et mature. Les clips vidéo réalisés par Corbijn, tels que Enjoy the Silence et Personal Jesus, ont ajouté une dimension visuelle marquante aux chansons, renforçant l’identité du groupe. Les pochettes d’albums qu’il a créées, avec leur style épuré et émotionnel, sont également devenues des images emblématiques de la culture musicale.
8. Pourquoi les photographies d’Anton Corbijn sont-elles souvent comparées à des scènes de films ?
Les clichés de Corbijn ont un caractère cinématographique en raison de leur composition, de l’utilisation des ombres, et de la narration visuelle qui semble figer un moment d’une histoire plus vaste. Cette approche est influencée par son travail en tant que réalisateur, où il a appris à raconter des histoires à travers une série d’images en mouvement. Chaque photographie semble capturer un moment dans une scène de film qui n’existe que dans l’imagination du spectateur.
9. Quel a été l’impact d’Anton Corbijn sur les artistes avec lesquels il a travaillé ?
Les artistes qui ont collaboré avec Corbijn ne sont pas seulement des sujets de ses photographies, ils bénéficient aussi d’une redéfinition de leur image publique. Par exemple, U2 a évolué vers une esthétique plus introspective grâce à ses photographies, tandis que Depeche Mode a adopté une imagerie plus sombre et symbolique. Son travail ne se contente pas d’accompagner la musique, il la transcende et la complète, créant ainsi une synergie entre son art visuel et l’univers sonore des groupes.
10. Où peut-on voir les œuvres d’Anton Corbijn ?
Les œuvres de Corbijn sont exposées dans des musées et galeries prestigieuses à travers le monde. Des rétrospectives de son travail ont eu lieu au Fotomuseum de La Haye, à la Tate Modern de Londres, et au Foam Museum d’Amsterdam. Pour les amateurs d’art, ces expositions offrent une occasion unique de voir ses photographies en grand format et de découvrir leur impact émotionnel dans un cadre immersif.
11. Pourquoi le style de Corbijn est-il souvent qualifié de minimaliste ?
Le minimalisme chez Corbijn se manifeste par l’absence de distractions dans ses photos. Il élimine les éléments superflus pour ne laisser que l’essentiel, ce qui permet aux sujets de prendre toute la place. Ce style minimaliste, combiné à l’utilisation du noir et blanc, donne une impression de simplicité et d’intensité émotionnelle. Pour lui, moins c’est plus, et chaque détail compte.
12. Quelle est l’importance de l’intimité dans les photographies d’Anton Corbijn ?
L’intimité est au cœur de l’œuvre de Corbijn. Il parvient à établir une connexion avec les artistes qu’il photographie, capturant des moments de vulnérabilité et d’humanité. Ses photos ne sont pas seulement des images de célébrités, elles sont des portraits d’individus, avec leurs forces et leurs failles.
13. Comment Anton Corbijn choisit-il les projets sur lesquels il travaille ?
Corbijn a toujours été sélectif quant aux projets qu’il accepte. Il privilégie les collaborations où il sent qu’il peut apporter une vision unique, et où il y a un défi artistique à relever. Il aime travailler avec des musiciens et des artistes qui partagent une même sensibilité et une ouverture à l’expérimentation. Cette approche lui permet de maintenir une qualité artistique élevée dans son travail.
14. Quel a été l’impact de la numérisation sur le travail de Corbijn ?
Bien que le numérique ait transformé la photographie, Corbijn reste fidèle à l’argentique pour la majorité de ses projets. Il préfère le grain et la texture qu’offrent les films photographiques, même s’il utilise parfois le numérique pour des projets spécifiques. Son attachement à l’argentique témoigne de son désir de préserver une approche artisanale de la photographie.
15. Comment Corbijn voit-il l’avenir de la photographie ?
Corbijn est optimiste quant à l’avenir de la photographie, mais il croit que l’authenticité deviendra de plus en plus importante. Dans un monde saturé d’images, il pense que ce qui fera la différence, ce sera l’émotion et la sincérité capturées dans une photo, plutôt que la perfection technique.
Depuis 1986, l’esthétique intemporelle et menaçante du maître photographique néerlandais Anton Corbijn a solidifié la réputation de Depeche Mode en rendant leur image éthérée et toujours avant-gardiste.
« Anton a su donner une identité visuelle au son que les DM commençaient à créer. » Dave Gahan
Le volume contient plus de 500 photographies tirées des archives personnelles de Corbijn, certaines jamais vues auparavant, ainsi que des décors, des croquis, des couvertures d’albums et des observations personnelles de Corbijn.
Egalement en vente est une édition collector (# 201-1 986), chacune signée par Anton Corbijn et Depeche Mode.
C’est un artiste autodidacte qui a commencé une extraordinaire histoire quotidienne avec les SDF il y a une quinzaine d’années. Dans une interview publiée il y a quelques mois en Grande-Bretagne, il déclarait « Tout le monde passe comme si les sans-abris étaient invisibles. Je transcende la peur, dans l’espoir que les gens réalisent que ces gens sont comme vous et moi ».
Les photographies de Lee Jeffries ont la gravité et l’authenticité des véritables relations humaines. Il connaît chacun de ses sujets personnellement, parfois il partage leur quotidien jusqu’au point de dormir dans la rue à leurs côtés, partageant ainsi la brutalité de leur quotidien.
Pour l’artiste Lee Jeffries c’est le seul moyen de construire une relation réelle et ainsi de donner vie à ses portraits. Les incroyables prises de vue de Lee Jeffries dégagent une sensibilité exacerbée, émouvante, captant la beauté universelle de l’humanité dans ce qu’elle a de plus dramatique.
Lee Jeffries Photographe – Lee Jeffries Photographe
Lee Jeffries a déclaré dans des interviews qu’il considérait la photographie comme un moyen de communiquer avec les autres et de trouver une forme de connexion avec les personnes qu’il photographie. Il est également connu pour son engagement envers les causes humanitaires et pour son travail avec des organisations caritatives pour sensibiliser à la situation des personnes sans-abri.
L’histoire de Lee Jeffries
Passionné de foot, Lee Jeffries commença par photographier en premier lieu des manifestations sportives. Un jour, il photographie en cachette une jeune femme sans-abri, dans les rues de Londres. Il va à sa rencontre et c’est à ce moment-là que sa pratique photographique se voit.
En effet, Lee Jeffries a commencé à faire de la photographie en 2008. Avant cela, il travaillait dans le milieu financier à Manchester, en Angleterre. Son premier projet photographique, intitulé « Lost Angels », a commencé par accident lorsqu’il a photographié une jeune sans-abri à Londres en 2008. Cette rencontre a profondément marqué Lee Jeffries et l’a inspiré à poursuivre une série de portraits de personnes sans-abri, en capturant leur humanité et leur vulnérabilité.
Depuis lors, Lee Jeffries a continué à photographier des portraits poignants de personnes en situation de précarité à travers le monde, tout en travaillant comme photographe indépendant et en collaborant avec des organisations caritatives pour sensibiliser à la situation des personnes sans-abri.
Grâce à son style de photographie unique et émotionnellement puissant, Lee Jeffries est devenu un photographe renommé, exposant ses œuvres dans des galeries d’art et remportant de nombreux prix prestigieux de photographie.
Il décide alors de placer les sans-abris au cœur de son art. Il compose alors une série de photos nommée HOMELESS.
L’artiste Lee Jeffries poursuit alors son projet aux quatre coins du monde, car, pour lui, la photographie constitue un moyen d’attirer l’attention et de réunir des fonds pour les « homeless » (sans-abris) du monde entier.
Son style photographique unique utilise des techniques de lumière et d’ombre pour créer des portraits émotionnellement puissants et révélateurs.
Lee Jeffries a exposé ses œuvres dans des galeries d’art à travers le monde, notamment à New York, Paris et Londres, et a remporté de nombreux prix prestigieux de photographie. Ses photographies ont été publiées dans de nombreux magazines et journaux, et ont été utilisées pour des campagnes publicitaires et des projets humanitaires.
En dehors de la photographie, Lee Jeffries est connu pour sa passion pour la course à pied, qu’il considère comme un moyen de se vider l’esprit et de se concentrer sur la créativité. Il est également un fervent défenseur de la sensibilisation à la situation des personnes sans-abri et travaille avec des organisations caritatives pour aider à leur fournir de l’aide et du soutien.
Lee Jeffries en vidéos
Lee Jeffries, ses photographies les plus célèbres
Lee Jeffries est connu pour ses portraits émouvants et intenses de personnes en situation de précarité. Certaines de ses photos les plus célèbres comprennent :
« Angelina », une photo de 2011 d’une jeune fille sans-abri à Los Angeles, aux États-Unis. La photo montre Angelina, âgée de 18 ans, avec les yeux fermés et une expression de tristesse et de désespoir sur son visage. Cette photo est devenue l’une des plus célèbres de Lee Jeffries et a été largement partagée sur les réseaux sociaux.
« Homeless Simon », une photo de 2013 d’un homme sans-abri à Londres, au Royaume-Uni. Cette photo montre Simon avec un regard intense et déterminé sur son visage, portant une capuche et un manteau qui accentuent son air de mystère et de dignité.
« Elizabeth », une photo de 2013 d’une femme sans-abri à Los Angeles, aux États-Unis. Cette photo montre Elizabeth avec un regard dur et déterminé sur son visage, soulignant sa force intérieure et sa résilience.
« Benjamin », une photo de 2014 d’un homme sans-abri à Paris, en France. Cette photo montre Benjamin avec les yeux fermés, comme s’il était perdu dans ses pensées, et une expression douloureuse sur son visage, évoquant la douleur et la vulnérabilité des personnes en situation de précarité.
Ces photos, ainsi que de nombreuses autres œuvres de Lee Jeffries, ont été exposées dans des galeries d’art à travers le monde et ont été utilisées pour des campagnes publicitaires et des projets humanitaires.
Lee Jeffries, sa bibliographie et ses expositions
Lee Jeffries a publié plusieurs livres de photographie et a également exposé ses œuvres dans des galeries et des musées à travers le monde.
En 2014, Lee Jeffries a publié son premier livre de photographie, intitulé « Lost Angels », qui rassemble ses portraits de personnes sans-abri prises à Los Angeles. Ce livre a été très bien reçu et a contribué à faire connaître le travail de Lee Jeffries à un public plus large.
Depuis lors, Lee Jeffries a publié d’autres livres de photographie, notamment « Homeless » (2019), qui présente une sélection de portraits de personnes sans-abri prises dans différents endroits du monde, et « Gathered » (2021), qui présente une sélection de portraits de personnes issues de diverses communautés et cultures.
Le livre « Homeless » de Lee Jeffries, publié en 2019, est un recueil de portraits de personnes sans-abri prises dans différentes villes du monde, notamment à Paris, Londres, Rome, New York, Los Angeles et Amsterdam.
Le livre contient plus de 150 photographies en noir et blanc, qui capturent les visages et les expressions de personnes sans-abri dans leur quotidien. Les portraits sont accompagnés de courts textes qui racontent les histoires de vie des personnes photographiées, permettant ainsi de mieux comprendre leur situation et leur vécu.
L’ouvrage est divisé en plusieurs chapitres, chacun consacré à une ville différente et présentant des portraits de personnes sans-abri spécifiques à cette ville. Les portraits sont souvent très intenses et émouvants, montrant la vulnérabilité et la dignité des personnes sans-abri.
Le livre « Homeless » a été très bien accueilli par le public et la critique, salué pour la qualité artistique des photographies ainsi que pour la sensibilité et l’empathie de l’auteur envers les personnes photographiées. Le livre a également contribué à sensibiliser le public aux questions sociales liées à la pauvreté et à l’exclusion sociale, en mettant en lumière la réalité quotidienne des personnes les plus vulnérables de notre société.
Le livre « Gathered » de Lee Jeffries, publié en 2021, est un recueil de portraits de personnes de diverses communautés et cultures, prises dans différentes villes du monde. Il est construit sur le modèle de « Homeless ». Le livre contient plus de 200 photographies en noir et blanc, qui capturent les visages et les expressions de personnes issues de différentes origines, races, cultures et religions. Les portraits sont souvent très intenses et expressifs, montrant la diversité et la richesse de l’humanité.
Le livre « Gathered » a aussi été très bien accueilli par le public et la critique, salué pour la qualité artistique des photographies ainsi que pour la sensibilité et l’empathie de l’auteur envers les personnes photographiées. Le livre est une célébration de la diversité humaine et un appel à l’ouverture d’esprit et à la tolérance envers les différences culturelles et sociales.
En plus de ses livres, Lee Jeffries a exposé ses œuvres dans des galeries d’art à travers le monde, notamment à Londres, Paris, Berlin, New York et Los Angeles. Ses photos ont également été exposées dans des musées, tels que le Musée d’art contemporain de Shanghai et le Musée de la Photographie de Moscou.
Les œuvres de Lee Jeffries sont appréciées pour leur intensité émotionnelle et leur capacité à susciter l’empathie envers les personnes les plus vulnérables de notre société. Ses expositions et publications ont contribué à sensibiliser le public aux questions sociales liées à la pauvreté, à la précarité et à l’exclusion sociale.
FAQ sur le photographe, Lee Jeffries
Q1: Qui est Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries est un photographe anglais célèbre pour ses photographies de rue réalisées avec des appareils-photos argentiques.
Q2: Quelles sont les principales caractéristiques de ses photographies?
R: Les principales caractéristiques de ses photographies sont la lumière douce et enveloppante et les couleurs vives, ce qui donne une atmosphère unique à ses images.
Q3: Quels sont les principaux sujets de ses photographies?
R: Les principaux sujets de ses photographies sont les personnes à la rue, les sans-abri et les réfugiés, qu’il aime à photographier pour faire prendre conscience des conditions difficiles de leur vie.
Q4: Quel est le style de Lee Jeffries?
R: Le style de Lee Jeffries est un style de portrait intime et émouvant, où les visages et les histoires humaines sont mis en avant.
Q5: Quels sont les appareils-photos qu’utilise Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries utilise principalement des appareils-photos argentiques, comme le Canon EOS-1V et le Hasselblad 503 CW.
Q6: Quels sont les logiciels de retouche d’image qu’utilise Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries utilise principalement Adobe Photoshop pour retoucher ses images.
Q7: Quels sont les principaux prix que Lee Jeffries a reçu?
R: Lee Jeffries a reçu de nombreux prix, dont le Prix du Public du Taylor Wessing Photographic Portrait Prize et le Prix du Public du Sony World Photography Award.
Q8: Quels sont les principaux projets de Lee Jeffries?
R: Les principaux projets de Lee Jeffries sont ses séries de photographies intitulées « Les Visages de la Marge » et « Les Portraits des Réfugiés ».
Q9: Quels sont les principaux prix que Lee Jeffries a remportés?
R: Lee Jeffries a remporté de nombreux prix, dont le Prix du Public du Taylor Wessing Photographic Portrait Prize et le Prix du Public du Sony World Photography Award.
Q10: Quels sont les principaux livres publiés par Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries a publié deux livres, « The Faces of the Margin » et « The Portraits of the Refugee ».
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Vous avez eu une conférence à la Stockholm Gallery, pouvez-vous me dire de quels thèmes vous avez discuté?
Lee Jeffries: Dans mes conférences, j’essaie de souligner la profondeur des relations avec les personnes que je photographie. Je montre généralement un petit clip vidéo que j’ai réalisé au cours des six dernières années pour le prouver. Il est extrêmement puissant et met toujours le public dans un état de choc émotionnel.
Certains de nos lecteurs ne connaissent peut-être pas la fille sans-abri qui a changé à jamais votre approche artistique. Pouvez-vous m’en dire plus sur cette rencontre inoubliable?
Oui, il y a une histoire que je connais bien. Celle du marathon de Londres. La veille de la course, j’étais dans la rue pour essayer de shooter quelque chose.
Je remarque une fille sans-abri qui est blottie dans un sac de couchage dans une porte de magasin de l’autre côté de la rue et je la photographie avec mon objectif 200 mm! Elle me voit et commence à poser un grand moment. J’ai honte de l’absence de réaction des passants. Tout ce que je veux, c’est la sortir de l’enfer. Quelque chose m’arrête et je vais lui parler. Elle m’a appris ma première leçon de photographe.
Avez-vous une formation en photographie?
Mes photos parlent de foi, d’amour et d’humanité.
Quand j’ai commencé (il y a 6 ans), je n’avais pas d’approche artistique particulière. J’ai vécu ma vie … en aimant … en ouvrant mon cœur à toutes sortes d’influences que j’ai maintenues jusqu’à ce jour. L’amour était le catalyseur de tout. Cela m’a amené de grand moment de plaisir, mais aussi des périodes de solitude sans fin qui se poursuivent encore aujourd’hui.
En fait, cela ne me dérange pas d’admettre que l’amour est la force motrice de tous mes efforts artistiques. Les sans-abris ? Pas parce qu’ils sont sans abri … plus qu’eux je comprends et je reconnais vraiment la solitude avec laquelle je marche tous les jours. C’était et c’est mon point de départ.
Votre entreprise sensibilise et influence la perception de la société. Vous avez également créé de nombreuses initiatives. Pourriez-vous développer?
J’ai eu beaucoup de chance. Une sélection de mes photos peut être achetée dans les galeries YellowKorner du monde entier.
Cela leur a donné une exposition inestimable. YellowKorner et moi avons également pu organiser des ventes aux enchères caritatives, dont la dernière a permis de récolter plus de 25 000 euros pour une association caritative basée à Paris.
J’entends l’incompréhension du public face à l’exploitation commerciale de la pauvreté, mais je pense vraiment que sans un certain nombre d’événements commerciaux comme la vente aux enchères caritatives, les gens n’auraient tout simplement pas pris conscience des conditions de vie d’un sans-abri. Il faut développer un certain niveau de conscience dans le monde de l’art.
Certains portraits ressemblent presque à une photo sincère, ils semblent distraits de leurs propres pensées. Comment y arrivez-vous et comment abordez-vous votre sujet ? Avez-vous une méthode ?
Chaque sujet est un projet. Je vais dans un quartier, par exemple à Overtown à Miami, et je plonge dans une communauté. Je marche dans les rues, mange et dors là-bas pendant des semaines. Je fais partie de cette communauté. Cela me permet d’établir des connexions profondes.
Le post-traitement est un élément clé de votre travail. Pouvez-vous me parler de votre technique ?
J’ai assisté à une réunion avec Justin Zackham à Ojai il y a quelques années et il m’a posé la même question. J’ai commencé à expliquer .. oh pendant environ 20 minutes. Finalement, il a dit: « Lee, j’aurais aimé ne jamais vous poser cette question. Vos photos sont bien plus que tout autre processus. Estimez ce que représente l’image … pas comment elle a été faite. »
Si vous deviez choisir une photo que vous aimez le plus, laquelle choisiriez-vous et pourquoi?
J’ai un lien émotionnel avec chacun d’elles. Si je devais en nommer une seule, ce serait la version couleur des mains en prière. Tout a commencé à Rome. Courir dans les couloirs du Vatican en larmes. Cette image capture l’essence de ce que j’ai fait là-bas.
« Sumo » aux éditions Taschen, de Annie Leibovitz est un livre de photographies incroyablement unique et remarquable.
Mesurant plus de 50 centimètres de haut et pesant près de 60 kilogrammes, ce livre est considéré comme l’un des plus grands livres de photographies jamais publiés. Publié pour la première fois en 1999 en édition limitée à seulement 10 000 exemplaires numérotés et signés, ce livre est devenu un objet de collection rare et recherché par les amateurs de photographie et les collectionneurs d’art.
Avec plus de 400 photographies captivantes couvrant la carrière de Leibovitz depuis les années 1970 jusqu’à aujourd’hui, « Sumo » est une vitrine spectaculaire de l’œuvre de l’un des plus grands photographes du monde.
Annie Leibovitz est une photographe américaine née en 1949. Elle est surtout connue pour ses portraits de célébrités et de personnalités publiques, ainsi que pour son travail pour le magazine Rolling Stone et le Vanity Fair.
Au cours de sa carrière, elle a capturé des images iconiques de personnalités telles que John Lennon, Yoko Ono, Mick Jagger, Queen Elizabeth II, Barack Obama et de nombreuses autres.
Elle a également travaillé sur des campagnes publicitaires pour des marques de renom telles que American Express et Louis Vuitton. En plus de ses portraits, Leibovitz est également reconnue pour son travail sur des séries photographiques, notamment sur les thèmes de la guerre et de la culture populaire américaine. Elle est largement considérée comme l’une des photographes les plus influentes de notre époque.
Dans cet article, nous allons plonger dans les coulisses de ce livre extraordinaire et découvrir pourquoi il est devenu un objet de convoitise pour les amateurs d’art et les collectionneurs du monde entier.
La description du Sumo Annie Leibovitz par Taschen
Lorsque Benedikt Taschen a demandé au photographe portraitiste le plus important travaillant aujourd’hui, de rassembler ses photos dans un livre au format SUMO, elle a été intriguée et interpellée. Le projet a mis plusieurs années à se développer et s’est révélé plus qu’intéressant.
Annie Leibovitz s’est inspirée de plus de 40 ans de travail, en commençant par le reportage viscéralement intime qu’elle a créé pour le magazineRolling Stone dans les années 1970, en passant par le portrait plus stylisé de son travail pour Vanity Fair et Vogue. Des images célèbres telles que John Lennon et Yoko Ono enlacées dans une dernière étreinte côtoient des portraits rarement, voire jamais vus auparavant.
Annie Leibovitz a pu présenter certains de ses célèbres portraits de groupe dans un format qui prouve qu’elle est la maîtresse du genre. Ses images sont à la fois intimes et iconiques, stylistiquement larges et aussi uniquement la sienne. Annie Leibovitz est souvent imitée, en particulier par les jeunes photographes, mais son travail est immédiatement reconnaissable.
Les serre-livres de la collection Leibovitz sont la photographie en noir et blanc de l’hélicoptère de Richard Nixon décollant de la pelouse de la Maison Blanche après sa démission en tant que président en 1974, et le portrait officiel en couleur de la reine Elizabeth II pris dans un salon du palais de Buckingham en 2007.
Entre les deux, des portraits qui composent un album de famille de notre temps : comédiens, danseurs,musiciens, artistes, écrivains, performeurs, journalistes, sportifs, hommes d’affaires.
La performance et la puissance sont des thèmes récurrents. Un livre supplémentaire contient des essais d’Annie Leibovitz, de Graydon Carter, Hans Ulrich Obrist et Paul Roth ainsi que de courts textes décrivant les sujets de chacune des plus de 250 photographies.
Taschen Sumo Annie Leibovitz
L’édition Collector est disponible en quatre couvertures différentes :
-Whoopi Goldberg, Berkeley, Californie, 1984
-Keith Haring, New York, 1986
-David Byrne, Los Angeles, 1986
-Patti Smith, Nouvelle-Orléans, Louisiane, 1978
Limité à un total de 10 000 exemplaires signés et numérotés, ce livre est disponible en édition collector (n° 1 001– 10 000) et également en édition d’art (n° 1 à 1 000) avec un tirage d’art, signé par Annie Leibovitz, et l’ensemble complet des quatre couvertures.
Taschen Sumo Annie Leibovitz
L’histoire du Sumo Annie Leibovitz par Taschen
Avec toute la technologie avec laquelle nous vivons tous les jours, il y a quelque chose à dire sur le fait de se blottir avec un bon livre. Avant la télévision, les films et Internet, les livres ont été fabriqués à la main par des artisans et des illustrateurs et, avec l’invention de l’imprimerie, ont rendu l’art et les artistes accessibles au public depuis la fin du XIXe siècle.
Le célèbre marchand d’art et éditeur Ambroise Vollard (1866 – 1939) s’est profondément engagé dans la production de livres d’artistes et a créé plusieurs volumes en éditions limitées qui sont toujours recherchés aujourd’hui. Un livre d’artiste est une œuvre d’art sous forme de livre, souvent créée pour illustrer une œuvre littéraire.
Le livre en édition limitée serait publié avec les tirages en vrac qui l’accompagnent, souvent contenus dans un étui ou une boîte à linge. Au cours des années 1900, des artistes européens bien connus tels que Picasso, Matisse, Miró et Chagall ont collaboré avec les éditeurs les plus importants de Paris pour créer des livres en édition limitée somptueusement imprimés basés sur de grandes œuvres littéraires, remontant jusqu’au deuxième siècle. .
André Suares, un éditeur bien connu du siècle dernier a dit des livres d’artistes de Vollard ; « Des livres comme ceux-ci n’ont jamais été faits auparavant et ne seront plus jamais faits. » Et nous ressentons la même chose pour les offres de Taschen.
Conformément à la tradition de la collection de livres, ÆRENA Galleries and Gardens est heureuse de présenter une sélection de livres à collectionner en édition limitée de l’éditeur de renommée mondiale Taschen, y compris leur gamme de livres SUMO très recherchés et signés qui incluent : Annie Leibovitz, The Rolling Stones , David Hockney, Genesis de Sebastiao Salgado et un nombre très limité d’archives James Bond épuisées. « Pas le temps de mourir ».
Caractéristiques du Sumo Annie Leibovitz par Taschen
Artiste : TASCHEN
Titre : Sumo Annie Leibovitz – Whoopi
Médias:
Dimensions : 19,70″ x 27,00″ x 2,00″
Édition : Unique
Hauteur : 19,7″
Largeur : 27″
Profondeur : 2″
Poids : 108 livres
Code produit : T-66W
Voici quelques-unes des principales caractéristiques détaillées du livre « Sumo » de Annie Leibovitz :
Taille : le livre est incroyablement grand, mesurant plus de 50 centimètres de haut et 70 centimètres de large une fois déplié.
Poids : le livre pèse près de 60 kilogrammes, ce qui en fait l’un des plus grands et des plus lourds livres de photographies jamais publiés.
Édition limitée : le livre a été publié en édition limitée à seulement 10 000 exemplaires numérotés et signés, ce qui en fait un objet de collection rare et recherché.
Plus de 400 photographies : le livre contient plus de 400 photographies captivantes de la carrière de Leibovitz depuis les années 1970 jusqu’à aujourd’hui.
Couverture en SUMO-tissu : la couverture du livre est fabriquée en SUMO-tissu, une toile durable et résistante.
Design unique : le livre a été conçu par Marc Newson, un célèbre designer industriel australien, qui a créé une structure en accordéon qui permet de déployer les pages avec facilité.
Contenu varié : les photographies présentées dans le livre couvrent une grande variété de sujets, allant des portraits de célébrités et de personnalités publiques aux paysages, en passant par des séries photographiques sur des thèmes tels que la guerre et la culture populaire américaine.
En somme, « Sumo » est un livre de photographies unique en son genre, qui présente le travail captivant et influent de l’une des photographes les plus célèbres de notre époque.
Le livre « Sumo » de Annie Leibovitz contient plus de 400 photographies, ce qui en fait un ouvrage très riche et varié. Voici un aperçu des photos et du sommaire :
Introduction : le livre commence par une introduction de l’acteur et ami de longue date de Leibovitz, Steve Martin.
The Early Years : cette section présente les premiers travaux de Leibovitz, y compris des portraits de musiciens et de personnalités publiques des années 1970.
The 1980s : cette section contient des portraits iconiques de personnalités telles que Mikhail Baryshnikov, Keith Haring, et Christo et Jeanne-Claude.
The 1990s : cette section inclut des portraits de personnalités telles que Patti Smith, Demi Moore enceinte, et Arnold Schwarzenegger.
The 2000s : cette section contient des portraits de personnalités telles que George W. Bush, Queen Elizabeth II, et Lance Armstrong.
The Women : cette section est consacrée aux portraits de femmes, notamment des artistes, des actrices et des musiciennes.
The Dancers : cette section présente des portraits de danseurs et de chorégraphes tels que Mikhail Baryshnikov, Martha Graham, et Jerome Robbins.
The Athletes : cette section contient des portraits de sportifs, notamment des joueurs de basket-ball, de football américain et de golf.
The War : cette section est consacrée à la photographie de guerre et inclut des images de soldats et de paysages dévastés.
The Performers : cette section présente des portraits de comédiens, de musiciens, de chanteurs d’opéra et de circassiens.
The Landscape : cette section contient des images de paysages américains, notamment des déserts, des forêts et des plages.
The Queen : cette section est consacrée aux portraits de la reine Elizabeth II et inclut des images prises à Buckingham Palace.
The End : le livre se termine par une sélection de photographies récentes de Leibovitz.
En somme, « Sumo » est un livre qui présente une grande variété de travaux photographiques de Leibovitz, allant des portraits de célébrités et de personnalités publiques à la photographie de guerre en passant par les paysages et les images de danse et de sport.
À propos de Taschen
Qu’est-ce que la vie, sinon l’art ? Et en tant qu’êtres humains, nous aimons aussi collectionner l’art. Vous avez de la chance car Taschen est un éditeur d’art et d’anthropologie dont les livres regorgent de photos de qualité, de littérature informative et de designs uniques. La société est bien connue pour sa vision astucieuse de sujets tels que l’architecture, le mysticisme et la culture pop.
Les amateurs d’art et les collectionneurs de livres sont devenus fous pour Taschen, et cela se voit. Entre leur abondance de critiques Taschen en ligne, leurs 425 000 abonnés sur Instagram et des articles réguliers dans des périodiques bien connus comme Forbes et Vanity Fair, cette maison d’édition d’art avant-gardiste a fait l’effort de se démarquer de votre libraire moyen pour se faire remarquer.
Avec la vision motrice de l’entreprise de vendre à la fois des livres de collection en édition limitée et de la littérature à bas prix, Taschen touche tous les créneaux du marché des amateurs de livres. Cette revue Taschen va vous aider à décider si vous souhaitez investir dans l’une de leurs pièces uniques et impressionnantes.
Présentation de Taschen
Cette maison d’édition a été fondée en 1980 par Benedikt Taschen, qui écrivait ses propres bandes dessinées et voulait partager son travail avec le monde. En peu de temps, l’entreprise est rapidement devenue une entreprise qui ne se spécialisait pas seulement dans les romans graphiques, mais aussi dans l’art, la littérature et même l’érotisme.
Actuellement dirigée par Benedikt et sa fille Marlene, cette maison d’édition a atteint un statut bien connu en raison de sa qualité d’impression et de ses grandes pièces de déclaration de la longueur d’un livre qui peuvent être appréciées par les propriétaires et les invités. Chaque livre Taschen est conçu pour impressionner, inspirer et apparaître comme de l’art .
Avant d’approfondir l’héritage et les offres que l’entreprise promeut, nous voulions vous montrer la liste des faits saillants que nous avons collectés, afin que vous puissiez voir, dès le départ, ce dont Taschen est fier.
Points forts de Taschen
L’éditeur propose une grande variété de sujets
Collections de livres rares
Long héritage (depuis 1980)
Entreprise familiale et exploitée
Disponible en ligne et en magasin
Expédition rapide aux États-Unis
Livraison gratuite sur les commandes de plus de 100 $
Revue Taschen
Avec une pile de merveilleux faits saillants comme celui-ci, il est difficile de ne pas être curieux de savoir ce que Taschen fait bien d’autre. Cette entreprise existe depuis un certain temps, elle a donc un catalogue impressionnant de livres, de produits et, bien sûr, des avis Taschen de clients qui souhaitent donner leur avis.
Pour conclure, « Sumo » de Annie Leibovitz est bien plus qu’un simple livre de photographies. C’est un monument à la carrière d’une des photographes les plus influentes de notre époque. Avec des images captivantes et des portraits iconiques de personnalités célèbres, ce livre est devenu un objet de collection incontournable pour les amateurs de photographie et les collectionneurs d’art.
Avec sa taille impressionnante et son poids considérable, « Sumo » est un objet à part entière, une œuvre d’art en soi. Le travail de Leibovitz dans ce livre est le reflet de son incroyable talent, son sens aigu de l’esthétique et sa capacité à capturer l’essence même de ses sujets. « Sumo » est un témoignage de l’héritage photographique de Leibovitz, un héritage qui continuera d’influencer et d’inspirer des générations de photographes à venir.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
FAQ sur Annie Leibovitz et son livre « Sumo » de 2014
Question 1: Qui est Annie Leibovitz ?
Annie Leibovitz est une photographe américaine célèbre pour ses portraits de célébrités, de musiciens, de politiciens et d’autres personnalités influentes. Elle a travaillé pour des magazines tels que Rolling Stone, Vanity Fair et Vogue.
Question 2 : Qu’est-ce que « Sumo » ?
« Sumo » est un livre de photographies publié en 2014 par Annie Leibovitz. Le livre mesure plus de 50 centimètres de haut et pèse près de 60 kilogrammes. Il est considéré comme l’un des plus grands livres de photographies jamais publiés.
Question 3 : Que contient « Sumo » ?
« Sumo » contient plus de 400 photographies de Leibovitz, couvrant sa carrière depuis les années 1970 jusqu’à aujourd’hui. Les photos comprennent des portraits de célébrités, des paysages, des photos de mode et des reportages.
Question 4: Pourquoi « Sumo » est-il si grand et lourd ?
Le livre a été conçu pour être aussi grand que possible afin de mettre en valeur les photographies de Leibovitz, qui sont souvent grandioses et spectaculaires. Le titre du livre fait référence aux lutteurs de sumo, qui sont également de grandes et puissantes figures. Le poids et la taille du livre ont également contribué à son caractère unique et à sa valeur en tant qu’objet d’art.
Question 5: Combien coûte « Sumo » ?
Le prix initial de « Sumo » était de 2 500 $US. Depuis lors, le prix a fluctué en fonction de la rareté et de la demande, et il peut être considérablement plus élevé.
Question 6: Y a-t-il d’autres éditions de « Sumo » disponibles ?
Oui, il existe des éditions moins chères de « Sumo » qui ont été publiées depuis la première édition en 1999. Il y a une édition XL de 2019, qui mesure 70 cm x 50 cm, mais qui est beaucoup plus légère. Les éditions ultérieures peuvent avoir des photographies supplémentaires ou être publiées dans des formats plus petits.
Question 7: Combien d’exemplaires de « Sumo » ont été imprimés ?
Seulement 10 000 exemplaires ont été imprimés de la première édition de « Sumo ». Chaque exemplaire était numéroté et signé par Leibovitz.
Question 8: Qui a écrit l’introduction de « Sumo » ?
L’introduction de « Sumo » a été écrite par l’écrivain américain Paul Roth.
Question 9: Quel est le format de « Sumo » ?
Le format original de « Sumo » mesure 50 cm x 70 cm et pèse environ 60 kilogrammes. Les éditions ultérieures peuvent être publiées dans des formats plus petits.
Question 10 : Est-ce que « Sumo » est un livre de photographies en couleur ou en noir et blanc ?
« Sumo » contient à la fois des photographies en couleur et en noir et blanc.
Question 11: Quelles sont les célébrités les plus connues qui figurent dans « Sumo » ?
« Sumo » contient des portraits de nombreuses célébrités connues, notamment Mick Jagger, John Lennon, Yoko Ono, Queen Elizabeth II, Demi Moore, Brad Pitt, Angelina Jolie, et Barack Obama.
Question 12 : Quelle est la valeur actuelle de « Sumo » ?
La valeur de « Sumo » dépend de nombreux facteurs, notamment de l’état de l’exemplaire, du nombre d’exemplaires encore en circulation et de la demande du marché. Les exemplaires signés et numérotés peuvent se vendre pour des sommes considérables, allant jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de dollars.
Qu’est-ce qu’une impression Fine ART ? Si vous cherchez à réserver une séance photo, il y a de fortes chances que vous ayez entendu un photographe mentionner Fine ART, et vous vous demandez peut-être ce que cela signifie.
L’impression Fine ART est-elle différente des impressions que vous pouvez obtenir dans un grand magasin ? Est-ce important ?
J’adore les tirages Fine ART– la couleur et la qualité sont fantastiques et incroyablement belles. Mais si vous n’avez pas vu une impression d’art dans la chair, il peut être difficile de comprendre de quoi parle tout ce battage médiatique, et pourquoi cela vaut la peine de dépenser plus pour ces impressions que vous ne le feriez avec un imprimeur grand public.
Dans cet article, j’expliquerai ce qu’est une impression d’art, les matériaux qui entrent dans la création d’impressions d’art et la différence que cela fait.
impression Fine ART
Qu’est-ce qu’une impression Fine ART?
« Beaux-arts », « qualité musée », « qualité archive »… ce sont tous des termes que vous rencontrerez peut-être en explorant le monde de la photographie et en voyant des photographes parler de leurs tirages.
Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment ? En bref, une estampe d’art est une impression de très haute qualité – de la même qualité qu’un musée ou une galerie imprimerait des œuvres pour les exposer.
impression Fine ART
En bref, il y a deux choses qui font d’une estampe une œuvre d’art :
Papier pour tirages Fine ART
Le papier utilisé pour les tirages d’art est sans acide. C’est l’acide contenu dans les papiers photographiques qui provoque la décoloration et la fissuration des photographies au fil du temps. L’utilisation de papiers sans acide contribue donc à garantir que votre impression dure toute une vie.
Fait intéressant, il en va de même pour les tapis sur lesquels vos photographies sont montées – s’ils contiennent de l’acide, ils jauniront beaucoup plus rapidement.
Encres pour tirages Fine ART
Tout comme les papiers photographiques ne sont pas tous créés égaux, les imprimantes ne sont pas non plus utilisées pour faire des tirages.
Les tirages d’art sont imprimés à l’aide d’imprimantes très haut de gamme, qui ont un spectre de couleurs beaucoup plus large que les imprimantes standard. Ces imprimantes auront 8 à 12 encres de couleurs différentes, qu’elles pourront mélanger pour créer des millions de couleurs différentes.
Le résultat est que les couleurs de votre impression seront beaucoup plus précises et fidèles à l’image d’origine que si vous l’aviez imprimée avec une imprimante standard.
Fine ART
Qu’est-ce qu’une impression Fine ART?
Une impression Fine Art est une reproduction d’une photographie, d’un dessin ou d’une peinture qui est faite à la main avec des encres et des papiers de qualité supérieure pour créer un rendu esthétique proche de l’original. Il s’agit d’une technique d’impression d’art qui permet de reproduire des œuvres d’art à des fins de collection ou de décoration.
Les impressions Fine Art sont généralement produites en édition limitée, ce qui signifie qu’il n’y a qu’un certain nombre de tirages de chaque image produite. Cela augmente la valeur de l’impression et la rend plus recherchée par les collectionneurs.
Les impressions Fine Art sont généralement produites sur des papiers d’art de qualité supérieure, tels que le papier à base de coton, le papier d’archivage ou le papier à base d’eau, qui offrent une meilleure résistance à la décoloration et une durée de vie plus longue. Les encres utilisées sont également de qualité supérieure, elles sont pigmentées, cela garantit une meilleure résistance à la lumière et une meilleure durée de vie.
En résumé, une impression Fine Art est une reproduction d’une œuvre d’art produite à la main avec des encres et des papiers de qualité supérieure pour créer un rendu esthétique proche de l’original. Elle est produite en édition limitée, augmentant ainsi sa valeur, et est généralement utilisée à des fins de collection ou de décoration.
Toutes les impressions d’art ne sont pas égales
Ainsi, comme nous l’avons appris jusqu’à présent, la différence entre une impression d’art et une impression que vous pouvez commander auprès d’un imprimeur de rue ou en ligne est que la reproduction des couleurs est beaucoup plus précise, et le papier conservera cette couleur, et sa forme pour de nombreuses années. Avec les bons soins, cela peut durer plus de 60, voire 100 ans.
Mais le processus d’impression ne se résume pas à cela. Le type de papier d’art que vous choisirez pour votre impression fera également une différence dans l’apparence de votre impression.
Les papiers beaux-arts sont souvent fabriqués à partir de fibres de coton, mais peuvent également être fabriqués à partir d’autres matériaux tels que le bambou, ou avoir un revêtement spécial. Les différentes caractéristiques de ces papiers auront un impact sur l’apparence de votre impression – certains papiers sont bons pour imprimer des couleurs vives, d’autres feront ressortir vos photographies en noir et blanc. D’autres sont meilleurs pour les tons plus doux et sourds. En bref, choisir le bon papier pour votre impression aura un impact sur son apparence.
Fine ART
Les differents papiers photo fine art
Il existe plusieurs types de papiers photo fine art utilisés pour produire des impressions de qualité supérieure. Voici quelques exemples :
Papier à base de coton : Ce type de papier est fabriqué à partir de fibres de coton de haute qualité, ce qui lui confère une excellente durabilité et une résistance accrue à la décoloration. Il est également très doux et offre une texture naturelle pour des impressions haut de gamme.
Papier d’archivage : Ce type de papier est conçu pour une utilisation à long terme et est fabriqué à partir de matériaux de qualité supérieure pour une excellente stabilité à la lumière et une durée de vie accrue. Il est également souvent utilisé pour les tirages d’art de grande taille.
Papier à base d’eau : Ce type de papier est fabriqué à partir d’un mélange de cellulose et d’eau, il est sans acide, non couché et non blanchi. Il offre une excellente qualité d’impression avec des couleurs riches et des contrastes élevés.
Papier jet d’encre : Les papiers jet d’encre sont conçus pour une utilisation avec les imprimantes jet d’encre, ils offrent une qualité d’image élevée et une gamme de couleurs étendue. Ils sont également souvent utilisés pour les tirages d’art de grande taille.
Papier mat : Les papiers mats ont une finition non brillante qui permet de minimiser les reflets et de maximiser les contrastes. Il est souvent utilisé pour les photographies en noir et blanc ou pour les photographies avec des couleurs douces.
Il est important de noter que pour chaque type de papier, il existe des variations de qualité, et il est important de choisir un papier de qualité supérieure pour obtenir les meilleurs résultats d’impression. Il est également important de prendre en compte les préférences esthétiques et les exigences de conservation de l’œuvre en question pour choisir le papier approprié.
Fine art
Comment prendre soin de vos tirages Fine ART
Alors maintenant que vous avez de magnifiques tirages d’art, que pouvez-vous faire pour vous assurer qu’ils durent toute une vie ?
La principale chose que vous pouvez faire,c’est de considérer comment ils sont exposés à la lumière. Au fil du temps, c’est l’exposition à la lumière qui endommagera vos photographies – non seulement la décoloration des couleurs, mais la lumière UV peut également provoquer l’affaiblissement et le blanchiment du papier. Les températures extrêmes peuvent également endommager l’impression.
Pour prendre soin de vos impressions, vous pouvez faire quelques gestes pour limiter leur exposition à la lumière, à la chaleur et au froid :
Évitez d’accrocher vos tirages dans un endroit où ils seront en plein soleil pendant toute ou une partie de la journée.
Si vos tirages sont exposés en plein soleil, essayez de limiter leur exposition en fermant les stores ou les rideaux lorsque la pièce n’est pas utilisée.
Laisser les lumières éteintes lorsque la pièce n’est pas occupée
Sachez que si vous accrochez vos impressions au-dessus d’un feu qui est souvent utilisé, la chaleur peut faire vieillir votre impression plus rapidement.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le fine art est une forme d’art visuel qui est créée pour exprimer des idées ou des émotions plutôt que pour servir une fonction utilitaire.
2. Quels types d’art sont considérés comme du fine art ?
Le fine art peut inclure une variété de médiums tels que la peinture, la sculpture, la photographie, la gravure et la céramique.
3. Comment le fine art est-il différent de l’art commercial ?
Le fine art est créé pour l’expression personnelle et la créativité de l’artiste, tandis que l’art commercial est créé pour un but spécifique tel que la publicité ou la promotion d’un produit.
4. Comment peut-on apprécier le fine art ?
Le fine art peut être apprécié de nombreuses manières, notamment en visitant des musées et des galeries d’art, en participant à des expositions d’art et en achetant des œuvres d’art pour les collectionner.
5. Comment les artistes déterminent-ils le prix de leurs œuvres d’art en fine art ?
Les artistes déterminent souvent le prix de leurs œuvres d’art en fonction de leur expérience, de leur renommée, de la rareté de leur œuvre et de la taille de l’œuvre.
6. Qu’est-ce que la reproduction en fine art ?
La reproduction en fine art est un processus utilisé pour créer des reproductions d’œuvres d’art originales. Les reproductions sont souvent produites en utilisant des techniques d’impression de haute qualité telles que la lithographie, la sérigraphie ou l’impression giclée.
7. Comment peut-on se former à la pratique du fine art ?
La formation à la pratique du fine art peut inclure des cours d’art dans des écoles ou des universités, des ateliers d’art, des stages et des résidences d’artistes.
8. Comment peut-on acheter des œuvres d’art en fine art ?
Les œuvres d’art en fine art peuvent être achetées en visitant des galeries d’art, des foires d’art, des ventes aux enchères ou en ligne sur des sites spécialisés dans l’art.
9. Comment peut-on prendre soin de ses œuvres d’art en fine art ?
Il est important de prendre soin de ses œuvres d’art en fine art en évitant la lumière directe du soleil, l’humidité et les températures extrêmes. Les œuvres d’art doivent également être nettoyées régulièrement avec des méthodes de nettoyage appropriées.
10. Comment peut-on évaluer la qualité d’une œuvre d’art en fine art ?
L’évaluation de la qualité d’une œuvre d’art en fine art peut être subjective, mais certains critères peuvent inclure la technique, la créativité, la qualité des matériaux et la renommée de l’artiste. Il est également important de considérer l’état de l’œuvre d’art, son histoire et sa provenance. Il est recommandé de consulter un expert en art ou un évaluateur certifié pour obtenir une évaluation professionnelle de la valeur et de la qualité d’une œuvre d’art en fine art.
Le Fuji X100V : un concentré de performance et de style pour les photographes
Le Fuji X100V, dernier-né de la série des compacts experts de Fujifilm, est rapidement devenu une référence parmi les photographes professionnels et amateurs. Il offre des fonctionnalités avancées telles que la vidéo 4K, un autofocus réactif, un objectif amélioré, un viseur hybride optimisé et une protection contre les intempéries. Le X100V est également apprécié pour son design élégant et sa compacité, ce qui en fait un choix idéal pour la photographie de rue et de voyage.
L’appareil photo expert au service de vos créations
Le Fuji X100V est un outil performant et polyvalent pour les passionnés de l’image. Ses caractéristiques techniques sont à la hauteur des attentes des utilisateurs les plus exigeants :
Capteur APS-C X-Trans CMOS 4 : offrant une haute résolution de 26,1 mégapixels pour des images détaillées et riches en couleur.
Vidéo 4K : la possibilité de filmer en 4K jusqu’à 30p assure une qualité exceptionnelle pour toutes vos réalisations visuelles.
Autofocus rapide et précis : grâce à ses 425 points de détection de phase, le X100V met au point avec rapidité et exactitude même dans des conditions de faible luminosité.
Objectif 23mm f/2 : cet objectif fixe équivalent à un 35mm en format plein cadre offre une grande ouverture maximale pour capturer des scènes avec peu de lumière et créer un beau bokeh.
Viseur hybride optimisé : combinant un viseur optique et un viseur électronique, il permet de bénéficier des avantages de chacun et d’optimiser votre expérience de prise de vue.
Protection contre les intempéries : grâce à ses joints d’étanchéité, le X100V résiste à l’eau et à la poussière, ce qui vous permettra de l’utiliser en toute sérénité dans différents environnements.
Réalisez des vidéos exceptionnelles avec le Fuji X100V
Pour les vidéastes, le X100V propose plusieurs fonctionnalités intéressantes. Outre la vidéo 4K, l’appareil dispose d’un mode de simulation de film ETERNA, idéal pour obtenir des couleurs cinématographiques sans avoir à réaliser de postproduction. L’appareil intègre également un profil F-Log pour les utilisateurs souhaitant effectuer des retouches colorimétriques en postproduction.
De plus, le Fuji X100V est capable de filmer en slow-motion jusqu’à 120 images par seconde en Full HD, offrant un ralenti fluide et esthétique pour vos créations vidéo.
Un design élégant et compact pour la photographie de rue et de voyage
Le Fuji X100V est non seulement performant, mais aussi extrêmement compact et léger. Ces caractéristiques en font un choix privilégié pour les photographes de rue et les voyageurs qui cherchent à allier qualité d’image et praticité.
Design rétro et matériaux de qualité
Avec son esthétique vintage rappelant les appareils photo rangefinder, le X100V affiche fièrement un design élégant et intemporel. Alliant l’aluminium aux éléments de finition en cuir synthétique, il démontre une attention particulière aux moindres détails, tant au niveau de la construction que de l’ergonomie.
Compacité et légèreté pour une utilisation quotidienne
Pesant moins de 500 grammes et mesurant environ 13 x 7 x 5 cm, le Fuji X100V dispose d’un rapport taille/poids idéal pour être transporté facilement lors de vos escapades urbaines ou voyages. Son objectif fixe télescopique se rétracte lorsque l’appareil est éteint, ce qui renforce encore sa compacité et sa discrétion.
Astuces pour tirer le meilleur parti de votre Fuji X100V
Voici quelques conseils pour optimiser votre expérience avec le Fuji X100V :
Explorez les possibilités offertes par les simulations de film : Fujifilm propose une série de modes de couleur inspirés de leurs célèbres films argentiques. N’hésitez pas à tester chaque simulation et à personnaliser les paramètres pour obtenir le rendu de couleur qui correspond à votre style.
Prenez avantage du mode panoramique : cette fonction vous permettra de réaliser facilement des images grand-angle en assemblant plusieurs photos. C’est un excellent moyen de capturer des paysages ou des scènes urbaines.
Utilisez l’écran tactile inclinable pour varier vos points de vue : l’écran arrière du X100V peut être incliné vers le haut et le bas, ce qui facilite la prise de vue depuis des angles inhabituels. L’écran est également sensible au toucher pour une navigation intuitive dans les menus et un ajustement précis des paramètres.
Tirez parti de la connectivité sans fil : en associant le Fuji X100V à votre smartphone via Bluetooth ou Wi-Fi, vous pouvez transférer rapidement vos images pour les partager sur les réseaux sociaux ou contrôler l’appareil à distance avec l’application dédiée Fujifilm Camera Remote.
Accessoires recommandés pour le Fuji X100V
Pour enrichir davantage votre expérience avec le X100V, voici quelques accessoires intéressants :
Un pare-soleil : cet élément protège l’objectif des reflets indésirables et améliore la qualité globale de l’image, surtout en cas de fort ensoleillement.
Une dragonne ou une courroie d’épaule : selon vos préférences, ces accessoires facilitent le transport de l’appareil et permettent une prise en main rapide et sécurisée.
Un trépied compact : pour réaliser des photos de longue exposition ou des autoportraits, un trépied léger et portable est un excellent compagnon pour votre X100V.
Des filtres de protection UV ou ND : ces filtres s’adaptent à l’objectif du X100V et offrent une protection contre les rayures, la poussière ou les chocs tout en améliorant la qualité de vos images selon les conditions d’éclairage.
En somme, le Fuji X100V se distingue par son excellente qualité d’image, sa polyvalence et son design élégant, séduisant ainsi les photographes les plus exigeants. Grâce à cet appareil, capturez des moments uniques lors de vos aventures urbaines et emportez-le facilement dans tous vos voyages.
Polyvalent, compact et costaud, le FUJIFILM X100V argenté est la cinquième génération de la série X100, alliant des capacités d’imagerie impressionnantes, un design distinct avec un objectif grand angle adapté et un ensemble de fonctionnalités flexibles pour répondre à un éventail de besoins de prise de vue.
Utilisant un capteur CMOS 4 X-Trans 26,1 MP au format APS-C éprouvé et apprécié, le FUJIFILM X100V est capable d’enregistrer en haute résolution avec la prise en charge de la vidéo DCI/UHD 4K, la sensibilité de ISO 160-12800 et la prise de vue en continu jusqu’à 11 ips avec l’obturateur mécanique.
La conception BSI du capteur du FUJIFILM X100V offre un bruit réduit et une plus grande clarté globale, et est associée au X-Processor 4 pour obtenir des performances rapides et une réactivité améliorée. La conception du capteur permet également un système de mise au point automatique hybride qui combine 425 points de détection de phase avec un système de détection de contraste pour des performances AF rapides et précises.
Au-delà de l’imagerie, le FUJIFILM X100V conserve la conception éprouvée du boîtier inspirée du télémètre qui a rendu cette série d’appareils photo si spéciale.
Le populaire viseur hybride avancé est à nouveau utilisé, mais a été mis à jour avec un EVF OLED de 3,69 m de résolution plus élevée pour une visualisation plus claire. Cela peut toujours être effleuré pour révéler un viseur optique clair à grossissement de 0,52x pour s’adapter à la façon de photographier des puristes.
Le viseur du FUJIFILM X100V est complété par un écran tactile ACL de 3,0 po à 1,62 m, doté d’une conception inclinable dans les deux sens pour prendre en charge le travail à partir d’angles élevés et faibles.
Ensuite, il y a aussi le précieux objectif grand angle intégré qui offre un distance focale utile équivalente à 35 mm et une ouverture maximale lumineuse de f / 2. Cet objectif a été repensé par rapport aux versions précédentes pour réaliser des images plus nettes avec moins de distorsion, une mise au point plus proche et, physiquement, lorsque vous fixez l’anneau adaptateur en option et le filtre de protection en option, il complète une conception résistante aux intempéries.
De plus, pour vous permettre de rester connecté, le FUJIFILM X100V dispose également de Bluetooth et Wi-Fi intégrés pour permettre le transfert sans fil d’images vers un appareil mobile ainsi que le contrôle à distance de l’appareil photo depuis un smartphone ou une tablette.
FUJIFILM X100V
Fujifilm x100v : Capteur CMOS 4 APS-C X-Trans BSI 26,1 Mpx et processeur X 4
Tournant autour d’un capteur très polyvalent, le FUJIFILM X100V dispose d’un capteur X-Trans CMOS 4 au format APS-C de 26,1 MP, qui a une conception rétro-éclairée pour offrir un rendu tonal fluide, des performances améliorées en basse lumière et une large plage de sensibilité native. de la norme ISO 160-12800.
En tant que capteur X-Trans, il utilise également un réseau de pixels aléatoires, qui offre un degré élevé de qualité et de netteté d’image en raison de l’omission d’un filtre passe-bas optique. Par rapport aux modèles de pixels conventionnels, le design X-Trans imite plus étroitement la nature organique du film afin de produire des couleurs nuancées et des transitions tonales, tout en réduisant le moiré et le crénelage.
FUJIFILM X100V
La conception du capteur du FUJIFILM X100V comprend également un système de mise au point automatique à détection de phase étendu, qui dispose de 425 points sélectionnables qui couvrent presque toute la zone du capteur.
Ce système AF offre des performances de mise au point plus rapides et plus précises dans une variété de conditions d’éclairage jusqu’à -5 EV. Pour compléter les capacités d’imagerie et de mise au point, un X-Processor 4 mis à jour est également présenté, qui dispose d’un processeur quadricœur et offre des performances plus rapides et plus réactives dans tout le système de caméra.
Fujifilm x100v : Enregistrement vidéo UHD et DCI 4K
Étendant ses capacités au-delà des images fixes, le FUJIFILM X100V offre une gamme polyvalente de capacités vidéo, y compris l’enregistrement interne DCI/UHD 4K jusqu’à 30 ips et l’enregistrement Full HD jusqu’à 120 ips.
Bénéficiant grandement des performances vidéo globales, la vitesse du X-Processor 4 permet des vitesses de lecture rapides lors de l’enregistrement vidéo et aide à réduire la distorsion de l’obturateur roulant lors du tournage de sujets en mouvement. De plus, un port micro-HDMI permet un enregistrement 10 bits 4:2:2 sur un enregistreur externe en option.
Fujifilm x100v : Objectif Fujinon 23 mm f/2 repensé
Un objectif Fujinon 23 mm f / 2 mis à jour présente une conception optique révisée qui comprend désormais deux éléments asphériques pour une netteté et une clarté améliorées grâce à la réduction des aberrations sphériques et de la distorsion.
La distance focale de 23 mm de cet objectif équivaut à 35 mm, ce qui en fait un objectif grand angle confortable qui convient bien à une variété de situations de prise de vue.
FUJIFILM X100V
La conception lumineuse f/2 du FUJIFILM X100V convient également au travail dans diverses conditions d’éclairage et offre un meilleur contrôle de la profondeur de champ pour aider à isoler la mise au point sur les sujets.
De plus, un revêtement Super EBC a été appliqué pour supprimer les reflets de l’objectif et les images fantômes pour un meilleur contraste et une meilleure fidélité des couleurs lorsque vous travaillez dans des conditions d’éclairage intenses.
Alors que l’objectif est une distance focale fixe, le X100V intègre des paramètres de téléconvertisseur numérique équivalents à 50 mm et 75 mm pour simuler l’apparence de travailler avec une distance focale plus longue et l’objectif est également compatible avec les objectifs de fixation WCL et TCL en option pour étendre ou réduire le effet champ de vision.
FUJIFILM X100V
Fujifilm x100v :Viseur hybride avancé
Les types de viseur optique et électronique du FUJIFILM X100V sont intégrés dans le viseur hybride avancé unique, qui vous permet de choisir entre la simplicité et la familiarité d’un OVF ainsi que la polyvalence d’un EVF. Le changement entre les types de visualisation s’effectue rapidement via le levier de commutation du viseur dédié à l’avant du boîtier de l’appareil photo.
Le viseur optique à grossissement de 0,52x offre une vue claire et réaliste de la scène pour faciliter la composition et le suivi du sujet. Sa conception améliorée intègre une fonction de télémètre électronique, qui imite la fonctionnalité d’un télémètre mécanique, et superpose simultanément les informations du viseur électronique au-dessus du viseur optique pour un contrôle comparatif de la mise au point manuelle.
En ce qui concerne le viseur électronique, cet OLED arbore une résolution élevée de 3,69 m de points ainsi qu’un taux de rafraîchissement rapide pour réduire le décalage pour des mouvements de panoramique et de suivi plus fluides. L’EVF vous permet de prévisualiser les paramètres d’exposition avant la prise de vue et dispose d’un affichage personnalisable, pour configurer la quantité et le type d’informations affichées dans le viseur.
Fujifilm x100v :Conception du corps
L’écran LCD inclinable de 3,0″ à 1,62 m a une conception d’écran tactile pour un fonctionnement et une lecture intuitifs, et la conception inclinable profite grandement du travail à partir d’angles de prise de vue élevés et bas.
La conception durable peut être rendue résistante aux intempéries lorsqu’elle est associée à l’anneau adaptateur AR-X100 en option et à l’anneau de protection contre les intempéries en option.
La plaque supérieure intègre une série de cadrans et de leviers de verrouillage pour un contrôle rapide et intuitif des paramètres d’exposition, y compris un cadran de vitesse d’obturation qui offre un réglage direct de la vitesse d’obturation.
Une molette ISO est également intégrée à la molette de vitesse d’obturation, pour confirmer le réglage de la sensibilité sans avoir à allumer l’appareil photo et la molette de compensation d’exposition vous permet de choisir +/- 3 EV par incréments de 1/3. Ce cadran a également une position C pour offrir une plage étendue de +/- 5 EV lorsque vous travaillez avec les cadrans de commande.
Les molettes de commande avant et arrière intègrent une fonction push pour faciliter l’utilisation et la sélection des paramètres.
Le joystick arrière est disponible pour la sélection et la commutation intuitives des collimateurs AF ainsi que la navigation dans les menus et la lecture des images.
La connectivité Bluetooth et Wi-Fi intégrée permet de partager sans fil des images vers un appareil mobile ou d’utiliser l’appareil pour contrôler à distance l’appareil photo.
Les emplacements pour carte mémoire SD unique prennent en charge jusqu’à la norme UHS-I.
La batterie NP-W126S incluse fournit environ 350 images par charge lorsque vous travaillez avec l’EVF ou 420 images par charge lorsque vous travaillez avec l’OVF.
Fujifilm x100v : Modes de simulation de films
Tirant parti de la vaste histoire de FUJIFILM dans la photographie argentique traditionnelle, le FUJIFILM X100V intègre plusieurs modes de simulation de film, qui imitent l’aspect et la sensation de certains des types de films classiques de FUJIFILM :
– Provia—Le film transparent couleur à contraste standard et à saturation normale- Velvia—Contraste élevé, saturation des couleurs élevée et film transparent aux couleurs vives
– Astia—Contraste atténué et saturation des couleurs avec un aspect idéal pour les portraits
– Chrome classique : offre des tons atténués et une reproduction des couleurs profondes, semblable à un film de diapositives daté
– Classic Neg – Contraste discret mais couleurs vives avec une sensation cinématographique vintage
– PRO Neg—Disponible avec Hi et Std. options de contraste, cela imite la sensation percutante mais naturelle de leur film négatif couleur de qualité professionnelle
– Eterna—Pour un look cinématographique, cela fournit une couleur plate, un aspect à faible saturation bien adapté à l’étalonnage des couleurs de post-production
– Acros—Basé sur le populaire film N&B, ce mode monochrome a une tonalité et un grain distincts et peut être utilisé avec des effets de filtre de contraste jaune, rouge et vert
– N&B : effet noir et blanc simple et classique avec options de filtre de contraste jaune, rouge et vert
Sépia – Le look ancien préféré de tout le monde imitant le processus alternatif populaire
En plus de simuler des types de film spécifiques, un mode Effet de grain est également disponible pour reproduire l’apparence de vieilles photos de film avec une apparence texturée organique, ce qui est particulièrement visible lors de l’impression.
Les effets Color Chrome et Color Chrome Blue sont également disponibles pour approfondir la couleur, la réponse tonale et la gradation avec des couleurs à saturation plus élevée.
Fujifilm x100v : Version du micrologiciel 2.00 Caractéristiques
– Connectez l’appareil photo à un ordinateur via USB pour l’utiliser comme webcam avec l’utilitaire FUJIFILM X Webcam
– Permettez l’utilisation de simulations de film dans le fonctionnement de la webcam
– Ajoutez la possibilité d’utiliser le filtre ND intégré pendant l’enregistrement vidéo
– Ajoutez la possibilité de mémoriser la position du cadre lumineux dans le viseur optique pour éviter tout décalage
– Enregistrez les images RAW + JPEG lors de l’utilisation du téléconvertisseur numérique à 50 mm ou 70 mm de recadrage
Obturateur mécanique 1/4
000 à 30 secondes en mode priorité ouverture 1/4
000 900 secondes en mode priorité vitesse 1/4 000
900 secondes en mode manuel 1/4 000
4 secondes en mode programme
0 60 minutes en mode pose longue Obturateur électronique
1/32 000 à 30 Seconde en mode priorité à l’ouverture
1/32 000 900 seconde en mode priorité à
la vitesse 1/32 000 900 seconde en mode manuel
1/32 000 4 seconde en mode programme
1 1 seconde en mode ampoule Obturateur électronique à rideau avant
1/32 000 à 30 secondes en mode priorité à l’ouverture
1/32 000 900 secondes en mode priorité
vitesse 1/32 000 900 secondes en mode manuel
1/32 000 4 secondes en mode programme
0 60 minutes en mode pose longue
Méthode de mesure
Moyenne, Moyenne pondérée centrale, Multi, Spot, TTL 256 zones
Modes d’exposition
Priorité à l’ouverture, manuel, programme, priorité à l’obturation
La compensation d’exposition
-5 à +5 EV (pas de 1/3 EV)
Balance des blancs
Reconnaissance automatique de scène, température de couleur, personnalisé, lumière du jour, fluorescent (blanc froid), fluorescent (lumière du jour), fluorescent (blanc chaud), incandescent, ombragé, sous-marin
Prise de vue continue
Obturateur mécanique
Jusqu’à 11 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 17 images (brutes) / 38 images (JPEG)
Jusqu’à 8 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 18 images (brutes) / 76 images (JPEG)
Jusqu’à 6 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 21 images (brut) / 220 images (JPEG)
Jusqu’à 5 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 24 images (brut) / 458 images (JPEG)
Jusqu’à 4 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 28 images (brut ) / Images illimitées (JPEG)
Jusqu’à 3 ips à 26,1 MP pour un maximum de 34 images (Raw) / Images illimitées (JPEG) Obturateur électronique
Jusqu’à 20 ips à 26,1 MP pour un maximum de 17 images (Raw) / 32 images illimitées ( JPEG)
Jusqu’à 10 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 18 images (brutes) / 81 images illimitées (JPEG)
Jusqu’à 30 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 17 images (brutes) / 29 images (JPEG)
Jusqu’à 20 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 17 images (brutes) / 79 images (JPEG)
Jusqu’à 10 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 18 images (brutes) / 153 images (JPEG)
Jusqu’à 8 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 18 images (brut) / 90 images (JPEG)
Enregistrement à intervalles
Oui
Retardateur
Délai de 2/10 secondes
Options spéciales
Panorama
Vidéo
Modes d’enregistrement
[
_
_ 100 à 200 Mb/s]
DCI 2K (2048 x 1080) à 23,98p/24,00p/25p/29,97p/50p/59,94p [50 à 200 Mb/s]
Full HD (1920 x 1080) à 23,98p/24,00 p/25p/29.97p/50p/59.94p/100p/119.88p [50 à 200 Mb/s]
Limite d’enregistrement
Jusqu’à 10 minutes pour DCI 4K (4096 x 2160)
Jusqu’à 15 minutes pour Full HD (1920 x 1080) à 23,98p/24,00p/25p/29,97p/50p/59,94p
Jusqu’à 6 minutes pour Full HD (1920 x 1080) à 100p/120p
Le Fujifilm X100V est un appareil photo compact à objectif fixe de la série X de Fujifilm. Il est conçu pour les photographes qui cherchent un appareil photo petit, léger et portable qui offre une qualité d’image exceptionnelle.
2. Quelles sont les spécifications techniques du Fujifilm X100V?
Le Fujifilm X100V est équipé d’un capteur X-Trans CMOS 4 de 26,1 mégapixels et d’un processeur d’image X-Processor 4. Il dispose également d’un objectif fixe Fujinon 23mm f/2, d’une plage de sensibilité ISO de 160 à 12800 (extensible à 80-51200), d’un écran LCD inclinable de 3 pouces et d’un viseur électronique OLED de 0,5 pouce.
3. Quelle est la qualité d’image du Fujifilm X100V?
La qualité d’image du Fujifilm X100V est excellente grâce à son capteur X-Trans CMOS 4 et son processeur d’image X-Processor 4. Les images sont nettes, détaillées et ont une excellente dynamique.
4. Comment le Fujifilm X100V se compare-t-il aux autres appareils photo compacts?
Le Fujifilm X100V se distingue des autres appareils photo compacts grâce à sa qualité d’image exceptionnelle, son objectif fixe de haute qualité et son boîtier en alliage de magnésium durable. Il offre également des fonctionnalités avancées telles qu’un viseur électronique OLED, un écran LCD inclinable et des commandes manuelles pour une expérience de prise de vue personnalisée.
5. Quel est le système d’autofocus du Fujifilm X100V?
Le Fujifilm X100V utilise un système d’autofocus à détection de phase et à détection de contraste avec 425 points de mise au point automatique. Il offre également une fonction de suivi AF avancée pour suivre les sujets en mouvement.
6. Le Fujifilm X100V est-il facile à utiliser pour les débutants?
Le Fujifilm X100V est relativement facile à utiliser pour les débutants grâce à son interface utilisateur intuitive. Il dispose également d’un mode automatique intelligent qui règle automatiquement les paramètres de l’appareil photo en fonction de la scène.
7. Peut-on utiliser des objectifs interchangeables avec le Fujifilm X100V?
Non, le Fujifilm X100V dispose d’un objectif fixe Fujinon 23mm f/2 qui ne peut pas être changé. Cependant, l’objectif offre une excellente qualité optique et est parfaitement adapté aux situations de prise de vue courantes.
8. Quels sont les avantages du boîtier en alliage de magnésium du Fujifilm X100V?
Le boîtier en alliage de magnésium du Fujifilm X100V offre une grande durabilité et une résistance aux chocs
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continue
et aux rayures. Il est également léger et facile à transporter, ce qui en fait un choix idéal pour les photographes en déplacement. De plus, il offre une sensation de solidité et de qualité, ce qui est important pour les photographes professionnels.
9. Le Fujifilm X100V est-il adapté à la vidéo?
Oui, le Fujifilm X100V est capable d’enregistrer des vidéos en 4K à 30 images par seconde. Il offre également des options de formatage de fichier telles que le F-Log et le HLG pour une meilleure flexibilité en post-production.
10. Quels sont les accessoires disponibles pour le Fujifilm X100V?
Il existe plusieurs accessoires disponibles pour le Fujifilm X100V, notamment des étuis de protection, des filtres, des pare-soleils, des adaptateurs pour flash et des sangles de cou. Il est également possible d’ajouter un objectif de conversion grand angle ou téléobjectif en utilisant les adaptateurs de conversion disponibles.
En résumé, le Fujifilm X100V est un excellent choix pour les photographes cherchant un appareil photo compact, léger et portable offrant une qualité d’image exceptionnelle. Avec son objectif fixe de haute qualité, son boîtier en alliage de magnésium durable et ses fonctionnalités avancées, il est idéal pour les photographes professionnels et les amateurs passionnés.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
J’adore les anecdotes derrière les pochettes d’album, les covers. En voici quelques-unes autour de la photo la plus célèbre du groupe britannique de renommée mondiale The Beatles Abbey Road pour leur album Abbey Road.
Fondé en 1957 par John Lennon sous le nom de The Quarrymen, le groupe a vraiment commencé en 1962 après l’arrivée de Ringo Starr, qui a suivi l’arrivée de Paul McCartney et George Harrison et du nom The Beatles.
Un album légendaire :The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road est le onzième album original des Beatles, sorti le 26 septembre 1969 en Grande-Bretagne et le 1er octobre aux États-Unis. Bien que sa sortie précède Let It Be, sorti en mai 1970, c’est le dernier album enregistré par le groupe.
Le 20 août 1969, les Four Beatles s’unissent pour la dernière fois en studio, et fin septembre, à la sortie de l’album, John Lennon met fin au groupe en annonçant son départ.
Avec 30 millions d’exemplaires vendus, The Beatles Abbey Road est le deuxième plus grand succès des Beatles, juste après le sergent Pepper.. De cette façon, The Beatles Abbey Road a passé 11 semaines à la pointe du blockbuster, lors d’une compétition féroce avec Let It Bleed des Rolling Stones et le deuxième album de Led Zeppelin.
La semaine suivante l’album The Beatles Abbey Road prend de l’avance pour 6 semaines supplémentaires, augmentant le nombre de semaines passées au sommet à 17.The Beatles Abbey Road était l’album le plus vendu au Royaume-Uni en 1969. Quatrième best-seller des années 1960. En 1970, l’album atteint toujours la 7e place en termes de ventes.
The Beatles Abbey Road: les tensions de l’époque…
A cette époque, en plus de la Beatlemania, quatre musiciens sont aux prises avec de nombreuses tensions personnelles, à la fois artistiques et financières, à la fin des années 1960, le groupe est au bord de la séparation.
L’idée de Paul McCartney était que les Beatles se retrouvaient et composaient ensemble dans leur studio habituel sur Abbey Road à Londres. Ainsi, à l’été 1969, ils ont complètement travaillé sur de nouveaux titres composant l’avant-dernier album (par ordre de sortie), dont le titre prenant le nom de la rue : Abbey Road
C’est John Lennon qui a appelé le photographe écossais Iain MacMillan, rencontré par le biais de Yoko Ono, pour la couverture de The Beatles Abbey Road. Iain MacMillan est surtout connu pour cette photo légendaire et le travail réalisé au nom du couple Lennon / Ono.
The Beatles Abbey Road : Un shooting en 6 temps
Après avoir échangé quelques croquis de la couverture de l’album, le photographe et les Beatles shootent le 8 août 1969, vers11h30 pour éviter l’afflux de fans, notamment ceux présents en début d’après-midi.
Monté sur une caisse en bois, Iain MacMillan ne dispose que de dix minutes pour prendre la bonne photo, tandis qu’un policier tente de réguler le mouvement derrière le photographe.
L’image sélectionnée fait donc partie d’une série de six photos montrant les coulisses de ce moment à un passage piéton sur Abbey Road, passage classé au niveau II, depuis décembre 2010, en raison de son «importance culturelle et historique» . Cette image immortalise la traversée des Beatles avec la même amplitude de pas, sans trafic ni piétons encombrant trop l’image.
Les 5 photos de The Beatles Abbey Road
Sur la première photo, John Lennon tourne la tête, tandis que Paul McCartney et George Harrison lèvent les pieds. Nous remarquons également une Mercedes blanche, plus loin dans la rue.
Sur la deuxième, 4 membres ont suffisamment d’espace entre eux, mais John Lennon est le seul avec la bonne amplitude de pas.
Lors de la troisième photo, une file de voitures avec un bus à impérial s’est formée dans la rue. Paul McCartney a finalement abandonné ses sandales et George Harrison n’était plus sur la même ligne que les autres.
Sur la quatrième photo, nous voyons toujours le même bus rouge qui attend, observant la scène. Parmi les Beatles à nouveau, seul John Lennon a une amplitude assez importante, tandis que les trois autres sont figés. C’est la cinquième photo qui est la bonne ! Le bus est parti, et surtout les pas des 4 Beatles sont parfaitement coordonnés.
Enfin, sixième, on remarque que le bus a traversé la rue en sens inverse et repart. Bien que les musiciens soient bien coordonnés, leur gamme d’étapes n’est pas assez grande. Il s’agit de la cinquième photo que le groupe lui-même a choisie pour illustrer leur album. Il a été coupé et retravaillé pour attirer l’attention sur les membres du groupe.
The Beatles Abbey Road -The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road -The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road
Bien que l’image semble simple, il convient de prêter attention à certains détails, tels que la présence d’une Volkswagen Beetle blanche, qui n’a rien à voir avec le groupe, mais appartient au résident.
Après la sortie de l’album, sa plaque d’immatriculation a été volée plusieurs fois. C’est aussi la seule photo qui montre le tabagisme de Paul McCartney.
Sur la couronne de la tête de Paul McCartney, près de la voiture bleue, se trouvent trois hommes décorateurs d’intérieur, après le déjeuner. Enfin, sur le trottoir droit entre Ringo Starr et John Lennon se dresse la silhouette d’un autre passant, un touriste américain du nom de Paul Cole, arrêté pour avoir observé la scène. Ce n’est que quelques mois plus tard que sa présence sur la photo a été remarquée.
De plus, l’image d’Abbey Road a attiré beaucoup d’attention et est une source de commérages fantaisistes sur Paul McCartney. De nombreux fans ont commencé à affirmer que le vrai Paul McCartney avait été tué dans un accident de voiture en 1966 et qu’il avait été remplacé par une apparence similaire.
Plusieurs arguments sont avancés, dont beaucoup sont faux, basés sur la photo: le fait que Paul McCartney soit pieds nus fait référence à certaines cultures dans lesquelles les morts ont été enterrés sans chaussures; tandis que Paul McCartney est gaucher, il tient une cigarette dans sa main droite; et, selon ces théoriciens du complot, la plaque d’immatriculation de VW Beetle, « LMW 28IF », signifierait « Living McCartney aurait eu 28 ans si », suggérant que Paul McCartney aurait eu 28 ans s’il n’était pas mort … Mais « en 1969 , pendant le tournage, le musicien avait en fait 27 ans !
La dernière anecdote concerne la composition de la pochette de The Beatles Abbey Road. Après cette photo avec les Beatles, Iain MacMillan veut prendre une photo du panneau de signalisation, où malencontreusement, une jeune femme vêtue d’une robe bleue passe devant l’objectif, ce qui agace le photographe. Enfin, cette photo est sélectionnée comme photo de dos de l’album.
La réédition The Beatles Abbey Road 50e anniversaire
L’album est sorti le 27 septembre 2019. Il est inspiré du mixage stéréo d’origine et remixé par Giles Martin, fils de George Martin et ingénieur du son Sam Okell aux studios Abbey Road, le même qui a remasterisé et modernisé le son des deux rééditions précédentes. À l’instar de la réédition du Lonely Heart Club du sergent Pepper en 2017 et des Beatles en 2018, certaines éditions sont accompagnées d’enregistrements studio inédits. La réédition atteint la première place sur les charts britanniques et la troisième sur Billboard 200.
Album de The Beatles Abbey Road 50e Anniversaire
Sortie 27 septembre 2019 – Format CD, 33 tours, téléchargement, Blu-ray
Producteur Giles Martin
Label Apple Records
Face A
1. Come Together John Lennon, Paul McCartney 4:20
2. Something George Harrison 3:02
3. Maxwell’s Silver Hammer John Lennon, Paul McCartney 3:27
4. Oh! Darling John Lennon, Paul McCartney 3:26
5. Octopus’s Garden Ringo Starr 2:51
6. I Want You (She’s So Heavy) John Lennon, Paul McCartney 7:47
Face B
7. Here Comes the Sun George Harrison 3:05
8. Because John Lennon, Paul McCartney John Lennon, Paul McCartney, 2:45
9. You Never Give Me Your Money John Lennon, Paul McCartney 4:02
10. Sun King John Lennon, Paul McCartney John Lennon, Paul McCartney, G 2:25
11. Mean Mr. Mustard John Lennon, Paul McCartney 1:06
12. Polythene Pam John Lennon, Paul McCartney 1:12
13. She Came In Through the Bathroom Window John Lennon, Paul McCartney 1:58
14. Golden Slumbers John Lennon, Paul McCartney 1:31
15. Carry That Weight John Lennon, Paul McCartney John Lennon, 1:36
16. The End John Lennon, Paul McCartney 2:051
17. Her Majesty (chanson cachée) John Lennon, Paul McCartney 0:23
La chanson The End en tant que telle dure 2:05, mais un silence de quinze secondes entre elle et la chanson cachée Her Majesty porte sa durée à 2:20.
FAQ sur les studios Abbey Road
1. Qu’est-ce que les studios Abbey Road ?
Les studios Abbey Road sont un complexe de studios d’enregistrement situé à Londres, en Angleterre. Ils sont célèbres pour avoir accueilli des enregistrements de nombreux artistes emblématiques, tels que les Beatles et Pink Floyd.
2. Quand les studios Abbey Road ont-ils été fondés ?
Les studios Abbey Road ont été fondés en 1931 sous le nom d’EMI Studios.
3. Pourquoi les studios Abbey Road sont-ils si célèbres ?
Les studios Abbey Road sont célèbres pour avoir été le lieu de nombreux enregistrements emblématiques, tels que l’album « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » des Beatles et l’album « The Dark Side of the Moon » de Pink Floyd.
4. Les studios Abbey Road sont-ils toujours en activité ?
Oui, les studios Abbey Road sont toujours en activité et continuent d’accueillir des artistes et des groupes pour des enregistrements.
5. Comment peut-on réserver les studios Abbey Road ?
Les studios Abbey Road sont réservés par l’intermédiaire de leur site web, où les artistes et les producteurs peuvent soumettre une demande de réservation.
6. Les studios Abbey Road offrent-ils des services de mastering et de mixage ?
Oui, les studios Abbey Road offrent des services de mastering et de mixage pour les artistes et les producteurs.
7. Les studios Abbey Road sont-ils ouverts au public pour des visites ?
Oui, les studios Abbey Road proposent des visites guidées pour les fans de musique et les touristes qui souhaitent découvrir l’histoire du studio.
8. Les studios Abbey Road disposent-ils d’un équipement de pointe pour les enregistrements ?
Oui, les studios Abbey Road disposent d’un équipement de pointe pour les enregistrements, avec des studios équipés de consoles de mixage analogiques et numériques, d’une grande variété de microphones et d’outils de production audio de haute qualité.
9. Les studios Abbey Road ont-ils des résidents permanents ?
Non, les studios Abbey Road ne disposent pas de résidents permanents, mais les artistes et les producteurs peuvent réserver les studios pour des périodes prolongées s’ils le souhaitent.
10. Les studios Abbey Road ont-ils inspiré d’autres studios d’enregistrement dans le monde ?
Oui, les studios Abbey Road ont été une source d’inspiration pour de nombreux autres studios d’enregistrement dans le monde entier. Leur succès et leur histoire ont inspiré de nombreux artistes et producteurs à chercher des conditions similaires pour leurs propres enregistrements.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Quelles chansons sont présentes sur l’album Abbey Road ?
L’album Abbey Road comprend 17 chansons, dont certaines des plus célèbres des Beatles. Voici la liste complète des titres :
« Come Together »
« Something »
« Maxwell’s Silver Hammer »
« Oh! Darling »
« Octopus’s Garden »
« I Want You (She’s So Heavy) »
« Here Comes the Sun »
« Because »
« You Never Give Me Your Money »
« Sun King »
« Mean Mr. Mustard »
« Polythene Pam »
« She Came In Through the Bathroom Window »
« Golden Slumbers »
« Carry That Weight »
« The End »
« Her Majesty »
Quelle est l’histoire de la pochette de l’album Abbey Road ?
La pochette de l’album Abbey Road est l’une des plus célèbres de l’histoire de la musique. Elle montre les membres des Beatles traversant un passage clouté en file indienne, devant le célèbre studio Abbey Road à Londres. La photo a été prise par le photographe écossais Iain Macmillan, qui a pris six clichés différents du groupe traversant la rue. La photo choisie pour la pochette est celle où les membres du groupe ont l’air le plus détendus et où le soleil est le plus visible.
La photo a été prise le 8 août 1969, seulement quelques semaines avant que le groupe ne se sépare officiellement. Elle est devenue emblématique de la fin des années 60 et de la musique des Beatles. De nombreuses personnes ont tenté de reproduire la photo au fil des ans, et la rue elle-même est devenue une attraction touristique majeure pour les fans des Beatles.
Quels ont été les succès commerciaux de l’album Abbey Road ?
The Beatles Abbey Road a été un énorme succès commercial pour les Beatles. L’album est sorti en septembre 1969 et a immédiatement connu un grand succès. The Beatles Abbey Road a atteint la première place des charts britanniques et américains et est resté en tête des charts américains pendant 11 semaines consécutives. Les singles « Something » et « Come Together » ont également été des succès commerciaux importants.
Au fil des ans, The Beatles Abbey Road est devenu l’un des albums les plus vendus de tous les temps. Il a été certifié disque de platine plusieurs fois dans de nombreux pays et a remporté de nombreux prix, notamment le Grammy Award de l’album de l’année en 1970.
Quelle est la signification de la chanson « Something » de l’album Abbey Road ?
« Something » est l’une des chansons les plus célèbres de l’album The Beatles Abbey Road . Elle a été écrite par George Harrison, le guitariste des Beatles, et est considérée comme l’une de ses plus grandes compositions.
La signification exacte de la chanson est un peu vague, mais on pense qu’elle est inspirée par la femme de George Harrison, Pattie Boyd. La chanson parle de l’amour et de la beauté d’une femme, et est souvent considérée comme l’une des plus belles chansons d’amour jamais écrites.
Quels ont été les singles et les chansons les plus populaires de l’album « Abbey Road » des Beatles ?
The Beatles Abbey Road a été un grand succès commercial, avec plusieurs chansons devenues des classiques de la musique rock. Les singles les plus populaires de l’album étaient « Something » et « Come Together ». « Something » est une ballade écrite par George Harrison qui a atteint la deuxième place du classement des singles aux États-Unis et la quatrième place au Royaume-Uni. « Come Together » est une chanson écrite par John Lennon qui est devenue un autre hit du groupe, atteignant la première place du classement des singles aux États-Unis.
Parmi les autres chansons populaires de l’album figurent « Here Comes the Sun », écrite par George Harrison et considérée comme l’une des meilleures chansons du groupe, ainsi que « Octopus’s Garden », écrite par Ringo Starr. « Because » est également une chanson bien-aimée de l’album, avec ses harmonies vocales complexes.
Quelle est la signification de la pochette de l’album « The Beatles Abbey Road » ?
La pochette de l’album « Abbey Road » est l’une des plus célèbres de l’histoire de la musique. Elle représente les Beatles traversant un passage clouté devant les studios Abbey Road à Londres. La photo a été prise par le photographe Iain Macmillan en août 1969.
La signification de la pochette a été l’objet de nombreuses interprétations au fil des ans. Certains ont vu dans la photo une allégorie de la mort, John Lennon étant vêtu de blanc comme un prêtre, Ringo Starr de noir comme un croque-mort, Paul McCartney étant pieds nus pour représenter les morts, et George Harrison en jean et chemise pour représenter le fossoyeur. Cependant, Paul McCartney a déclaré plus tard que la photo n’avait aucun sens caché et qu’elle avait simplement été prise parce que les Beatles se trouvaient devant les studios Abbey Road ce jour-là et qu’ils avaient décidé de faire une photo rapide.
Quelle a été la réception critique de l’album « The Beatles Abbey Road » à sa sortie ?
L’album « Abbey Road » a été bien accueilli par la critique à sa sortie en 1969. Les critiques ont salué la qualité des chansons et la production soignée de l’album. Certains critiques ont également noté que l’album représentait un retour en force pour le groupe après leur expérience décevante avec « Let It Be ».
Aujourd’hui, l’album est considéré comme l’un des meilleurs de l’histoire de la musique rock. Il est souvent cité comme l’un des albums les plus influents de tous les temps et a été inclus dans de nombreuses listes des meilleurs albums jamais réalisés.
Quel est l’héritage de l’album « The Beatles Abbey Road » ?
L’héritage de l’album « Abbey Road » est immense. Il a été un grand succès commercial pour les Beatles, avec des singles comme « Something » et « Come Together » devenus des classiques de la musique rock. L’album a également été salué par la critique à sa sortie et est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs albums de tous les temps
La légendaire route vers l’enfer : une exploration de l’album « Highway to Hell »
Dans cet article, nous allons explorer le célèbre album « Highway to Hell« du groupe de rock légendaire AC/DC. Nous parlerons de l’histoire derrière sa création, des chansons qui le composent et de son impact sur la scène musicale mondiale.
L’histoire derrière la création de « Highway to Hell »
Sorti en 1979, « Highway to Hell » est le sixième album studio d’AC/DC, groupe de rock australien formé en 1973 par les frères Malcolm et Angus Young. Cet album marque un tournant pour le groupe, car il s’agit du dernier dans lequel le chanteur emblématique Bon Scott participe avant son décès prématuré en 1980.
Highway to Hell
Le titre éponyme « Highway to Hell » fait référence aux tournées incessantes que le groupe a dû faire pour percer dans l’industrie musicale à l’époque. Le chanteur Bon Scott aurait décrit la vie sur la route comme étant une véritable autoroute vers l’enfer, où chaque kilomètre semble ne mener qu’à des problèmes et des difficultés.
Les chansons qui composent « Highway to Hell »
L’album « Highway to Hell » comprend dix titres qui figurent parmi les plus grands succès d’AC/DC :
« Highway to Hell », la chanson-titre de l’album, est aujourd’hui considérée comme un véritable hymne du rock. Avec son riff de guitare accrocheur et ses paroles provocantes, elle reste l’une des chansons les plus emblématiques d’AC/DC.
« Girls Got Rhythm » est un morceau dédié aux groupies qui suivent le groupe en tournée. Son rythme entraînant et ses paroles séduisantes ont fait de cette chanson l’un des moments forts des concerts d’AC/DC.
« Walk All Over You » explore la relation tumultueuse entre Bon Scott et sa petite amie de l’époque. Le texte décrit leur relation passionnelle et chaotique à travers un mélange de métaphores et d’allusions.
« Touch Too Much » traite des excès et des désirs liés à la célébrité. La chanson parle de l’appétit insatiable pour les plaisirs charnels que peuvent avoir certaines personnes lorsqu’elles sont sous les projecteurs.
« Beating Around the Bush » aborde le thème de la tromperie et du mensonge dans les relations amoureuses. Ce morceau énergique reflète parfaitement l’amertume ressentie face à la trahison.
« Shot Down in Flames », avec son tempo rapide et ses riffs de guitare musclés, dépeint la déception éprouvée par quelqu’un qui voit ses avances rejetées sans pitié.
« Get It Hot » met en avant l’obsession de Bon Scott pour les femmes et la fête. Son message est simple : il faut profiter à fond de la vie et des bonnes choses qu’elle a à offrir.
« If You Want Blood (You’ve Got It) » s’inspire de l’énergie brute qui se dégage lors des concerts du groupe. La chanson évoque la soif de l’audience pour le rock’n’roll et la puissance électrisante d’une performance live.
Sombre et mélancolique, « Love Hungry Man » expose les tourments intérieurs d’un homme prêt à tout pour combler son insatiable appétit de passion et d’affection.
Enfin, « Night Prowler » clôture l’album avec une ambiance sombre et inquiétante. Elle décrit un personnage macabre qui rôde dans la nuit, incarnant ainsi les travers obscurs de la condition humaine.
L’influence des autres membres du groupe sur les chansons
Bien que Bon Scott soit souvent considéré comme le principal parolier de l’album, il convient de noter que les frères Young ont également grandement contribué à sa création. Les riffs de guitare caractéristiques d’Angus Young sont présents tout au long de l’album, tandis que Malcolm Young apporte sa solide base rythmique et sa vision artistique globale.
L’impact de « Highway to Hell » sur la scène musicale mondiale
Dès sa sortie, « Highway to Hell » a connu un succès retentissant. Il a atteint la 17e place du Billboard 200 aux États-Unis et s’est vendu à plus de sept millions d’exemplaires dans le monde. Cette réussite commerciale a permis au groupe d’acquérir une renommée internationale et de participer à des tournées mondiales à guichets fermés.
En dépit du décès tragique de Bon Scott, AC/DC a continué sur sa lancée en recrutant le chanteur Brian Johnson. Ensemble, ils ont sorti l’album monumental « Back in Black » en 1980, qui reste aujourd’hui l’une des meilleures ventes d’albums de tous les temps.
Le legs de « Highway to Hell »
Aujourd’hui, plus de quatre décennies après sa sortie, « Highway to Hell » demeure un pilier incontournable de la musique rock. L’album conserve son pouvoir évocateur et sa capacité à captiver les fans de rock du monde entier, toutes générations confondues. Sa force réside non seulement dans ses mélodies entraînantes et intemporelles, mais aussi dans son authenticité et sa sincérité émotionnelle.
Avec Highway To Hell, AC/DC a devancé les autres en réalisant un record qui les a finalement aidés à percer en Amérique… mais un tel succès a coûté très cher.
Pour Malcolm Young, le guitariste rythmique d’ AC/DC , il s’agissait toujours du riff. Et avec un en particulier, dès qu’il l’a inventé au début de 1979, il a su dans ses os, que c’était quelque chose de spécial. Comme il l’a dit, avec le genre de brutalité et de vulgarité qui avait toujours défini le travail du groupe : « Ça sortait comme des boules de chien. »
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Highway To Hell : le riff
Highway To Hell était parfait dans sa simplicité : la façon dont il bougeait, en rafales saccadées, rappelant All Right Now de Free . Et c’est sans doute de là que vient la chanson la plus importante de toute la carrière d’AC/DC.
Highway To Hell a commencé comme une blague, lorsque le guitariste principal Angus Young , le petit frère de Malcolm, a décrit la tournée exténuante du groupe en 1978 comme « une putain d’autoroute vers l’enfer ». Et dans les paroles prononcées par le chanteur Bon Scott, il y avait une déclaration de signature d’attitude rock’n’roll insouciante.
Highway To Hell était la chanson titre du premier album vendu à un million d’exemplaires, d’AC/DC. Au Royaume-Uni, c’était le premier hit du groupe dans le Top 10 en dehors de leur Australie natale. Plus important encore, comme l’a dit Angus Young: « C’est l’album qui nous a brisés en Amérique. »
Tout cela n’est pas venu facilement. Lors de la réalisation de l’album Highway To Hell , le groupe a subi une pression intense de la part d’Atlantic Records en Amérique pour sortir un disque à succès. Cela a conduit Malcolm et Angus à prendre l’une des décisions les plus difficiles de leur vie : se passer des services de leur frère aîné, George Young, qui avait produit tous les albums précédents d’AC/DC avec Harry Vanda, un ancien membre, comme George, de groupe australien The Easybeats.
Il y avait même des chuchotements autour d’Atlantic selon lesquels Bon Scott devrait être renvoyé du groupe, à cause de son style de vie alcoolique faisant de lui un canon trop lâche, et sa voix jugée trop crue et idiosyncrasique pour les goûts traditionnels.
En fin de compte, Bon Scott a prouvé que les sceptiques avaient tort, livrant la performance d’une vie sur Highway To Hell, poussé par Mutt Lange, le brillant jeune producteur qui a remplacé George et Harry. Ce que Lange a retiré du groupe était exactement ce qu’Atlantic avait demandé – un disque de hard rock direct, sans conneries, fidèle aux racines d’AC / DC, mais avec un côté plus propre.
Mais alors que Highway To Hell était le disque à succès qui a élevé AC/DC au rang de célébrité majeure, c’était aussi le dernier souffle de Bon Scott. Le 19 février 1980, moins d’un mois après la fin de la tournée Highway To Hell , le chanteur est retrouvé mort à Londres après une nuit de forte consommation d’alcool. Les circonstances exactes de la mort de Bon Scott feront l’objet de conjectures pendant près de 40 ans.
Highway To Hell : la source
Il y avait toujours une dureté à propos d’AC/DC, dans la musique qu’ils jouaient – le son de Chuck Berry et Little Richard and the Rolling Stones poussé au maximum de volume et d’intensité – et dans la façon dont ils se comportaient. Des d’années de corruption, de transpiration dans les pubs et les clubs d’Australie, où des bouteilles étaient jetées et où la foule pouvait y sentir le sang.
Peu importe que les membres d’AC/DC soient tous des petits culs, qu’Angus soit abstinent et porte un uniforme d’écolier sur scène, et que le bassiste Cliff Williams, le seul Anglais du groupe, soit calme et facile à vivre.
Les trois autres avaient un avantage sur eux : Bon avec ses tatouages de taulard, le batteur Phil Rudd un dur à cuire bourru, Malcolm le gars qui dirigeait le groupe avec une verge de fer. C’est en référence à ces trois-là qu’Angus a dit un jour : « Si je les voyais marcher dans la rue, je courrais, tu sais ?
La puissance d’Atlantic Records était la force irrésistible de l’objet immobile d’AC/DC, et la friction entre les deux a commencé bien avant Highway To Hell. « Quand nous sommes arrivés en Angleterre pour la première fois en 1976, la maison de disques voulait nous présenter comme un groupe punk », a déclaré Malcolm. « On leur a dit d’aller se faire foutre ! »
ac dc highway to hell – Highway To Hell
En Amérique, c’était pire. À une époque où la radio FM était dominée par des stars du soft-rock telles que Fleetwood Mac et Peter Frampton , et où le groupe de hard rock , Boston , avait un son impeccablement conçu, l’album d’AC / DC de cette année-là, Dirty Deeds Done Dirt Cheap , était si rugueux et louche, qu’Atlantic l’a considéré comme commercialement non viable et a refusé de le sortir aux États-Unis.
La réponse du groupe a été de doubler avec l’album suivant, Let There Be Rock de 1977 , un exercice d’exagération, enregistré à peu près en direct en studio, avec des commentaires lamentables et des guitares vacillantes.
C’était à peu près la même chose avec Powerage de 1978, son rock’n’roll viscéral et son authenticité granuleuse, dans des chansons sur la dépendance à l’héroïne et la file d’attente au chômage, admirées par Keith Richards. « Tout le groupe le pense », a-t-il dit, « et vous pouvez l’entendre. »
Les albums d’AC/DC se vendaient bien dans d’autres territoires. Au Royaume-Uni, Let There Be Rock et Powerage avaient fait le Top 30. En Amérique, alors que Powerage s’est vendu à 200 000 exemplaires, soit le double des chiffres de Let There Be Rock, il n’a toujours atteint que la 133e place du classement Billboard.
C’était loin d’être suffisant pour satisfaire une maison de disques qui avait Led Zeppelin dans ses bacs. Mais en tant que groupe qui prospérait sur la route, AC/DC avait parcouru des kilomètres à travers les États-Unis, et à partir de là, l’élan se construisait.
Les années les avaient affinés dans un live électrisant : Bon avec la fanfaronnade d’un flingueur, Angus le paratonnerre pour l’attaque à haute tension du groupe, et derrière eux les trois autres travaillant comme une machine bien huilée.
Leurs premiers spectacles dans les arènes américaines avaient eu lieu à la fin de 1977, en première partie de Kiss à l’invitation du bassiste Gene Simmons après avoir vu AC/DC jouer dans un club de Los Angeles plus tôt cette année-là.
Highway To Hell – Highway To Hell
« Il y avait beaucoup de groupes qui jouaient du bon rock’n’roll », se souvient maintenant Simmons. « Ce qui m’a frappé, c’est ce petit guitariste qui bougeait sur scène comme un fou de Bornéo, même entre les pannes. J’étais émerveillé.
Après ce spectacle, le géant Simmons a emmené le petit guitariste pour un repas de fin de soirée au restaurant Ben Frank sur Sunset Boulevard. « Angus a commandé un hot-dog et des haricots », dit Simmons. « Et je me souviens qu’il a pris le hot-dog dans sa main, moins le petit pain, et l’a mis dans sa bouche sur le côté, car il lui manquait des dents. »
Après les quatre concerts d’AC/DC avec Kiss, Simmons a conclu : « Voici un groupe avec lequel il faut compter. Et il a vu quelque chose d’unique à Bon Scott. « Peut-être parce qu’il venait d’un milieu difficile, il était l’antithèse des jolis chanteurs de l’époque. Torse nu. Chant dur. La voix était indéniable.
En 1978, AC/DC part en tournée avec un autre groupe américain de premier plan, Aerosmith . Au Forum de Los Angeles, un jeune de 15 ans nommé James Hetfield était dans le public. Trois ans avant que Hetfield ne forme Metallica , il assistait à son premier concert de rock. « J’étais un grand fan d’Aerosmith », a-t-il déclaré.
« Mais je n’avais aucune idée qu’AC/DC était aussi cool. J’y suis allé avec mon frère aîné, et je me souviens qu’il a pointé Angus du doigt et qu’il a dit : « Ce petit gars qui courait partout était ennuyeux ! Mais je voulais être ce gars-là !
Highway To Hell : la puissance
La puissance en direct d’AC/DC a également été notée par leurs pairs. Lorsque le groupe a ouvert le festival Day On The Green de 1978 au Oakland Coliseum en Californie, d’une capacité de 80 000 places, avec Aerosmith en tête d’affiche et mettant également en vedette Foreigner , Pat Travers et les étoiles montantes Van Halen , le guitariste de ce dernier, Eddie Van Halen , a ressenti une secousse de peur en regardant AC/DC.
Comme il l’a dit: « Je me tenais sur le côté de la scène en pensant: » Nous devons suivre ces enfoirés ? « A Cleveland, ils nous ont fait sauter de la scène », a avoué Moore. « Putain ils nous ont tués. »
Pour AC/DC, suivre Powerage avec un album live était une évidence. Pour Atlantic, il avait le potentiel d’être un hit révolutionnaire, comme Kiss l’avait fait en 1975 avec Alive!
L’album live d’AC/DC, If You Want Blood You’ve Got It , a été enregistré le 30 avril 1978 à Glasgow Apollo, dans la ville où Malcolm et Angus Young sont nés et à deux heures de route de la ville natale de Bon, Kirriemuir. L’album était explosif, des premières notes endiablées de Highway To Hell jusqu’à l’enfer pour le cuir de Rocker . Mais son succès au Royaume-Uni et en France n’a pas été égalé aux États-Unis, où il a calé au n ° 113. Et c’est à la suite de cette déception que les tensions entre AC/DC et Atlantic Records ont atteint leur paroxysme.
Dans les premiers jours de 1979, le vice-président de la société, Michael Klenfner, a voyagé de New York à Sydney pour rencontrer le groupe et entendre la nouvelle maquette sur laquelle ils travaillaient aux Albert Studios avec Harry Vanda et George Young. La position de Klenfner était clairement énoncée.
Klenfner voulait entendre des chansons qui pourraient passer à la radio en Amérique, et il n’y avait rien de tout cela dans les démos que George lui jouait.
George et Harry savaient comment faire un hit. Ils l’avaient fait dans le passé avec The Easybeats, et au début de 1979, ils ont eu un succès mondial avec le numéro disco-pop du chanteur australien John Paul Young, Love Is In The Air . Mais avec AC/DC, c’était différent.
Ils voyaient le groupe comme Malcolm et Angus le voyaient : du rock’n’roll pur et simple. Comme l’a dit George : « C’était toujours plus important qu’il ait les couilles. Donc, si nous devions choisir une prise où ça bourdonnait et tout ça, nous irions dans ce sens. »
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Klenfner n’y croyait pas. Pour faire passer AC/DC au niveau supérieur, il pensait qu’un nouveau producteur était nécessaire. Finalement, après consultation avec George, la décision a été acceptée, bien qu’à contrecœur, par Malcolm et Angus.
Aucun temps n’a été perdu. En février, le groupe s’est mis au travail aux studios Criteria à Miami, en Floride, avec Eddie Kramer, un producteur avec une grande réputation et une feuille de route éprouvée. Né en Afrique du Sud, Kramer avait été ingénieur du son sur certains des albums classiques des années 60 et 70, dont les trois premiers de Jimi Hendrix Experience et Houses Of The Holy and Physical Graffiti de Led Zeppelin .
Highway To Hell
Plus récemment, il avait produit trois albums pour Kiss. Mais quelques jours après avoir travaillé ensemble, il est devenu évident que Kramer et AC/DC ne faisaient pas bon ménage. Après avoir suggéré que le groupe enregistre une version du hit Gimme Some Lovin’ des années 60 du groupe Spencer Davis , Malcolm a rapidement mis fin aux sessions.
C’était peut-être le destin. A cette époque, le manager d’AC/DC, Michael Browning, partageait un appartement à New York avec ‘Mutt’ Lange. Expatrié sud-africain comme Kramer, Lange avait récemment marqué son premier n ° 1 au Royaume-Uni en tant que producteur avec Rat Trap des Boomtown Rats .
Browning a présenté Lange à Atlantic comme le candidat idéal pour le poste d’AC/DC – un gars avec un sens de la musique rock et une sensibilité pop perspicace. Atlantic a donné le feu vert et, en mars, Lange et le groupe se sont réunis à Londres.
Tout d’abord, ils ont répété et peaufiné les chansons dans un espace d’entraînement à loyer modique avec un sol en terre battue et un radiateur à paraffine pour atténuer le froid hivernal.
Pour l’enregistrement de l’album, ils ont déménagé aux Roundhouse Studios de Chalk Farm. Au sein du groupe, il y avait des réserves à propos de Lange. Malcolm a dit plus tard que s’ils avaient su qu’il avait travaillé avec The Boomtown Rats, « nous ne l’aurions jamais laissé franchir la porte ». Mais dès qu’ils se sont mis au travail, il était clair pour tout le monde, Malcolm en particulier, que ce type savait ce qu’il faisait.
Tout cela était évident dans le premier numéro enregistré pour Highway To Hell, la chanson titre de l’album. Essentiellement, c’était AC/DC comme ils l’ont toujours été. Comme l’a dit Malcolm : « Juste du rock’n’roll fort, wham, bam, merci, madame ! »
Mais avec Lange travaillant sa magie, c’est devenu quelque chose de tout à fait plus grand – un hymne rock pour ressusciter les morts. Et une fois que c’était dans la boîte, les neuf autres morceaux sont venus rapidement, avec l’album entier enregistré en seulement trois semaines.
Une poignée de morceaux consistaient à travailler un groove – Girls Got Rhythm, Shot Down In Flames et Get It Hot , ce dernier mettant en vedette un ricanement de Bon aux dépens du roi du schmaltz au gros nez, Barry Manilow.
Les trucs les plus agressifs étaient aussi durs et méchants que n’importe quoi sur Let There Be Rock : Walk All Over You brutalement efficace dans sa dynamique lente-rapide-lente, Beating Around The Bush était une balade à poings blancs comme Oh Well de Fleetwood Mac joué en double speed, If You Want Blood (You’ve Got It) tout pisse et vinaigre, ses paroles et son titre, à l’image de l’album live du groupe, inspiré des blagues faites par Bon et Angus au festival Day On The Green.
Comme Angus l’a rappelé: «Ce gars d’une équipe de tournage m’a contacté ainsi que Bon et m’a demandé quel genre de spectacle ça allait être. Bon a dit : « Vous vous souvenez quand les chrétiens sont allés voir les lions ? Eh bien, c’est nous les chrétiens ! Puis le type m’a demandé et j’ai dit : ‘S’ils veulent du sang, ils vont en avoir !’ »
C’est sur Love Hungry Man et Touch Too Much que l’influence de Lange était la plus importante, sa voix poussée haut dans le mix, son intelligence pop en jeu. Malcolm et Angus n’ont jamais beaucoup aimé Love Hungry Man, avec son côté mesuré, presque décontracté. Ils avaient aussi des doutes sur Touch Too Much, qui a été démo pour la première fois en 1977.
Mais ce morceau avait tout ce qui était génial à propos d’AC/DC : le rock’n’roll percutant et des paroles vintage. Et ce que Lange en a fait était assez brillant, adaptant le son à la radio avec des crochets vocaux intelligents et obligeant le groupe à se détendre un peu pour que le riff funky swingue vraiment.
Il y avait cependant une part sombre dans cet album. Malgré tout le chahut de l’album, il s’est terminé sur une note sombre avec Night Prowler, une chanson de blues tendue et effrayante pour laquelle Bon a adopté le personnage d’un méchant meurtrier.
Musicalement, c’était aussi puissant que les paroles étaient macabres, et à l’apogée, comme pour rompre le charme, Bon a lancé quelque chose de drôle, citant un faux langage extraterrestre de la sitcom de science-fiction des années 70 Mork & Mindy : « Shazbot ! Nanu nanu! »
Highway To Hell et Atlantic records
Des années plus tard, Night Prowler reviendrait hanter le groupe, lorsque la chanson était liée à Richard Ramirez, le tueur en série américain connu sous le nom de The Night Stalker.
Les allégations faites par Ramirez à la suite de son arrestation en 1985 ont été citées dans des titres de journaux sinistres, dont l’un disait : « AC/DC MUSIC MADE ME KILL 16 ». Malcolm Young a ensuite exprimé son mépris pour Ramirez et pour les articles médiatiques impliquant AC / DC. « Votre réponse à cela est: ‘Avez-vous fouillé son estomac pour un McDonald’s?' », A-t-il dit. « Si vous êtes un fou, vous êtes un fou. »
Mais au printemps 1979, lorsque l’album Highway To Hell a été terminé, c’est la chanson titre, et non Night Prowler, qui a secoué Atlantic Records. « Dès que nous avons appelé l’album Highway To Hell, la maison de disques américaine est immédiatement entrée en panique », a déclaré Angus. « Avec les choses religieuses, je pensais que partout c’était comme l’Australie. »
Là-bas, ils les appellent des bible-thumpers, et c’est une espèce limitée. Très limitée. Le christianisme n’a jamais été un mouvement populaire. C’est ce fond de bagnard !
En Amérique, où la moralité chrétienne était plus enracinée, Highway To Hell était une controverse en attente de se produire.
Avant que le groupe n’y retourne en mai pour une tournée avec les rockeurs britanniques de haut vol UFO, Angus et Bon ont rencontré l’écrivain Sounds Phil Sutcliffe dans un hôtel londonien. Et c’est lors d’une interview, menée en début d’après-midi, que Sutcliffe a senti pour la première fois que la consommation d’alcool de Bon devenait un problème sérieux. Sutcliffe avait rencontré le groupe plusieurs fois auparavant, et lui, comme tant d’autres, a été immédiatement attiré par Bon.
Comme il l’a rappelé : « Bon était tellement excentrique et pourtant tellement terre-à-terre. Sur scène, il était comme un pirate, un peu coriace et macho. Et où qu’il soit, il faisait que les gens se sentent bien. Ce jour-là, c’était différent. Selon Sutcliffe, Bon « ne savait pas où il était », tellement ivre qu’il pouvait à peine enchaîner une phrase cohérente.
Lorsque Sutcliffe lui a posé des questions sur le nouvel album et le rôle de Mutt Lange, Bon a répondu en riant : « Eh bien, en fin de compte, cobber, pour répondre à votre question, il a joué un rôle déterminant pour que je me projette… dans un domaine différent de celui de que je m’étais projeté avant.
Comme. » La façon dont Sutcliffe a décrit cet échange dans son article sur les sons était révélatrice : « Bon a basculé le long de ces circonlocutions grammaticales comme un ivrogne choisissant de se tester sur une ligne blanche. »
Et dans une observation, il y avait une prescience effrayante : « Curieusement », a écrit Sutcliffe, « il semble y avoir une part de vérité chez Angus, et peut-être tout le groupe, ayant pris Bon en main de manière presque paternelle bien qu’il soit de loin le plus âgé des eux à trente-trois ans. Bon reste celui qu’ils estiment devoir surveiller.
Au moment où Highway To Hell est sorti, le 27 juillet, un autre membre du cercle restreint d’AC/DC avait disparu, Michael Browning ayant été démis de ses fonctions de manager et remplacé par Peter Mensch de l’organisation Leber-Krebs, dont les clients comprenaient des gros joueurs tels que comme Aerosmith et Ted Nugent.
Tout allait vite. Le groupe est passé directement de la tournée UFO à une autre avec Cheap Trick . Au Royaume-Uni, Highway To Hell a été un succès instantané, atteignant la 8e place. En Amérique, la percée à la radio a finalement eu lieu lorsque Highway To Hell est sortie en tant que premier single.
Tout comme Atlantic l’avait prévu, Highway To Hell a suscité l’indignation de la soi-disant «majorité morale» américaine, non seulement pour son titre mais aussi pour son image de couverture, une photo de groupe dans laquelle un Angus ricanant, arborait des cornes de diable et, pour un effet supplémentaire, une queue fourchue.
Angus a rappelé en riant: «En Amérique, vous aviez des gars dans des draps et des pancartes avec des prières pour piqueter les concerts. J’ai dit : ‘Pour qui sont-ils là ?’ Et ils ont dit : ‘Toi !’ Nous avons entendu tous ces trucs sur Highway To Hell – que si vous le jouez à l’envers, vous obtenez ces messages sataniques. Putain de merde, pourquoi jouer à l’envers ? C’est écrit d’emblée : Highway To Hell ! » Ce que Gene Simmons a entendu dans Highway To Hell était un groupe atteignant son apogée. « J’ai adoré les chansons », dit-il. « J’ai adoré l’ambiance. »
Alors que l’album se connectait avec un public de masse en Amérique, le profil d’AC/DC au Royaume-Uni s’est encore accru avec une performance époustouflante pour The Who au stade de Wembley le 18 août. Parmi les 60 000 spectateurs se trouvait Danny Bowes – alors un Installateur de tapis de 19 ans qui a chanté dans un groupe de rock basé à Londres appelé Nuthin ‘Fancy, maintenant le chanteur de Thunder.
« Je suis allé voir The Who », dit Bowes, « et j’en suis ressorti fan d’AC/DC. L’approche de Bon Scott envers le public était très directe – ton cul est à moi ! Et vraiment, The Who n’avait aucune chance. AC/DC les a éclaboussé, dépassé complétement ».
Une autre victoire suivit ensuite. Le 5 septembre, alors qu’AC/DC reprenait la route en Amérique, une étape importante a été franchie. Highway To Hell est devenu le premier disque d’or du groupe aux États-Unis, avec un demi-million de ventes. « C’était la première fois que les choses allaient vraiment se passer pour nous », a déclaré Cliff Williams.
Le 26 octobre, cinq jours seulement après la dernière date aux États-Unis, ils ont commencé une tournée britannique à Newcastle Mayfair. L’acte de soutien était un jeune groupe britannique que Peter Mensch allait bientôt co-gérer – Def Leppard. Pour le chanteur de Leppard Joe Elliott, qui venait d’avoir 20 ans, cette tournée était une expérience qu’il n’oublierait jamais.
Le deuxième soir, à Glasgow Apollo, l’endroit où If You Want Blood You’ve Got It a été enregistré, Elliott est monté sur le balcon pour avoir une bonne vue d’AC/DC. Ce qu’il a eu à la place était une expérience de mort imminente. « Quand ils ont ouvert avec Live Wire , la basse pompait, je jure que ce putain de balcon bougeait douze pouces », se souvient-il. « C’était comme un tremblement de terre. Les gens devenaient tellement fous que je pensais que le balcon allait s’effondrer.
Tous les autres soirs de cette tournée, Elliott et les autres membres de Def Leppard ont regardé les performances d’AC/DC depuis le côté de la scène. « Nous avons tellement appris d’eux », dit-il. « La présentation, la grande énergie et la communication avec le public.
Bon était un maître dans ce domaine. Chemise enlevée après trois chansons, beaucoup de sueur, agressivité contrôlée dans la voix. Il n’avait pas l’air d’essayer. Il était comme un robinet – il suffit de l’ouvrir. Il est né pour le faire. »
Comme Elliott s’en souvient, Bon était tout aussi impressionnant hors scène. « Rencontrer vos héros peut être décevant », dit-il, « mais pas avec Bon. Il était super avec nous. Ce n’était pas un connard prétentieux. C’était un talent naturel. Et il y avait toujours une étincelle dans ses yeux et un sourire de merde sur son visage.
Il était à ce moment de sa vie où tous les feux étaient au vert. Un soir, il est entré dans un bar avec sa veste en jean et a vu que nous n’avions pas d’argent, alors il m’a collé un dix dans la main et m’a dit : « Tenez, payez-vous un verre. Rends-le-moi plus tard. Rendez-vous sur la route. Et il n’était pas seulement flash. Bon n’était pas comme Keith Moon, se balançant des lustres. Il aimait boire un verre, mais ce n’était pas seulement un homme sauvage.
Le batteur de Leppard, Rick Allen, garde également de bons souvenirs de cette tournée, et de Bon en particulier. Lorsqu’ils ont joué au Hammersmith Odeon de Londres le 1er novembre, Allen a fêté son seizième anniversaire et son jeune âge s’est reflété dans le cadeau qu’il a reçu de Bon.
« Il est entré dans notre loge », se souvient Allen, « en chantant Joyeux anniversaire avec cette étrange voix australo-glaswégienne, et m’a donné un grand bol de Smarties. C’était sa drôle de façon de me montrer un peu d’amour.
Le 11 novembre, AC/DC part en Europe avec Judas Priest en première partie à la place de Leppard. Un spectacle au Pavillon de Paris dans la capitale française le 9 décembre a été filmé pour le film de concert AC/DC: Let There Be Rock , qui devait sortir en salles en 1980.
Mais alors que la tournée touchait à sa fin, Bon a subi un blessure anormale, se tirant un muscle de la jambe lors d’une bagarre ivre avec l’un des roadies du groupe après un concert à Nice. Il a réussi à passer trois dates en Angleterre à l’approche de Noël, mais deux autres ont dû être reportées.
Bon s’est envolé seul pour l’Australie pour profiter de Noël au soleil, voir ses parents et retrouver de vieux amis. À cette époque, les ventes de Highway To Hell frôlent le million. Mais pour Bon, en revenant à l’endroit où son long voyage vers la célébrité rock’n’roll avait commencé, les émotions étaient mitigées. Même dans ce moment de victoire, il y avait de la tristesse en lui.
Bon Scott avait créé sa propre mythologie avec des mots qu’il chantait en 1976 : « I ‘a rocker, roller, right-out-of-controller « . Il était connu comme un hellraiser et un coureur de jupons; un charmeur, certes, mais un homme qui pouvait user de ses poings si nécessaire. Et pourtant, malgré tout son machisme, c’était un homme complexe, une dichotomie révélée dans les deux premières chansons de blues qu’AC/DC a enregistrées.
The Jack, à partir de 1975, faisait chanter Bon sur les choses qu’il avait apprises en dormant. En tant que « graffeur de murs de toilettes » autoproclamé, les mots lui sont venus facilement. Mais avec Ride On , à partir de 76, il chante la solitude de la route, le revers de la vie rock’n’roll. Interviewé en 1978, il déclare : « J’ai été sur la route pendant treize ans. Les avions, les hôtels, les groupies, l’alcool, les gens, les villes, ils vous arrachent tous quelque chose.
Alors qu’il était en Australie dans les derniers jours de 1979, il a rendu visite à son ex-femme, Irene, qui était enceinte de six mois. Peu importe à quel point il roulait avec AC/DC, et malgré tout ce qu’il s’engourdissait avec l’alcool, voici une vision de ce qu’aurait pu être sa vie si les choses s’étaient passées différemment.
Peu de temps après son retour à Londres en janvier 1980, la tournée Highway To Hell se conclut par huit concerts en France et deux en Angleterre.
Le dernier single de l’album, Touch Too Much , est sorti au Royaume-Uni le 25 janvier. Ce n’était pas un grand succès, culminant au n ° 29. Mais pour Joe Elliott, dont le groupe a continué à faire leurs plus grands albums avec Mutt Lange, Touch Too Much était à peu près parfait. « C’est marrant », dit Elliott, « parce que, comme Mutt me l’a dit plus tard, AC/DC ne supportait pas Touch Too Much . Ils pensaient que c’était trop coquelicot. Mais je pensais que c’était la meilleure chanson de l’album.
La dernière nuit de la tournée, au Gaumont Theatre de Southampton le 27 janvier 1980, s’est avérée être le dernier combat de Bon Scott. Ce qu’il a laissé avec Highway To Hell, son dernier testament, est l’un des plus grands albums de rock de tous les temps. Et tout comme Malcolm Young avait su qu’ils étaient sur quelque chose d’important à partir du moment où ce riff ressortait comme des couilles de chien, Bon l’avait su aussi.
Le 4 août 1979, une semaine après la sortie de Highway To Hell , AC/DC s’est produit pour la première fois au Madison Square Garden de New York, en première partie de Ted Nugent.
Cette nuit-là, comme la plupart des nuits, ils ont fait lever le public de leurs sièges dès le départ. Dans les coulisses après le spectacle, Bon s’était vanté auprès de l’ écrivain de Hit Parader Andy Secher : « Ce sera l’un des plus grands groupes de rock jamais vus. Donnez-nous un an ou deux et nous reviendrons à cet endroit même. »
Bon avait raison. Malheureusement, il n’a jamais vécu assez longtemps pour revivre ce moment.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le LeicaQ2 est un appareilphoto plein format à objectif fixe, doté d’un nouveau capteur de 47,3 mégapixels et d’un objectif Summilux 28 mm F1.7 net et stabilisé. Il a le style d’un télémètre Leica M traditionnel et remplace le très populaire Leica Q original (Typ 116) , lancé en 2015.
Le Leica Q2 ressemble essentiellement à son prédécesseur, mais sous le capot, des améliorations notables ont été apportées, notamment l’ajout d’une étanchéité aux intempéries, une meilleure autonomie de la batterie, un nouveau processeur et un viseur électronique bien amélioré. Le nombre de pixels a également presque doublé.
Spécifications clés du Leica Q2:
Capteur plein format 47,3 mégapixels
Objectif stabilisé 28 mm F1.7 Summilux
EVF OLED 3,68 MP avec grossissement 0,76x
Écran LCD tactile fixe de 3 pouces avec 1,04 million de points
Mise au point automatique rapide et bague de mise au point manuelle amortie en douceur
Alors que le Q2 remplace le Q original dans la gamme Leica, le Leica QP – une version « furtive » du Leica Q – restera disponible. Le Leica Q2 se vend au prix recommandé de 4790 €.
Leica Q2 : Quoi de neuf ?
Le Leica Q2 peut ressembler au Q original, mais de nombreuses petites améliorations à l’intérieur et à l’extérieur s’ajoutent à un appareil photo plus résistant et plus polyvalent.
Points clés à retenir
Le nouveau capteur 47.3MP offre ISO 50
Il y a un nouvel équivalent de 75 mm. mode recadrage
Le boîtier de l’appareil photo a été reconstruit pour résister à la poussière et à l’humidité
Les commandes arrière et supérieure ont été simplifiées et rappellent désormais la disposition des boutons du Leica CL
Le nouveau EVF OLED 3.68MP est une grande amélioration par rapport au viseur de son prédécesseur
La durée de vie de la batterie est améliorée de 30 % par rapport au Q d’origine à 370 prises de vue par charge selon la norme CIPA
Nouveau capteur, faible ISO, modes de recadrage
Le capteur de 47,3 mégapixels du Leica Q2 offre un ISO bas natif de 50, par rapport à 100 ISO sur le Q d’origine. Cela se traduit par une plage dynamique améliorée par rapport à son prédécesseur lors de la prise de vue Raw.
Le nouveau capteur apporte également un mode supplémentaire de « sélecteur de cadre numérique » (recadrage) de 75 mm. Le Q2 propose des équivalents 35 mm, 50 mm et 75 mm. options de recadrage qui donnent respectivement des fichiers de 30 MP, 15 MP et 6,6 MP.
Lors de la prise de vue de ces modes en Raw + JPEG, le JPEG sera recadré et le fichier Raw offrira un aperçu recadré, tout en enregistrant un fichier de résolution complète de 47 MP.
Nouvelle disposition des boutons, étanchéité aux intempéries/à la poussière
Le Leica Q2 offre deux boutons arrière de moins que le Q d’origine. Le bouton vidéo a également disparu de la plaque supérieure, tout comme une option de mode d’entraînement sur l’interrupteur d’alimentation. Cependant, un bouton personnalisé supplémentaire se trouve au centre de la molette de commande de la plaque supérieure.
Au total, trois boutons de l’appareil photo peuvent être personnalisés. Les commandes sont essentiellement identiques à celles du Leica CL.
Selon Leica, une bonne étanchéité aux intempéries était apparemment l’amélioration Q la plus demandée. Et exécuter une telle amélioration, tout en gardant le facteur de forme et la taille largement inchangés, n’est pas une mince affaire. Mais Leica l’a quand même fait – le Q2 est étanche à la poussière et aux intempéries IP52. Vous pouvez en savoir plus sur les cotes IP ici .
Leica Q2
Nouvel EVF, autonomie améliorée de la batterie, nouveau porte-carte
Bien que le Q et le Q2 arborent tous deux des viseurs électroniques de 3,68 MP, le Q était un affichage de type séquentiel de champ qui n’offrait que 1,04 million de points à un moment donné.
En effet, il passe par le rouge, le vert et le bleu, ce qui le rend également susceptible d’afficher des motifs arc-en-ciel lors du panoramique de l’appareil photo ou si vous clignez des yeux car il est rafraîchissant.
L’écran OLED mis à jour du Q2 n’a pas ce problème, il apparaît donc en fait une résolution beaucoup plus élevée que celle de son prédécesseur. La netteté et le contraste sont également améliorés, et l’EVF du Q2 est légèrement plus grand avec un grossissement de 0,76x.
Leica Q2
La commutation entre l’écran LCD et l’EVF via le capteur oculaire a également été accélérée et vous pouvez régler la sensibilité du capteur automatique.
En plus d’un EVF amélioré, la batterie a également été renforcée pour l’unité BP-SCL4 de plus grande capacité, identique au Leica SL. Cela donne au Q2 un avantage de 30% sur la durée de vie de la batterie par rapport au Q. En parlant de batteries, la carte et la porte de la batterie sont désormais séparées.
Vidéo 4K et Wi-Fi via Leica Fotos
Un appareil photo à objectif fixe n’est peut-être pas votre premier choix pour le travail vidéo, mais un objectif stabilisé rapide et une capture 4K (24/30p) rendent le Q2 plus qu’utilisable pour saisir le clip occasionnel. Il offre également une capture 1080/120p pour le ralenti.
Mais ne vous attendez pas à brancher un microphone ou des écouteurs : cet appareil photo n’a aucun port d’aucune sorte.
Le Q2 remplace le NFC par une connectivité Bluetooth à faible consommation, comme moyen de créer une connexion Wi-Fi. Le Bluetooth devrait permettre à la caméra de rester connectée à la plupart des appareils sans avoir besoin de se reconnecter constamment. Comme tous les Leica récents, il fonctionne avec l’application Leica Fotos.
Nouvelles vitesses d’obturation et Auto OIS
L’obturateur à feuilles de l’appareil photo a été repensé et offre désormais une vitesse de synchronisation du flash supérieure de 1/2000 s (1/500 s sur le Q), et l’obturateur électronique supérieur est désormais à couper le souffle de 1/40 000 s (1/16 000 s sur le Q).
Un nouveau mode Auto OIS n’active la stabilisation que lors de la prise de vue à 1/60 s ou moins. Nous imaginons que ce mode aidera à économiser la durée de vie de la batterie et à réduire tout risque de dégradation de la qualité de l’image par IS, mais avec 47,3 MP à la pression, vous souhaiterez peut-être également activer OIS à des vitesses d’obturation un peu plus rapides pour garantir une netteté critique.
Comment comparer le Leica Q2
Le Leica Q2 est une offre unique et n’a pas vraiment de concurrents directs plein format à objectif fixe en dehors de son prédécesseur. Il existe des options d’équiv 35 mm, si vous aimez avoir une vision plus étroite du monde, cependant.
Le Sony RX1R II offre une concurrence plein format mais est un peu long à la détente. Pour le contexte, nous avons également inclus un autre compact à objectif fixe populaire dans le Fujifilm X100F ou, comme nous l’appelons parfois, le « Leica du pauvre ».
Cette différence équivalente de 28 contre 35 mm ne doit pas être négligée, bien sûr. Le premier est considéré comme plus grand angle tandis que le second est un peu plus proche de la « normale », et vous pouvez trouver que vous préférez le look et le style de prise de vue de l’un à l’autre (bien que le mode de recadrage inclus du Q2 puisse atténuer quelque peu cela).
Leica Q2
Leica Q
Ricoh GR III
Fujifilm X100F
Sony RX1R II
Nombre de pixels
47MP
24MP
24MP
24MP
42MP
Taille du capteur
Plein cadre
Plein cadre
APS-C
APS-C
Plein cadre
Lentille
28mm F1.7
28mm F1.7
28mm (équiv.) F2.8
35mm (équiv.) F2
35mm F2
Stabilisation d’image
Oui
Oui
Oui
Non
Non
Plage ISO (élargie)
50-50 000
100-50 000
100-102 400
200-51 200
50-102 400
Viseur intégré
Oui
Oui
Non
Oui
Oui
Écran tactile
Oui
Oui
Oui
Non
Non
Étanche aux intempéries
Oui
Non
Non
Non
Non
Éclatement
20 ips
10 ips
À confirmer
8 ips
5 ips
Vidéo
4K/30p
1080/60p
1080/60p
1080/60p
1080/60p
Flash intégré
Non
Non
Non
Oui
Non
Chaussure chaude
Oui
Oui
Oui
Oui
Oui
Mode macro
Oui
Oui
Oui
Non
Oui
Lester
718 grammes
640 grammes
257 grammes
469 grammes
507 grammes
Vie de la batterie
370
250
200
390
220
PDSF
4995 $
4250 $
899 $
1299 $
3299 $
Leica Q2 :Premières impressions
Je ne peux pas mentir, j’ai vraiment aimé le Leica Q original. Je pourrais même aller jusqu’à dire que c’est l’un de mes appareils photo préférés de l’ère numérique – et c’est certainement mon appareil photo à objectif fixe préféré.
Le plaisir de prendre des photos avec lui m’a en fait amené à rechercher et à acheter un appareil photo moins cher, mais conceptuellement similaire, dans le Fujifilm X100F (en plus, je préfère le 35 mm au 28 mm).
Le Q2 n’est pas une mise à jour faite à moitié, ni une version édulcorée de son prédécesseur.
Ce qui est si étonnant avec le Q – autre que son excellent design, son objectif net et sa grande qualité d’image Raw – c’est que posséder un est une fin en soi.Une fois que vous en avez un, c’est tout : il n’y a pas de nouveaux objectifs à convoiter, juste des accessoires stupides et trop chers.
C’est le genre d’appareil photo que vous pouvez atteindre lorsque vous sortez de la maison sans arrière-pensée, car il ne fait aucun doute que vous avez apporté les bons morceaux de kit –
Alors, quand des rumeurs ont commencé à circuler sur un Q2, je suis devenu nerveux. »Et si Leica bousille ça ? »Je pensais. Après tout, il n’est pas rare que les marques gâchent un rafraîchissement d’appareils photo extrêmement populaires en lançant une mise à jour de fonctionnalités à moitié cuite (merci Ricoh GR II), ou en modifiant trop l’ADN de l’appareil photo d’origine.
Heureusement, Leica savait mieux.Après avoir tourné avec le Q2, je suis heureux de confirmer qu’il ne s’agit pas d’une mise à jour faite à moitié, ni d’une version édulcorée de son prédécesseur.En termes simples, Leica a bien compris : le Q2 est un exemple parfait de la façon de faire un rafraîchissement. Ils ont corrigé les points sensibles les plus reprochés, ajouté de nouvelles technologies et de nouvelles fonctionnalités et n’ont rien changé qu’ils n’avaient pas à faire.
Tout en gardant la même taille et le même facteur de forme, Leica a considérablement amélioré la durée de vie de la batterie de l’appareil photo, l’étanchéité à la poussière et aux intempéries, la résolution du capteur, le viseur électronique et les commandes générales.
Ils lui ont également donné un nouveau processeur pour des rafales plus rapides et un fonctionnement global rapide, une meilleure réduction du bruit ISO élevée et une vidéo 4K. Et pour couronner le tout, l’appareil photo est doté d’un obturateur à feuilles repensé pour une synchronisation du flash plus rapide (jusqu’à 1/2000 s !).
Leica a également abordé les commandes faciles / ennuyeuses à utiliser sur le Q d’origine (comme l’enregistrement vidéo ou le mode d’entraînement / interrupteur d’alimentation) en les déplaçant ou en les repensant.
Et malgré la perte de quelques boutons arrière, j’ai trouvé que le Q offrait un plus grand niveau de personnalisation de l’utilisateur et une expérience de prise de vue plus simple.
Individuellement, ces améliorations peuvent sembler minimes, en particulier d’un point de vue marketing.Et c’est peut-être parce que Leica était moins intéressé par l’augmentation des ventes grâce à l’hyperbole marketing, et plus intéressé par la création d’une version 2 justifiée.
N’oubliez pas que Leica nous a dit que le Q original était une expérience pour la marque, et ils admettent même qu’ils l’étaient époustouflé par son succès. À ce jour, le Q fait partie des modèles les plus populaires de la gamme Leica.
Fait intéressant, Leica nous a également admis que l’aspect le plus difficile de la fabrication du Q2 était l’ajout d’une bonne étanchéité à la poussière et à l’humidité, la fonctionnalité la plus demandée par les utilisateurs de Q.
Et cela a nécessité une reconstruction complète de la caméra de l’intérieur vers l’extérieur, ce qui a été fait avec des ordres stricts pour garder la même taille et la même forme.Pour moi, c’est vraiment impressionnant.
Le nouveau capteur de l’appareil photo est également impressionnant. Je ne pensais pas avoir besoin ou vouloir des fichiers 47MP, mais là encore, je ne veux pas toujours filmer en 28 mm.
Et donc j’apprécie la possibilité de tirer à la place un équivalent 35 mm.frame – en utilisant le mode de recadrage de l’appareil photo – et avoir toujours un fichier 30MP, une résolution supérieure à celle du capteur Q d’origine. Et bien que nous n’ayons pas encore testé la plage dynamique du Q2, j’espère que sa nouvelle base ISO de 50 lui donnera un avantage DR notable par rapport à son prédécesseur.
Il y a cependant des aspects du Q original transférés dans le Q2 que j’aurais aimé que Leica ait abordés. Par exemple, ses profils JPEG sont parmi les pires absolus que j’ai vus dans un appareil photo numérique moderne.C’est peut-être la façon dont Leica insiste subtilement pour que vous preniez le temps de traiter le vôtre.
Mais il semble étrange qu’un appareil photo aussi cher ait une offre hors caméra aussi désagréable. Leica a également changé certaines choses pour le pire : je ne suis pas non plus un grand fan de la décision de supprimer tous les ports du corps du Q2 – le chargement dans l’appareil photo aurait été une fonctionnalité intéressante.
Ces griefs mis à part, le Leica Q2 semble être une mise à jour solide d’un appareil photo déjà excellent.
Qualité d’image du Leica Q2
Points clés à retenir:
Les performances brutes sont généralement bonnes, avec des niveaux élevés de capture de détails.
Les performances ISO élevées se situent à environ un arrêt des meilleurs capteurs modernes
Les JPEG sont décevants, avec des couleurs non saturées et un faible contraste
ISO 50 semble être un réglage ISO complet, mais les JPEG se coupent de manière inattendue tôt
Le mode ISO automatique de l’appareil photo n’utilisera pas ISO 50, vous devrez donc l’activer manuellement pour la plage dynamique maximale.
Notre scène de test est conçue pour simuler une variété de textures, de couleurs et de types de détails que vous rencontrerez dans le monde réel. Il dispose également de deux modes d’éclairage pour voir l’effet de différentes conditions d’éclairage.
La qualité d’image brute du Q2 est très impressionnante, elle est très nette près du centre et affichedes niveaux de bruit comparables aux meilleurs de ses pairs. Aux coins extrêmes, il est un peu plus doux que les appareils photo que nous avons tournés avec des objectifs dédiés de 85 mm, mais s’améliore , plus vous vous rapprochez du centre .
C’est peut-être une conséquence de la correction de distorsion assez importante qui fait partie de la conception de l’objectif de l’appareil photo : nous verrons plus en détail à la page suivante.
Aux réglages ISO élevés, le Leica est en retard sur ses contemporains, la différence s’ouvrant à un arrêt complet aux réglages les plus élevés.
L’histoire en mode JPEG est un peu moins positive. La capture des détails reste très bonne mais la réponse des couleurs est parmi les pires que nous ayons vues depuis un certain temps, avec une teinte magenta distincte dans les rouges et une touche verte dans les jaunes et les bleus.
Ce n’est pas seulement quelque chose que nous observons dans notre scène de studio : notre tournage dans le monde réel nous a également déçus. Ajoutez à cela une balance des blancs plutôt peu fiable et un contraste par défaut très faible, et il est plus sûr de supposer que vous aurez besoin d’un plan de traitement Raw pour le Q2.
À des ISO élevés, la réduction du bruit de l’appareil photo fait un travail raisonnable pour équilibrer la réduction du bruit et la rétention des détails, mais les détails à faible contraste sont perdus dans le processus .
Cela dit, il est important de rappeler que Leica a toujours choisi de laisser un peu plus de bruit de luminance que ses concurrents, et en tout cas, les performances du Q2 ici c’est un pas en avant par rapport à son prédécesseur à cet égard.
Plage dynamique du Leica Q2
Le tout nouveau capteur 47MP du Leica Q2 est performant, s’il n’est pas à la hauteur des normes élevées fixées par les capteurs de certains concurrents à l’heure actuelle. Comme vous pouvez le voir dans notre test d’invariance ISO , il y aura une augmentation du bruit si vous utilisez un ISO bas et poussez l’exposition, par rapport à une exposition à un ISO plus élevé dès le départ.
Cela suggère que l’appareil photo ajoute du bruit à ses images, dont le rôle peut être diminué en ajoutant une amplification à des réglages ISO plus élevés.
Cela signifie que, pour les utilisateurs avancés, vous pouvez utiliser une valeur ISO inférieure et sous-exposer votre image pour éviter que vos hautes lumières ne soufflent, mais éclaircir le reste de l’image entraînera plus de bruit que si vous utilisiez une valeur ISO plus élevée pour commencer. .
Passons maintenant à la latitude d’exposition , dans laquelle nous utilisons l’ISO de base de l’appareil photo et essayons d’éclaircir des expositions de plus en plus sombres pour voir combien de bruit est ajouté dans les ombres profondes.
Ici, vous pouvez voir que le Leica Q2 est à environ un arrêt derrière le Nikon D850 à cet égard.
Quel est l’ISO de base du Q2 ?
Le Leica Q2 dispose d’un mode ISO 50 qui, pour autant que nous puissions en juger, est un réglage ISO distinct qui permet à l’appareil photo d’être photographié avec 1 EV de plus de lumière que le mode ISO 100 avec une augmentation mesurable de la plage dynamique.
Les fichiers JPEG coupent environ 1EV plus tôt que les fichiers ISO 100, ce qui donne l’impression d’un réglage étendu (essentiellement ISO 100 surexposé par un arrêt), cependant, les fichiers Raw racontent une histoire différente et semblent conserver un arrêt supplémentaire des données de surbrillance .
Il est important de noter, cependant, qu’ISO 50 ne donne pas plus de plage dynamique au Q2 qu’ISO 100 sur un appareil photo comparable comme le Panasonic Lumix S1R, qui utilise un capteur très similaire.
C’est déroutant, et on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi Leica n’a pas ajusté l’échelle/les étiquettes de sa plage ISO pour simplement utiliser 100 comme valeur de base.
Donc, si vous filmez Raw et que vous voulez la plage dynamique maximale de votre appareil photo, vous devez photographier à ISO 50. Si vous prévoyez d’utiliser les JPEG, vous pouvez laisser l’appareil photo en ISO automatique, qui n’utilisera jamais l’ISO. 50, et acceptez simplement le coût du bruit de 1 EV lié à l’utilisation d’expositions plus courtes.
Leica Q2 : conclusion
Le Leica Q2 est le meilleur appareil photo de Leica. Ou, du moins, c’est le plus facile à utiliser. Il est objectivement très bon dans ce qu’il essaie de faire, et n’a pas le genre d’omissions ou de lacunes – comme l’ omission de l’écran LCD arrière, par exemple – pour risquer d’induire une dissonance cognitive . En fait c’est plutôt joli.
La combinaison d’un bon capteur et d’un excellent objectif signifie que la qualité d’image est souvent extrêmement bonne. Les JPEG sont son talon d’Achille, avec des couleurs ternes et l’inclusion de beaucoup de plage dynamique, ce qui les rend plutôt plats dans la plupart des situations.
Ou peut-être « naturaliste » si vous essayez de rationaliser un trou de 5 000 $ dans votre solde bancaire. Les JPEG ISO 50 prématurément coupés ressemblent à une erreur, et j’espère que celle-ci pourra être corrigée. Dans l’ensemble cependant, la qualité d’image est impressionnante.
L’autofocus n’est pas à la hauteur des meilleurs appareils photo de sport, mais il est plus que suffisant pour un compact grand angle de photographes.
L’interface utilisateur, bien qu’un peu spartiate, est en fait bien adaptée à la tâche à accomplir : cela ne fonctionnerait pas sur un appareil photo essayant de faire un peu de tout, mais il fait à peu près tout ce dont vous avez besoin.
Et, même si j’ai trouvé que l’onglet de mise au point manuelle était toujours exactement au mauvais endroit, l’expérience de mise au point manuelle est l’une des meilleures que je me souvienne d’avoir sur un appareil photo numérique.
Le Q2 est magnifiquement construit, tient bien dans la main, a l’air sensationnel et prend de bonnes photos (de très bonnes si vous êtes prêt à traiter les Raws). Son ensemble tout-en-un signifie qu’il n’incitera pas à une dépendance potentiellement ruineuse aux objectifs, ni ne vous engagera à parler à vie de la valeur de l’autofocus.
Le Q2 est magnifiquement construit, tient bien dans la main, a l’air sensationnel et prend de bonnes photos
La stratégie de prix premium utilisée par Leica rend pratiquement impossible d’être objectif sur la valeur, puisque le prix élevé fait lui-même partie de la justification du prix si élevé.
Mais, si nous utilisons l’approximation selon laquelle chaque arrêt supplémentaire double généralement le prix d’un objectif, alors le capteur plus grand et l’objectif plus lumineux du Leica vous amèneraient à vous attendre à ce qu’il coûte environ 7 fois plus cher que le Ricoh GR III.
C’est une façon sciemment grossière (bien que légèrement facétieuse) de voir les choses, mais cela suggère que la valeur de la marque de ce petit point rouge et du lettrage « Made in Germany » ne gonfle pas le prix à un degré déraisonnable.
FAQ sur le Leica Q2
Qu’est-ce que le Leica Q2 ?
Le Leica Q2 est un appareil photo numérique haut de gamme de type compact, conçu pour les photographes professionnels et les amateurs exigeants. Il est équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels, d’un objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH et d’un viseur électronique OLED haute résolution.
Quelle est la résolution du capteur de l’appareil photo ?
Le Leica Q2 est équipé d’un capteur CMOS plein format de 47,3 mégapixels, ce qui en fait l’un des appareils photo compacts les plus puissants sur le marché.
Quelle est la distance focale de l’objectif du Leica Q2 ?
L’objectif du Leica Q2 est un Summilux 28mm f/1.7 ASPH, qui offre une distance focale fixe de 28 mm. Cela en fait un choix idéal pour les photographes qui aiment la photographie de rue, les paysages et les portraits.
Est-ce que le Leica Q2 est résistant à l’eau et à la poussière ?
Oui, le Leica Q2 est résistant à l’eau et à la poussière, grâce à sa construction robuste en alliage de magnésium. Cela en fait un choix idéal pour les photographes qui aiment explorer des environnements difficiles ou qui travaillent dans des conditions météorologiques extrêmes.
Le Leica Q2 dispose-t-il d’un écran tactile ?
Oui, le Leica Q2 est équipé d’un écran LCD tactile de 3 pouces à l’arrière, qui permet aux utilisateurs de prévisualiser et de régler rapidement les paramètres de leur appareil photo.
Le Leica Q2 dispose-t-il d’un viseur électronique ?
Oui, le Leica Q2 dispose d’un viseur électronique OLED haute résolution, qui offre une expérience de visualisation claire et précise pour les photographes.
Le Leica Q2 est-il compatible avec les objectifs interchangeables ?
Non, le Leica Q2 n’est pas compatible avec les objectifs interchangeables. L’objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH est fixe et ne peut pas être changé.
Quel est le prix du Leica Q2 ?
Le Leica Q2 est un appareil photo haut de gamme et le prix varie en fonction des pays et des magasins. Le prix de vente conseillé en Europe est d’environ 4 995 €, mais il peut varier en fonction des promotions et des offres spéciales.
Le Leica Q2 : la saviez-vous?
Le Q2 est équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels
Le Leica Q2 est un appareil photo compact haut de gamme qui a été lancé en mars 2019. Il est équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels, ce qui en fait l’un des appareils photo compacts les plus puissants sur le marché.
Le Q2 est résistant à l’eau et à la poussière
Le Leica Q2 est également un appareil photo résistant à l’eau et à la poussière, grâce à sa construction robuste en alliage de magnésium. Cela en fait un choix idéal pour les photographes qui aiment explorer des environnements difficiles ou qui travaillent dans des conditions météorologiques extrêmes.
Le Q2 dispose d’un objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH
L’objectif du Leica Q2 est un Summilux 28mm f/1.7 ASPH, qui offre une qualité d’image exceptionnelle et une grande ouverture maximale pour les prises de vue en basse lumière. Il est également équipé d’un système de stabilisation d’image optique intégré, qui permet aux photographes de prendre des photos nettes et stables même en mouvement.
Le Q2 dispose d’un viseur électronique OLED
Le Leica Q2 dispose d’un viseur électronique OLED haute résolution, qui offre une expérience de visualisation claire et précise pour les photographes. Il est également équipé d’un écran LCD tactile de 3 pouces à l’arrière, qui permet aux utilisateurs de prévisualiser et de régler rapidement les paramètres de leur appareil photo.
En résumé, le Leica Q2 est un appareil photo compact et puissant, équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels, résistant à l’eau et à la poussière, avec un objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH et un viseur électronique OLED haute résolution.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
« J’essaie de faire en sorte que les autres reconnaissent quelque chose d’eux-mêmes plutôt que moi. » —Cindy Sherman
Cindy Sherman est l’une des artistes les plus connues et les plus importantes qui travaillent aujourd’hui.
Sa pratique performative de plusieurs décennies consistant à se photographier sous différentes formes, a produit de nombreuses images parmi les plus emblématiques et les plus influentes de l’art contemporain.
Au cœur du travail de Sherman se trouve la multitude de stéréotypes identitaires qui ont surgi à la fois dans l’histoire de l’art et dans l’histoire de la publicité, du cinéma et des médias.
Sherman révèle et démantèle ces stéréotypes ainsi que les mécanismes de leur production en créant série après série de photographies qui se concentrent sur des procédures particulières de création d’images. La collection Broad est dédiée au travail de Sherman depuis plus de trente ans et ses collections sont inégalées dans le monde.
Dans ses premières œuvres, de petites photographies en noir et blanc connues sous le nom de série Untitled Film Still , Sherman a exploré les images de femmes dans les films des années 1950 et 1960.
Dans les images fixes du film, plutôt que de citer des films reconnaissables, Sherman suggère des genres, ce qui donne des personnages qui émergent comme des types de personnalité au lieu d’actrices spécifiques.
Les six premières images de la série, dont Untitled Film Still #6 , 1977, montrent la même actrice blonde à différentes étapes de sa carrière. Plus tard, le personnage dans Untitled Film Still # 34 , 1979, apparaît comme une séductrice, attendant à la maison son amant, et dans Untitled Film Still # 35, 1979, Sherman pourrait être considérée comme le trope de la femme diligente au foyer qui reste sexuellement attirante et disponible pour son mari.
Dans une série plus récente, comprenant des photographies couleur plus grandes, Sherman a reconstitué les décors de divers portraits européens du XVe au début du XIXe siècle. Dans Untitled #205 , 1989, Sherman se fait passer pour La Fornarina, tout comme le modèle aurait pu être peint par son amant, le peintre italien du XVIe siècle Raphaël, ou plus tard par Ingres.
Cindy Sherman
Cindy Sherman
Ici, cependant, Fornarina de Sherman expose des seins gonflés de lait en plastique et berce un faux ventre de femme enceinte sous son châle. L’utilisation évidente par Sherman de parties du corps prothétiques et d’un décor théâtral oblige le spectateur à réfléchir à la posture et à la modélisation des sources historiques originales.
Pour cette raison, de nombreux critiques ont loué la déconstruction par Sherman des visions ouvertement masculines de la femme dans l’histoire de l’art.
Biographie de Cindy Sherman
Cindy Sherman , en entier Cynthia Morris Sherman , (née le 19 janvier 1954 à Glen Ridge, New Jersey , États-Unis), est une photographe américaine connue pour ses images – en particulier pour ses autoportraits minutieusement « déguisés » – qui commentent les jeux de rôle sociaux et stéréotypes sexuels .
Sherman a grandi à Long Island, New York . En 1972, elle s’inscrit à l’ Université d’État de New York (SUNY) à Buffalo et se spécialise en peinture, puis se tourne vers la photographie . Elle est diplômée de SUNY en 1976 et en 1977 a commencé à travailler sur Untitled Film Stills (1977–80), l’une de ses séries les plus connues.
La série de photographies en noir et blanc de 8 × 10 pouces mettant en vedette Sherman dans une variété de rôles, rappelle le film noir et présente aux téléspectateurs une représentation ambiguë des femmes en tant qu’objets sexuels. Sherman a déclaré que la série parlait « de la fausseté du jeu de rôle ainsi que du mépris pour le public » masculin « dominant qui lirait à tort les images comme sexy. »
&
Elle a continué à être le modèle de ses photographies, enfilant des perruques et des costumes qui évoquent des images des domaines de la publicité, de la télévision, du cinéma et de la mode et qui, à leur tour, remettent en question les stéréotypes culturels soutenus par ces médias.
Au cours des années 1980, Sherman a commencé à utiliser des films couleur, à exposer de très grands tirages et à se concentrer davantage sur l’éclairage et l’expression faciale.
À l’aide d’appendices prothétiques et de quantités généreuses de maquillage, Sherman est entré dans le domaine du grotesque et du sinistre avec des photographies représentant des corps mutilés et reflétant des préoccupations telles que les troubles de l’alimentation, la folie et la mort.
Son travail est devenu moins ambigu, se concentrant peut-être davantage sur les résultats de l’acceptation par la société des rôles stéréotypés pour les femmes que sur les rôles eux-mêmes.
Sherman est revenue aux commentaires ironiques sur les identités féminines clichées dans les années 1990, introduisant des mannequins dans certaines de ses photographies, et en 1997, elle a réalisé le film comique noir Tueur de bureau .
Deux ans plus tard, elle a exposé des images troublantes de poupées sauvages et de parties de poupées qui exploraient son intérêt pour la juxtaposition de la violence et de l’artificialité. Sherman a poursuivi ces juxtapositions dans une série de photographies de 2000 dans lesquelles elle se faisait passer pour des femmes hollywoodiennes avec un maquillage exagéré et des implants mammaires en silicone, obtenant à nouveau un résultat pathétique énigmatique.
Cette même année, une importante rétrospective de son œuvre est présentée au Museum of Contemporary Art de Chicago et au Musée d’art contemporain de Los Angeles.
Une rétrospective de 2012 au Museum of Modern Art (MoMA) de New York était accompagnée d’une série de films comprenant des films que Sherman considérait comme ayant influencé son travail.
En 2016, Sherman a reçu le prix Praemium Imperiale de peinture, une catégorie qui englobe également la photographie. Cette même année, elle a débuté une série de nouvelles photographies dans l’exposition « Imitation of Life » au Broad Museum, Los Angeles, et Metro Pictures, New York. En 2017, Sherman a fait sensation lorsqu’elle a fait son privé Compte Instagram public.
La plate-forme de médias sociaux , où les utilisateurs peuvent exposer des vignettes de leur vie quotidienne et manipuler leur apparence à l’aide de filtres, semblait faite pour son travail, et Sherman a été célébrée pour son utilisation habile de l’application pour faire de l’art.
Ses selfies, parfois grotesquement déformés et parfois énigmatiques, attirent l’attention sur certaines des caractéristiques les plus troublantes d’Instagram, à savoir l’ ambiguïté entre le réel et la mise en scène. Une rétrospective a été organisée par la National Portrait Gallery, Londres, en 2019.
Technique photo
Cindy Sherman est une artiste et photographe américaine connue pour son travail photographique qui explore les thèmes de l’identité, du genre, et de la représentation de soi. Sa technique photographique est très diversifiée, mais elle est surtout connue pour ses autoportraits, dans lesquels elle joue différents rôles et utilise des accessoires, des costumes et des décors pour créer des images surprenantes et intrigantes.
Sherman utilise souvent des éclairages directs et des couleurs vives pour donner à ses images un aspect cinématographique et dramatique. Elle utilise également différents formats, tels que le format carré, pour créer des images qui rappellent les photographies de mode ou de publicité.
Une autre caractéristique importante de la technique de Cindy Sherman est son utilisation de la mise en scène. Elle crée souvent des décors et des costumes complexes pour ses images, qui ajoutent des éléments de réalisme et de fiction à ses autoportraits. Cette technique de mise en scène donne à ses images une dimension narrative qui invite le spectateur à réfléchir sur les questions d’identité et de représentation de soi.
Enfin, Sherman utilise souvent la post-production pour retoucher ses images et leur donner un aspect plus dramatique ou surréaliste. Elle ajoute parfois des effets de maquillage, des filtres et des textures pour créer des images qui semblent sortir tout droit d’un rêve ou d’un film.
Cindy Sherman
Chronologie de Cindy Sherman
1954
Née à Glen Ridge, New Jersey
1976
BA en photographie du State University College de Buffalo, Buffalo, NY
1977
Récipiendaire, National Endowment for the Arts Fellowship
1983
Récipiendaire, Bourse commémorative John Simon Guggenheim
1995
Récipiendaire, Subvention de la Fondation John D. et Catherine T. MacArthur
Vit et travaille à New York, NY
Expositions de Cindy Sherman
2012
Cindy Sherman, (rétrospective) The Museum of Modern Art, New York, NY; Musée d’art moderne de San Francisco; Walker Art Center, Minneapolis (2012-2013); Dallas Museum of Art (2013) (solo) Portland Art Museum, OR (solo) Gagosian Gallery, Paris, France (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) That’s Me – That’s Not Me, Sammlung Verbund, Vertikale Galerie, Vienne, Autriche (solo)
2011
Made in Italy, Gagosian Gallery Rome Sprüth Magers, Londres (solo) Cindy Sherman: Works from Friends of the Bruce Museum, Bruce Museum, Greenwich, CT (solo)
2010
Untitled Film Stills, National Gallery of Iceland, Reykjavík, Islande (solo) Crash, Gagosian Gallery, Londres, Angleterre
2009
Cindy Sherman, Sprüth Magers, Londres, Angleterre (solo) Cindy Sherman, Sprüth Magers, Berlin, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Gagosian Gallery, Rome, Italie (solo) The Pictures Generation, 1974-1984, Metropolitan Museum of Art, New York
2008
Second Thoughts, The Center for Curatorial Studies at Bard College, Annandale-on-Hudson, NY Body Work, Le Case d’Arte, Milan, Italie 2041, Artnews Projects, Berlin, Allemagne History Portraits, Skarstedt Fine Art, New York, NY (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Street and Studio, Tate Modern, Londres; Museum Folkwang, Essen, Allemagne The Broad Contemporary Art Museum, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Californie
2007
Faces, Cook Fine Art, New York, NY Imagination Becomes Reality, œuvres de la Goetz Collection, ZKM, Karlsruhe, Allemagne Held Together with Water, art from the Verbund Collection, Museum of Applied Arts, Vienne, Autriche Que veut la méduse ? , Museum Ludwig, Cologne, Allemagne There is never a stop and never a finish, Hamburger Bahnhof, Berlin, Allemagne Foto.Kunst, Essl Museum, Klosterneuburg, Autriche All the more real: Portrayals of Intimacy and Empathy, Parrish Art Museum, Southampton, NY Traum und Trauma, Kunsthalle Wien, Vienne, Autriche Into Me / Out of Me, Museo d’Arte Contemporanea, Rome, Italie Eros in Modern Art, BA-CA Kunstforum, Vienne, Autriche Bus Riders, Barbara Krakow Gallery, Boston, MA (solo) A Play of Selves, Galerie Monika Sprüth Philomene Magers, Londres, Angleterre (solo) WACK! L’art et la révolution féministe, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, Californie ; Musée national des femmes dans les arts, Washington DC ; PS 1 Contemporary Art Center, New York, NY Théâtre sans Théâtre, Musée d’Art Contemporain, Barcelone, Espagne Musée Ludwig, Cologne, Allemagne Panic Attack! Art in the Punk Years, Barbican Art Gallery, Londres, Angleterre Sammlung Verbund, MAK, Vienne, Autriche Wrestle, Hessel Museum of Art, Bard College, Annandale-on-Hudson, New York, NY Portrait/Homage/Embodiment, Pulitzer Foundation for les Arts, St. Louis, MO
2006
A Play of Selves, Metro Pictures, New York, NY (solo) Anos 80 : Uma Topologia, Museu Serralves, Porto, Portugal The Eighth Field. Gender, Life and Desire in Art since 1960, Museum Ludwig, Cologne, Allemagne Surprise, Surprise, Institute of Contemporary Arts, Londres, Angleterre Eros in Modern Art, Fondation Beyeler, Bâle, Suisse The Other Side, Tony Shafrazi Gallery, New York, NY Memento Mori, Mireille Mosler Ltd., New York, NY Into Me / Out of Me, Oeuvres Berlin, Berlin, Allemagne
2005
Faites vos jeux ! Art et jeux depuis Dada, Kunstmuseum Liechtenstein, Vaduz ; Académie des Arts, Berlin, Allemagne ; Musée d’Art Contemporain, Siegen, Allemagne Cindy Sherman, Galerie du Château d’Eau, Toulouse, France (solo) Auto-performance. Jürgen Klauke et Cindy Sherman, Neues Museum, Weimar, Allemagne (solo)
2004
The Unseen Cindy Sherman: Early Transformations 1975/1976, Montclair Art Museum, Montclair, NJ (solo) Cindy Sherman: Clowns, Kestner Gesellschaft, Hannover, NH (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) révèle : Le nu dans l’art photographique du XXe siècle, Musée municipal de Heilbronn, Heilbronn, Allemagne The Last Picture Show, Fotomuseum Winterthur, Winterthur, Suisse Faces in the Crowd, Whitechapel Art Gallery, Londres, Angleterre Incantations, Metro Pictures, New York, NY
2003
Cindy Sherman : Centerfolds, 1981, Skarstedt Fine Art, New York, NY (solo) Cindy Sherman, Serpentine Gallery, Londres ; Galerie nationale écossaise d’art moderne, Édimbourg, (solo)
2001
Cindy Sherman: Early Works, Studio Guenzani, Milan, Italie (solo) Cindy Sherman: Moment of Truth, Copenhagen Contemporary Art Center, Copenhague, Danemark (solo)
2000
Cindy Sherman, Hasselblad Center, Göteborg, Suède (solo) Cindy Sherman, Gagosian Gallery, Los Angeles, CA (solo) Cindy Sherman, Galería Juana de Aizpuru, Madrid, Espagne (solo) Cindy Sherman, Greengrassi, Londres, Angleterre (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) Let’s Entertain, Walker Art Center, Minneapolis Centre Georges Pompidou, Paris, France Open Ends, Museum of Modern Art, New York, NY Hyper Mental, Kunsthaus Zürich; Hamburger Kunsthalle, Hambourg, Allemagne
1999
Gesammelte Werke 1: Zeitgenössische Kunst seit 1968, Kunstmuseum, Wolfsburg, Allemagne Notorious, Museum of Modern Art, Oxford, Royaume-Uni Cindy Sherman, Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) The American Century, Whitney Museum of American Art, New York, NY Inverted Odysseys, Grey Art Gallery, New York, NY The Century of the Body: Photoworks 1900-2000, Musée de l’Elysée, Lisbonne, Portugal Triennale Exhibition: Sentiment of the Year 2000, Triennale di Milano, Milan, Italie Concernant la Beauté, Hirshhorn Museum, Washington, DC
1998
Images miroir : Femmes, surréalisme et auto-représentation, MIT List Center, Cambridge, MA ; Musée d’art de Miami, Miami, Floride ; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco, Californie Allegories, Seattle Art Museum, Seattle, WA (solo) Cindy ShermanMetro Pictures, New York, NY (solo)
1997
Cindy Sherman: The Complete Untitled Film Stills, Museum of Modern Art, New York, NY (solo) Cindy Sherman: A Selection From the Eli Broad Foundation’s Collection, Museo de Bellas Artes, Caracas, Venezuela (solo) Cindy Sherman: Retrospective, Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA (solo) Cindy Sherman, Museum Ludwig, Cologne, Allemagne (solo) Gender Performance in Photography, Solomon R. Guggenheim Museum, New York, NY On the Edge: Contemporary Art from the Werner and Elaine Dannheisser Collection, The Museum of Modern Art, New York, NY Von Beuys bis Cindy Sherman Sammlung Lothar Schirmer, Kunsthalle, Brême, Allemagne
1996
L’Informe: le Modernisme a Rebours, Centre Georges Pompidou, Musée National d’Art Moderne, Paris, France Cindy Sherman, Museum Boymans-van Beuningen, Rotterdam, Pays-Bas (solo) Cindy Sherman, Museum of Modern Art, Shiga, Japon Hall of Mirrors: Art and Film Since 1945, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA Biennale di Firenze, Florence, Italie
1995
1995 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY Signs & Wunder, Kunsthaus Zurich, Zurich, Suisse XLVI Esposizione Internazionale d’Arte 1995, La Biennale di Venezia, Venise, Italie FeminiMasculin: Le Sexe de l’Art?, Centre Georges Pompidou, Musée d’Art Moderne, Paris, France 1995 Carnegie International, The Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, PA Directions : Cindy Sherman Film, Hirshhorn Museum, Washington, DC (solo) Cindy Sherman : Photographs 1975-1995, Deichtorhallen Hambourg, Hambourg, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Museu de Arte Moderna de Sao Paulo, Sao Paulo, Brésil (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo)
1994
Cindy Sherman, ACC Galerie, Weimar, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Manchester City Art Gallery, Manchester, Royaume-Uni (solo) Cindy Sherman, The Irish Museum of Modern Art, Dublin, Irlande (solo) World Morality, Kunsthalle, Bâle, Suisse Corps et âme, The Baltimore Museum of Art, Baltimore, MD Jurgen Klauke – Cindy Sherman, Sammlung Goetz, Munich, Allemagne
1993
Louise Lawler, Cindy Sherman, Laurie Simmons, Kunsternes Hus, Oslo, Norvège 1993 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY American Art of This Century, Martin-Gropius-Bau, Berlin, Allemagne
1992
Post Human, Musée d’Art Contemporain, Pully/Lausanne, Switzerland
1991
1991 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY Metropolis, Martin-Gropius-Bau, Berlin, Allemagne Cindy Sherman, Basel Kunsthalle, Bâle, Suisse (solo)
1990
Padiglione d’arte Contemporanea, Milan, Italie (solo) University Art Museum, Université de Californie, Berkeley, CA (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Culture and Commentary, The Hirshhorn Museum, Washington, DC Culture and Commentary, The Hirshhorn Museum, Washington, DC Energies, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas The Readymade Boomerang, Huitième Biennale de Sydney, Sydney, Australie
1989
Cindy Sherman, National Art Gallery, Wellington, Nouvelle-Zélande (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, (solo) A Forest of Signs: Art in the Crisis of Representation, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA Bilderstreit, Messehallen, Cologne, Allemagne Image World: Art and Media, Whitney Museum of American Art, New York, NY
1988
Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo)
1987
Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) Avant-Garde in the Eighties, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Californie Implosion: A Postmodern Perspective, Moderna Museet, Stockholm, Suède
1986
Art and Its Double: A New York Perspective, Fundacio Caixa de Pensions, Barcelone, Espagne Individus: A Selected History of Contemporary Art, 1945-1986, Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA The American Exhibition, The Art Institute of Chicago, Chicago, IL
1985
Cindy Sherman, Westfälischer Kunstverein, Münster, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, (solo) Carnegie International, Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, PA 1985 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY ( chat.)
1984
Alibis, Centre Pompidou, Musée d’Art Moderne, Paris, France (cat.) Content: A Contemporary Focus, 1974-84, Hirshhorn Museum, Washington, DC (cat.) The Fifth Biennale of Sydney, Private Symbol: Social Metaphor, Art Gallery of New South Wales, Sydney, Australie (cat.) Cindy Sherman, Akron Art Museum, Akron, OH (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo)
1983
Musée
d’Art et d’Industrie de Saint Etienne, Saint Etienne, France (solo) The St. Louis Art Museum, St. Louis, MO (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Directions 1983, Hirshhorn Museum, Washington, DC (cat.) 1983 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY (cat.) The New Art, The Tate Gallery, Londres, Angleterre
1982
Documenta 7, Kassel, Allemagne (cat.) Eight Artists: The Anxious Edge, Walker Art Center, Minneapolis, MN (cat.) Cindy Sherman, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas (solo) Cindy Sherman, Déjà Vu, Dijon, France (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) La Biennale di Benezia, Venise, Italie (cat.)
1980
Cindy Sherman, Musée d’art contemporain, Houston, TX (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo)
Collections publiques
– Collection FAIF, Zurich, Suisse
– Musée d’art contemporain, Los Angeles, Californie
– Musée d’art moderne, New York, NY
– Musée d’art de Philadelphie, Philadelphie, Pennsylvanie
– Musée d’art moderne de San Francisco, San Francisco, Californie
– Musée Solomon R. Guggenheim, New York, NY
– Tate Gallery, Londres, Royaume-Uni
– Victoria and Albert Museum, Londres, Royaume-Uni
En 2003, il a déclaré: « Je n’ai pas de qualifications formelles, juste l’école de la vie.
J’ai appris le plus en prenant simplement des photos; beaucoup de photos. J’ai fait beaucoup d’erreurs, mais c’est souvent de vos erreurs que vous apprenez le plus . Être photographe, c’est comme être un athlète. Il faut s’entraîner tous les jours. »
Patrick Demarchelier photographe
Les débuts de Patrick Demarchelier photographe
Né en 1943, Patrick Demarchelier a été élevé dans la petite ville de La Havre, près de Paris, par sa mère.
Il a eu une éducation modeste et a passé la majeure partie de son enfance à vivre avec ses quatre frères et sa mère au Havre. Son beau-père lui a acheté un appareilphoto pour ses 17 ans et il a rapidement appris à développer des films et à retoucher des négatifs. Il a ensuite commencé à photographier des amis et des mariages.
Son amour de la photographie a commencé à 17 ans quand il a été donné. sa première caméra par son beau-père. Il s’installe à Paris à l’âge de 20 ans pour travailler dans un laboratoire de photographie, imprimant des photographies de journaux.Vogue .
Patrick Demarchelier photographe
Il a travaillé avec Grace Coddington pendant son mandat chez British Vogue et lui a attribué le mérite d’avoir aidé à lancer sa carrière. «C’était le meilleur magazine du monde, celui pour lequel vous vouliez vraiment travailler, donc être avec elle était une grande avancée», a-t-il déclaré au Telegraph en 2012. En 1975, après avoir gagné une réputation de photographe de mode respecté en France, Demarchelier a décidé de suivre sa petite amie à New York, même s’il ne parlait pas un mot d’anglais.
Patrick Demarchelier a travaillé comme photographe indépendant et a assisté des personnalités telles que Henry Cartier-Bresson, Terry King et Jacques Guilbert.Son travail a depuis figuré dans de nombreuses publications, dont de nombreuses Voguecouvertures, et il a tourné des campagnes pour Calvin Klein, Ralph Lauren, Chanel, Elizabeth Arden, Dior, Giorgio Armani et Louis Vuitton pour n’en citer que quelques-uns.
Patrick Demarchelier photographe
Patrick Demarchelier devient le photographe de Diana
En 1989, Patrick Demarchelier est devenu le photographe personnel de Diana, princesse de Galles, qui l’a contacté après avoir vu une de ses photographies en couverture de Vogue . «Je me souviens quand elle m’a contacté pour la première fois.
« J’avais fait une photo pour vogue dans laquelle un mannequin ouvrait son manteau pour montrer la photo d’un petit garçon riant caché dans la poche intérieure. Le garçon était, en fait, mon fils, et Diana, peut-être à cause de ses petits garçons, a tellement aimé cette photo qu’elle est entrée en contact. Nous sommes devenus amis. »
Elle était drôle et gentille – mais fondamentalement, c’était une femme très simple qui aimait les choses très simples », a-t-il déclaré au Telegraphen 2008. Il a été le premier photographe officiel non britannique de la famille royale. En novembre 2007, il a été honoré en tant qu’officier de l’ordre des arts et des lettres par le ministre français de la Culture.
L’année suivante, son travail fait l’objet d’une grande rétrospective intitulée Le culte de la célébrité au Petit Palais de Paris.En octobre 2011,Patrick Demarchelier publie le livre de table basse Dior Couture Patrick Demarchelier– une collection de photographies de pièces Dior Couture allant de la toute première collection de Dior lui-même en 1947 à celles de Galliano à la maison.
Il a dit que son sujet préféré à photographier est son teckel, Puffy. « Quand les gens me demandent quel est votre portrait préféré, ils s’attendent à ce que ce soit Diana, ou quelqu’un de célèbre. Mais la réponse est mon chien, Puffy. Ils pensent que je veux dire Puff Daddy. Non, c’est le chien », at-il dit au Telegraph en 2012. Il a tourné le calendrier Pirelli en 2005, 2008 et le numéro du 50e anniversaire avec Peter Lindberg en 2014.Il vit à New York avec sa femme Mia, une ancienne mannequin, avec qui il a trois enfants.
Patrick Demarchelier photographe
La carrière de Patrick Demarchelier photographe
À New York, Patrick Demarchelier en a appris davantage sur la photographie de mode. Il a travaillé avec de nombreux photographes de mode, dont Terry King, Henri Cartier-Bresson et Jacque Guilbert. Son travail a rapidement été remarqué par les rédacteurs en chef des magazines Marie Claire , Elle et 20 Ans . En 1989, il a commencé à tourner des couvertures pour Vogue . Pendant ce temps, la princesse Diana lui a demandé de prendre des photos d’elle et de ses fils. Cela a fait de lui le premier photographe non britannique officiel d’un membre de la famille royale.
Quelques années plus tard, Patrick Demarchelier a commencé à travailler plus régulièrement pour Harper’s Bazaar et Vogue . Cela a abouti à une collaboration de douze ans. Il a également photographié de nombreuses campagnes publicitaires internationales pour Louis Vuitton, Dior, TAG Heuer, Céline, Chanel, Lacoste, Yves Saint Laurent, Ralph Lauren, Revlon, Elizabeth Arden, Lancôme et Calvin Klein.
A partir de 1992, Patrick Demarchelier travailla pour Harper’s Bazaar et il fût leur premier photographe. Il a également reçu un contrat en 2005 pour le calendrier Pirelli. Au fil des ans, il a lancé la carrière de nombreux maquilleurs tels que Jason Marks, Laura Mercier et Pat McGrath.
Les réalisations notables de Patrick Demarchelier
Patrick Demarchelier a également travaillé avec un grand nombre de célébrités au fil des ans, telles que Farrah Fawcett, Madonna et Kate Hudson. Demarchelier était le photographe principal du livre On Your Own de Brooke Shields, qui était un guide sur la beauté et le style de vie pour les jeunes femmes.
En 2007, la ministre française de la Culture, Christine Albanel, a décerné à Demarchelier l’honneur d’Officier dans l’ordre des Arts et des Lettres. En octobre 2011, il publie Dior Couture Patrick Demarchelier , un livre de table basse qui est une collection photographique de pièces Dior Couture, de la toute première collection Dior en 1947 à la collection de John Galliano.
La vie de Patrick Demarchelier
Patrick Demarchelier est bien connu de ses collègues qui appréciaient sa gentillesse et sa patience. Ces qualités ont fait de lui un favori des top models et des célébrités. Il vécut à New York avec sa femme, Mia. Ils ont trois fils, Gustaf, Arthur et Victor.
Patrick Demarchelier livre
Bonus : critique du livre Dior Couture par Patrick Demarchelier
Tout d’abord, parlons du livre du point de vue de sa sublime présence physique. Dior Couture est de très grande taille, le papier est suffisamment lourd pour être confondu avec du carton léger, la qualité de reproduction de la photographie est au-delà de premier ordre, et le sujet? Eh bien, ça ne va pas beaucoup mieux.
Félicitations à Patrick Demarchelier pour son «œil», pour sa compréhension de la couture, à Carine Roitfeld pour avoir évoqué des assemblages aussi incroyables de ces créations, et surtout à Rizzoli pour avoir émis un hymne si exquis à Christian Dior haute couture.
Il manque quelques ingrédients qui font de cet hommage un peu moins de 100% de perfection. Tout d’abord, on est déçu qu’il n’y ait pas de Dior plus original; puis qu’il y a une pénurie de Dior de Marc Bohan depuis qu’il a mis son empreinte sur la maison pendant des décennies; troisièmement, l’omission complète du bref séjour de Gianfranco Ferre chez Dior est étrange; enfin, le livre est vraiment principalement axé sur John Galliano et son mandat à la maison vénérée de Dior.
Mis à part les lacunes, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un livre à convoiter et à chérir. M. Demarchelier nous montre les vrais talents des ateliers Dior qui n’ont d’égal que ceux de Chanel, les talents extraordinaires de M. Galliano, et les designs sans couture et intemporels de la maison légendaire elle-même. Les images sont saisissantes car M. Demarchelier ne sacrifie jamais les vêtements pour la photographie artistique; les vêtements sont au centre de chaque photographie, ce qui rend la présentation globale impeccable.
Le bref texte de Mme Sischy est un cours intensif de Dior qui se révèle à la fois instructif et amusant. L’avant-propos très court de Jeff Koons était incisif, contenant quelques comparaisons et observations très astucieuses.
Dans l’ensemble, c’est un livre qui peut être comparé à Alexander McQueen: Savage Beauty d’Andrew Bolton par n’importe quel standard que vous choisissez. Dire que Dior Couture ferait un cadeau mémorable pour toute personne ayant la moindre appréciation pour la couture, Galliano, Dior ou la mode, serait un euphémisme terrible.
Des livres comme celui-ci sont rares et devraient être considérés comme un incontournable pour toute bibliothèque de mode et certainement pour toute personne ayant un intérêt sérieux pour la mode en tant que forme d’art.
Patrick Demarchelier photographe
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Bonus : interview de Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Tout film sur la vie de Patrick inclurait nécessairement la scène poignante de son beau-père donnant au trublion autoproclamé une caméra Eastman Kodak pour ses 17 ans. Après avoir aidé des gens comme Hans Feurer, le jeune Demarchelier s’est détaché de lui-même, a déménagé à New York et a développé son style de photographie de mode désormais emblématique et frappant.
Déstabilisant un éditorial de mode minutieusement mis en scène ou un portrait de Diana, princesse de Galles, dont il était le photographe officiel, avec une étincelle de spontanéité, Demarchelier crée une sorte de verve, un frisson qui a fait de lui une légende, et son nom un synonyme de la royauté de la mode – la toute première chose que Miranda Priestly veut savoir de sa nouvelle assistante désespérée dans Le diable s’habille en Prada est « Demarchelier a-t-il confirmé? »
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
La star de la duchesse (2008), Keira Knightley, connaît un peu la royauté à l’écran. En novembre, elle apparaîtra aux côtés de Benedict Cumberbatch dans le drame de la Seconde Guerre mondiale The Imitation Game, sur la machine à casser le code Enigma. Ici, elle tente de décoder Demarchelier, amenant le photographe à regarder sa vie à travers l’objectif. Tout comme le diable de redresseur de torts assistant, elle a Patrick.
KEIRA KNIGHTLEY: Hé, Patrick! Comment ça va?
PATRICK DEMARCHELIER: Très bien. Je suis à Long Island en vacances. Dans quelques jours, j’ai un voyage en Suède. Après ça, je retourne à New York pour un jour puis à St. Barth pour un voyage au travail pendant quelques jours, puis j’ai fini.
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KNIGHTLEY: Oh mon Dieu, vous êtes partout. Où vas-tu en Suède?
Patrick Demarchelier : Nous allons vers le nord. C’est un hôtel et un spa. C’est au sommet d’un arbre.
KNIGHTLEY: Au sommet d’un arbre? Est-ce l’endroit où ils ont une boîte de miroirs, donc vous ne pouvez pas le voir? Avez-vous déjà séjourné dans cet hôtel?
Patrick Demarchelier : Non, jamais. Je suis allé en Suède – ma femme est suédoise – mais c’est un nouvel endroit. Comment allez vous? Tu fais un film maintenant?
KNIGHTLEY: Non, je ne le suis pas. Que suis-je en train de faire? Je viens d’acheter un tas de livres que je vais lire au cours de l’été et j’espère choisir un autre film basé sur cela. Je ne sais pas si cela arrivera, mais c’est une bonne façon de travailler. D’accord. Je vais vous poser des questions. Quelle est votre photo préférée que vous avez déjà prise?
Patrick Demarchelier : Je n’y pense pas vraiment. Pour moi, les nouvelles images sont ce à quoi je pense chaque jour. Le passé est le passé, non? Chaque jour est un nouveau défi. Comme pour vous, le film dans lequel vous serez est un nouveau défi. La photographie n’est que la photo – un jour, deux jours – et le lendemain, vous êtes parti.
KNIGHTLEY: Prends-tu des photos même quand tu n’es pas en tournage? Avez-vous toujours un appareil photo avec vous?
Patrick Demarchelier : Pas trop, non. Je ne sors pas la caméra avec moi. Mes yeux sont la caméra pour moi tous les jours.
KNIGHTLEY: Cela signifie-t-il que si vous vous promenez, vous obtenez l’inspiration, vous la consignez dans votre tête et peut-être l’utiliser à un moment donné?
Patrick Demarchelier : Exactement. Si vous l’aimez, c’est dans votre système.
KNIGHTLEY: Quelle serait votre journée idéale, votre journée de rêve?
Patrick Demarchelier : Chaque jour est un rêve, chaque jour que je passe avec ma femme.
KNIGHTLEY: Oh. C’est juste la mode que tu fais?
Patrick Demarchelier : Non. Je fais de la mode, des portraits, du nu. Parfois des animaux aussi. J’adore l’Afrique. J’adore la nature. J’aime mon chien. En fait, le meilleur portrait que j’ai fait était celui de mon chien.
KNIGHTLEY: De quelle sorte de chien s’agit-il?
Patrick Demarchelier : C’est un daschund aux cheveux longs. Et c’est très drôle, lors d’un spectacle à Paris, il y a environ six ans – au Petit Palais, le musée des Champs-Élysées – il y avait un grand spectacle là-bas, avec une grande photo de mon chien, Puffy, comme trois mètres de haut . [ rires ]
KNIGHTLEY: Quelle est votre prochaine émission?
Patrick Demarchelier : Je fais un show à Tokyo, avec Dior. J’ai fait un livre pour Dior haute couture il y a trois ans, et j’ai un nouveau livre pour eux qui sortira en novembre. On fait un show à Tokyo avec les photos et les vêtements mélangés.
KNIGHTLEY: Vous m’avez dit quelque chose de vraiment intéressant sur le tournage: «Vous devez vous détendre le visage, parce que c’est ce qu’est un bon jeu d’acteur, un visage détendu. C’est la même chose que de prendre des photos. »
Patrick Demarchelier : Le visage est censé être détendu. Plus vous vous détendez…
KNIGHTLEY: Vous avez absolument raison. C’est très drôle, car aucun photographe ne m’a jamais dit cela auparavant et n’a fait le genre de lien entre les deux choses. Vous filmez en numérique, non? Vous filmez-vous toujours aussi sur pellicule?
Patrick Demarchelier : Très rarement, uniquement pour des effets spéciaux lorsque j’en ai besoin. Sinon, je ne filme plus.
KNIGHTLEY: J’ai remarqué que les gens qui ont commencé le film ont toujours la capacité de voir la personne en face d’eux. Alors que pour beaucoup de photographes qui n’ont jamais travaillé que dans le numérique, la relation entre le photographe et la personne qu’ils prennent en photo n’existe plus. Ils regardent un écran d’ordinateur par opposition à la personne.
Patrick Demarchelier : Exactement. J’adore le numérique, mais le seul problème est moins d’intimité. Les gens regardent l’écran tout de suite. Avant, personne n’avait vu la photo avant que vous ayez vu la photo finale. Il y avait plus d’intimité d’une certaine manière.
KNIGHTLEY: Est-ce que tout le monde est obsédé par l’image, essayant soudain d’être parfait, par opposition à essayer de capturer un moment?
Patrick Demarchelier : Oui. Maintenant, vous travaillez plus en équipe, avec des gens qui ont bon goût. C’est intéressant. Vous pouvez corriger des choses, et si vous n’aimez pas une image tout de suite, vous pouvez la changer. Avant, vous faisiez beaucoup de photos et vous en preniez une après. Vous ne pouvez pas vraiment comparer; c’est une manière différente de travailler.
KNIGHTLEY: Reviendriez-vous jamais au tournage sur film ou pensez-vous que vous devez continuer à avancer?
Patrick Demarchelier : Le cinéma n’est pas très pratique. Le nouveau monde va plus vite et le numérique est très rapide.
KNIGHTLEY: Vous manquez quelque chose de physique? Je pense que je suis une sorte de romantique horrible sur le cinéma. Il y a quelque chose dans cette seule prise de vue qui était un moment dans le temps, et quelque chose sur le processus physique de la lumière frappant l’objectif et la pièce sombre. J’ai du mal à voir la romance dans le numérique.
Patrick Demarchelier : Il peut le faire aussi, en fait. Je fais un Polaroid avant de tirer. Un Polaroid tu fais une photo, trois photos, c’est vraiment un moment. Capturer ce moment avec ces images est intéressant.
KNIGHTLEY: Votre séance photo de l’autre jour était probablement la séance photo la plus rapide de ma vie, ce qui était excellent. Avez-vous toujours été très rapide?
Patrick Demarchelier : Ah. Les choses vont vraiment vite avec moi. J’aime faire les photos avant que les gens ne deviennent trop gênés. J’aime être spontané et prendre une photo avant que le sujet n’y pense trop. Parfois, il peut être intéressant d’être très lent, donc si vous êtes très, très lent, vous vous ennuyez tellement que c’est intéressant aussi. [ rires ]
Tout le monde peut prendre une bonne photo. Tout le monde est intéressant. Tout le monde a un visage intéressant. Certaines personnes sont plus difficiles ou plus nerveuses ou plus fatiguées. Quand tu fais un film, tu as de l’action, tu parles, tu bouges. Vous ne voyez pas la caméra. Prendre une photo avec un photographe, on ne parle pas, c’est plus difficile que dans un film pour ton corps de se détendre, d’être soi-même.
KNIGHTLEY: Certainement. Vous recherchez un moment qui raconte cette histoire ou tout ce que vous essayez de capturer. Avez-vous déjà fait du cinéma?
Patrick Demarchelier : Je fais des publicités parfois. C’est drôle parce que, pour les publicités, parfois je travaille pour un client et ils disent: « Le modèle n’était pas génial. » Dans l’image en mouvement, elle allait bien, mais sur la photo fixe, il était difficile d’obtenir une image d’elle. C’est typique de faire un film, parce que dans le film, vous bougez, vous avez de la personnalité, vous n’avez pas besoin d’être beau.
KNIGHTLEY: Comment en êtes-vous venu à votre idée de la beauté? Aviez-vous des idoles dans votre enfance, des gens que vous admiriez artistiquement?
Patrick Demarchelier : La beauté est partout. Et, non, ma photographie est venue naturellement sans qu’aucune inspiration particulière ne grandisse.
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
FAQ : Patrick Demarchelier, le Photographe de Mode
1. Qui est Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier est un photographe de mode français né en 1943. Il a commencé sa carrière en photographiant pour des magazines de mode français, avant de devenir l’un des photographes les plus influents de l’industrie de la mode. Ses travaux ont été publiés dans de nombreux magazines de renommée internationale, tels que Vogue, Harper’s Bazaar, Vanity Fair, Elle, Glamour, etc.
2. Quel est le style de photographie de Patrick Demarchelier ?
Le style de photographie de Patrick Demarchelier est souvent décrit comme élégant, glamour, et sophistiqué. Il est connu pour sa capacité à capturer la beauté et l’élégance des mannequins, tout en créant des images intemporelles et mémorables.
3. Quelles sont les campagnes publicitaires les plus célèbres de Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a travaillé sur de nombreuses campagnes publicitaires pour des marques de mode et de beauté célèbres, telles que Chanel, Dior, Louis Vuitton, Estée Lauder, Calvin Klein, et bien d’autres encore. Certaines de ses campagnes publicitaires les plus célèbres incluent la campagne pour le parfum J’adore de Dior, ainsi que la campagne pour la ligne de sacs Lady Dior de la même marque.
4. Quelles sont les collaborations les plus célèbres de Patrick Demarchelier avec des célébrités ?
Patrick Demarchelier a collaboré avec de nombreuses célébrités pour des projets de mode et de portrait, notamment avec Lady Diana pour la couverture de Vanity Fair en 1997, avec Madonna pour la couverture de Vogue en 2005, ou encore avec Kate Moss pour de nombreuses campagnes publicitaires.
5. Quels sont les prix et les distinctions remportés par Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a remporté de nombreux prix et distinctions tout au long de sa carrière. En 2005, il a été nommé commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres en France, et en 2007, il a reçu le prix de la photographie de mode de la CFDA (Council of Fashion Designers of America). En 2015, il a également été élu membre de l’Académie des beaux-arts de Paris.
6. Comment Patrick Demarchelier travaille-t-il avec les mannequins ?
Patrick Demarchelier est connu pour son approche professionnelle et amicale envers les mannequins qu’il photographie. Il est réputé pour sa capacité à créer un environnement de travail détendu et confortable pour ses modèles, leur permettant ainsi de se sentir à l’aise devant l’objectif et de donner le meilleur d’eux-mêmes.
7. Quels sont les livres de photographie publiés par Patrick Demarchelier ?</h
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7. Quels sont les livres de photographie publiés par Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a publié plusieurs livres de photographie tout au long de sa carrière. Ses livres les plus célèbres comprennent « Patrick Demarchelier : Photographs » (1992), « Fashion Photographs » (2008), et « The Art of Beauty » (2016). Ces livres présentent une sélection de ses photographies les plus emblématiques, ainsi que des images exclusives et des coulisses de ses séances photo.
8. Quelle est la contribution de Patrick Demarchelier à l’industrie de la mode ?
Patrick Demarchelier a apporté une contribution majeure à l’industrie de la mode en tant que photographe de renom et en aidant à façonner l’image de marques de mode et de beauté célèbres. Il est également connu pour avoir aidé à lancer les carrières de nombreux mannequins célèbres, tels que Gisele Bündchen, Karlie Kloss, et Christy Turlington, entre autres.
9. Quels sont les projets futurs de Patrick Demarchelier ?
Malgré ses nombreuses réalisations, Patrick Demarchelier continue de travailler dans l’industrie de la mode et de la photographie. En 2021, il a publié un livre de photographie intitulé « Tribute » en hommage à son ami et mentor Azzedine Alaïa. Il continue également de travailler sur des projets de photographie de mode et de portrait, tout en inspirant les générations futures de photographes de mode.
10. Quelle est l’influence de Patrick Demarchelier sur la photographie de mode ?
Patrick Demarchelier a une influence majeure sur la photographie de mode, en particulier en ce qui concerne la création d’images élégantes, sophistiquées et intemporelles. Sa capacité à capturer la beauté et l’élégance des mannequins tout en créant des images qui résistent à l’épreuve du temps en fait un photographe de mode emblématique. Il a également inspiré de nombreux photographes de mode avec son approche professionnelle, sa passion pour l’art de la photographie et sa capacité à créer des images qui racontent une histoire.
Rarindra Prakarsa est un photographe indonésien né en 1979 à Jakarta. Il est reconnu pour son style unique qui mélange des éléments du quotidien avec des scènes de nature et des paysages urbains.
Rarindra Prakarsa est un photographe indonésien reconnu pour son style réaliste, expressif et très émotionnel. Ses photographies nocturnes et portraits en lumière naturelle sont marquées par des couleurs vives, des contrastes dramatiques, une composition équilibrée et une utilisation audacieuse de la lumière et de l’ombre. Avec sa maîtrise technique et sa capacité à capturer des moments forts, il est devenu un photographe de renom, remportant de nombreux prix et exposant ses travaux dans le monde entier.
Rarindra Prakarsa, son histoire
Rarindra Prakarsa est né en 1979 à Jakarta, en Indonésie, et il y vit actuellement. Il a grandi à la campagne, dans le village de Banjarnegara, où il a développé une passion pour la photographie en capturant des images de la vie quotidienne de sa communauté. Depuis, il a exploré de nombreuses régions de l’Indonésie pour photographier ses paysages, ses villes et ses habitants.
Bien qu’il voyage souvent pour des projets photographiques et des expositions à l’étranger, Jakarta reste sa ville de résidence principale.
Il a découvert sa passion pour la photographie dès son adolescence, et il a commencé à pratiquer la photographie en autodidacte. Il a ensuite suivi des cours de photographie à l’université, où il a appris les techniques de base de la photographie.
Après avoir obtenu son diplôme, Rarindra Prakarsa a commencé à travailler comme photographe indépendant, en se concentrant principalement sur la photographie commerciale. C’est seulement en 2012 qu’il a décidé de se consacrer entièrement à la photographie d’art.
En effet, il a commencé sa carrière en tant que graphiste dans les journaux locaux. La convergence des deux disciplines a montré que Prakarsa a toujours eu un talent particulier pour la composition et une utilisation frappante des couleurs.
Depuis, il a remporté de nombreux prix pour son travail, notamment le prestigieux prix Sony World Photography Awards en 2015.
Les photographies de Rarindra Prakarsa sont très appréciées pour leur beauté, leur atmosphère mystérieuse et leur capacité à capturer des moments de la vie quotidienne de manière poétique et émotionnelle. Il utilise souvent des techniques de post-traitement pour créer des effets visuels uniques, qui donnent une ambiance particulière à ses photos.
Rarindra Prakarsa est également très actif sur les réseaux sociaux, partageant régulièrement son travail avec ses nombreux fans et followers. Ses photographies sont très populaires sur Instagram, où il compte plus de 500 000 abonnés.
Il capture des scènes de la vie rurale sur des photographies cinématographiques luxuriantes caractérisées par une atmosphère dense et une utilisation habile de la lumière volumétrique.
Bien que documentaires dans leur concept, les photographies de Rarindra Prakarsa sont méticuleusement mises en scène, presque comme une peinture. La combinaison de sources de lumière naturelles et artificielles permet à des situations ordinaires telles que des enfants jouant dans l’eau ou un vieil homme fumant une pipe, de voir ces événements majestueux, presque irréels à travers l’objectif.
A travers ses photographies, il est possible de voir certaines des choses qui l’inspirent et qui pourraient être considérées comme ses passions. Par exemple, ses photographies nocturnes mettent souvent en vedette des scènes de la vie urbaine animée, avec des lumières vives, des rues bondées et des gens en mouvement. Cela suggère qu’il pourrait être passionné par la ville et la vie urbaine.
De plus, de nombreuses photographies de Prakarsa montrent des gens dans leur vie quotidienne, souvent en train de travailler ou de faire des tâches ménagères. Cela suggère qu’il est intéressé par les gens et leur vie quotidienne.
Il a remporté de nombreux prix pour son travail de photographie, notamment le prix Sony World Photography Awards en 2015 dans la catégorie « Portrait », ainsi que plusieurs autres prix dans des concours de photographie locaux et internationaux. il est respecté pour ses compétences techniques et sa créativité dans la photographie de paysages, de portraits et de scènes urbaines.
Rarindra Prakarsa est connu pour son travail de photographie d’art qui capture souvent des scènes de la vie quotidienne, des paysages urbains et naturels, ainsi que des portraits. Parmi ses clichés les plus célèbres, on peut citer :
« Morning Prayer » : une photo qui capture des enfants en train de prier à l’aube, dans une mosquée de Java.
« Serenade » : une photo qui montre un groupe de musiciens traditionnels indonésiens jouant de la musique à la lumière du soir.
« Man of Dream » : une photo qui montre un homme en train de dormir sur une barque dans un paysage idyllique.
« Fireflies » : une photo qui capture des lucioles volant dans un champ de riz au crépuscule.
« Rainy Day » : une photo qui montre une rue animée de Jakarta sous la pluie.
Ces photos sont très appréciées pour leur beauté, leur poésie et leur capacité à capturer des moments de la vie quotidienne avec une grande sensibilité.
Rarindra Prakarsa a déclaré dans plusieurs interviews que ses principales sources d’inspiration sont la nature, la lumière et les émotions. Cependant, il a également cité quelques photographes qui l’ont influencé dans son travail :
Steve McCurry : Rarindra Prakarsa admire le travail de Steve McCurry pour sa capacité à capturer des moments émouvants et à raconter des histoires à travers ses photographies.
Henri Cartier-Bresson : Rarindra Prakarsa apprécie le travail de Cartier-Bresson pour sa technique de « l’instant décisif » et sa capacité à capturer des moments uniques.
James Nachtwey : Rarindra Prakarsa est inspiré par le travail de Nachtwey pour sa capacité à documenter des événements historiques et à donner une voix aux personnes qui n’en ont pas.
Michael Kenna : Rarindra Prakarsa admire le travail de Kenna pour sa maîtrise de la lumière et de l’ombre, ainsi que pour son esthétique minimaliste et poétique.
Ces photographes ont tous influencé le travail de Rarindra Prakarsa à des degrés divers, mais il a également développé son propre style distinctif qui est devenu très populaire auprès des amateurs de photographie à travers le monde.
Le style de Rarindra Prakarsa peut être décrit comme étant réaliste, expressif et très émotionnel. Il est connu pour utiliser la lumière naturelle et les couleurs vives pour créer des images saisissantes et dynamiques. Ses photographies se caractérisent souvent par une utilisation audacieuse de la lumière et de l’ombre pour créer des contrastes forts et dramatiques, ainsi que par une composition soigneusement équilibrée qui attire l’œil vers le sujet principal.
Techniquement, Rarindra Prakarsa utilise souvent une technique de post-traitement pour ajouter du contraste et de la saturation aux couleurs de ses images. Il utilise également souvent des objectifs grand angle pour capturer de vastes paysages urbains et des portraits environnementaux. En outre, il est connu pour travailler principalement en utilisant la lumière naturelle, en particulier la lumière du soleil, qui peut créer des effets de lumière et de couleur spectaculaires dans ses images.
Dans l’ensemble, le style de Rarindra Prakarsa est très distinctif et reconnaissable, et sa technique est très raffinée et maîtrisée. Sa capacité à capturer des moments forts et à créer des images émotionnelles et vivantes a contribué à sa notoriété en tant que photographe professionnel.
Rarindra Prakarsa, ses projets photographiques
Au cours de sa carrière, Rarindra Prakarsa a travaillé sur de nombreux projets photographiques, allant des portraits de la vie quotidienne dans les villages indonésiens aux paysages urbains nocturnes. Il a également réalisé des projets de photographie de mode et de publicité pour des marques et des magazines.
En 2012, il a publié un livre intitulé « Indonesia », qui présente une collection de ses photographies les plus remarquables de l’Indonésie, montrant la diversité culturelle et géographique du pays. En 2015, il a lancé un projet appelé « Invisible People », qui met en lumière la situation difficile de certains groupes de la société indonésienne, tels que les enfants des rues et les travailleurs migrants.
En plus de ses projets personnels, Rarindra Prakarsa travaille également avec des marques et des entreprises pour créer des campagnes publicitaires et des projets de photographie de mode. Parmi ses clients figurent des marques internationales telles que Canon, Nokia, Samsung, et Marie Claire.
Rarindra Prakarsa a collaboré avec de nombreuses marques et entreprises au fil des ans pour des projets de photographie de mode, de publicité et de marketing. Parmi les marques internationales avec lesquelles il a travaillé, on peut citer :
Canon
Nokia
Samsung
LG
Nike
Adidas
Marie Claire
Elle
Cosmopolitan
Il a également travaillé avec des marques et des entreprises locales indonésiennes, notamment :
Aqua
Indosat
BCA
Garuda Indonesia
Les projets de photographie pour ces marques comprennent des campagnes publicitaires, des photographies de produits, des portraits de personnalités et des projets de mode.
Rarindra Prakarsa, ses publications
Rarindra Prakarsa a publié plusieurs livres de photographie. En voici quelques exemples :
« Rarindra Prakarsa: Illuminating Journey » (2014) : Ce livre présente une sélection de photographies de Rarindra Prakarsa prises au cours de ses voyages à travers l’Indonésie. Il comprend des images de paysages naturels, de scènes de la vie quotidienne, de portraits, etc.
« Rarindra Prakarsa: Inspired by Light » (2017) : Ce livre rassemble une série de photographies de Rarindra Prakarsa prises au cours de ses voyages en Indonésie et à l’étranger. Les images sont principalement axées sur les paysages, les portraits et les scènes de la vie quotidienne.
« Rarindra Prakarsa: Luminous Journey » (2019) : Ce livre présente une sélection de photographies de Rarindra Prakarsa prises dans différents endroits d’Indonésie. Il met en avant le travail de l’artiste sur la lumière et l’utilisation de celle-ci pour créer des images dramatiques et poétiques.
Ces livres offrent aux lecteurs un aperçu de l’esthétique de Rarindra Prakarsa, de son style de photographie, ainsi que de son travail sur la lumière et l’atmosphère.
Rarindra Prakarsa, ses expositions
Rarindra Prakarsa a participé à plusieurs expositions de photographie en Indonésie et à l’étranger. Voici quelques exemples d’expositions auxquelles il a participé :
« Luminous Journey » : une exposition solo de photographies de Rarindra Prakarsa qui a eu lieu à la galerie Dia.Lo.Gue à Jakarta en 2019. L’exposition présentait une sélection d’images mettant en avant le travail de l’artiste sur la lumière et l’atmosphère.
« Asia Photo Festival » : une exposition de photographies qui a eu lieu à Pingyao en Chine en 2017. Rarindra Prakarsa a été invité à présenter son travail aux côtés d’autres photographes asiatiques renommés.
« Indonesia Through the Lens » : une exposition de photographies indonésiennes qui a eu lieu au Musée national de Singapour en 2016. Rarindra Prakarsa a été sélectionné pour présenter son travail aux côtés d’autres photographes indonésiens.
Ces expositions ont permis à Rarindra Prakarsa de présenter son travail à un public plus large et de faire connaître son esthétique poétique et atmosphérique.
Rarindra Prakarsa, son interview
Prakarsa nous a donné un aperçu de son flux de travail et nous a donné quelques conseils pour capturer ses faisceaux lumineux cinématiques bien connus lors de ses prises de vue en extérieur:
D’où vient cette obsession pour la lumière?
La lumière est venue de moi. J’aime toujours voir la lumière du matin et de l’après-midi. Je ne sais pas depuis que j’aime tellement cette belle lumière, mais je pense que c’est depuis que j’ai appris la photographie pendant mes études. Pendant mes études de graphisme, j’ai visité l’ambassade des Pays-Bas à Jakarta, à quelques pas de mon collège, et il s’est avéré qu’il y avait une exposition de peinture.
Les photos étaient si belles pour moi et très uniques en termes d’éclairage. Toutes les photos concernaient l’Indonésie (en particulier Bali), mais ont été peintes par un peintre non indonésien. A cette époque, j’ai trouvé le nom du peintre: Walter Spies. Un peintre allemand qui a vécu en Indonésie de 1930 à 1940.
Ce travail a vraiment changé ma vision de l’éclairage et de ma vision du paysage indonésien. L’autre chose qui a vraiment changé la façon dont je vois la lumière est le film Le dernier empereur de Bernardo Bertolucci. Il montre une très belle lumière, surtout la lumière intérieure.
Comment obtenez-vous cette «sensation de studio» dans votre travail?
J’utilise des appareils « ordinaires ». Rien de spécial. Un Canon 5d Mark III et un Sony A7 avec des objectifs grand angle au téléobjectif et quelques flashs et diffuseurs. Vous êtes connu pour avoir adopté Photoshop comme partie intégrante de votre flux de travail. Quand savez-vous que votre post-traitement est allé trop loin? Je dirais que Photoshop n’est pas si important pour moi.
L’éclairage est beaucoup plus important. De nombreuses personnes (généralement des étudiants / participants) pensent que Photoshop est essentiel pour créer un tel sentiment.
Mais ils sont toujours surpris quand ils regardent mes fichiers bruts ou regardent l’écran LCD de mon appareil photo. Je ne nierai pas que Photoshop est important pour corriger, dramatiser et changer les couleurs / tons. Malheureusement, Photoshop ne peut pas changer la direction de la lumière.
Comment vous placez-vous par rapport au soleil?
La clé est de vous placer en diagonale, peut-être à 45 degrés, que ce soit derrière ou devant le soleil. Cela crée vraiment plus de dimension à soumettre. La prochaine chose à prendre en compte est la qualité et la quantité de lumière solaire avec laquelle nous souhaitons toucher le sujet. Pouvez-vous nous donner quelques conseils pour créer de telles atmosphères? Utilisez-vous des machines à brume ou quelque chose du genre?
La lumière du matin et de l’après-midi est toujours utile pour créer des images plus spectaculaires et spectaculaires. Surtout quelques minutes après le lever et le coucher du soleil. Ayez toujours vos lumières artificielles à portée de main, que vous les utilisiez ou non. Dans les deux cas, 70% de mes photos utilisent de la lumière artificielle. Une machine à fumée (machine à fumée) ou toute fumée / poussière de la nature peut mieux accentuer votre motif. Vous perdez quelques détails en arrière-plan, mais cela crée un « aspect magique » dans vos photos.
Qu’est-ce qu’un étudiant peut attendre de vos ateliers? Avez-vous pensé à les développer pour les cours en ligne?
Je m’attends à ce que mes élèves comprennent mieux comment la photographie fait partie de l’art. Telle est la mentalité de base. Vous devez donc enrichir votre sens artistique. Cette idée est tout. Ce que j’enseigne habituellement (et ce qu’ils veulent) ne concerne que deux choses: l’éclairage et le post-traitement.
Certains sujets supplémentaires sont la composition et la pose. Je pensais à un cours en ligne. Cependant, je comprends que les gens dépensent plus d’argent pour des cours hors ligne, donc c’est difficile. J’ai récemment commencé à prendre des cours privés sur Skype.
Ce que j’ai vu, c’est que la plupart des gens veulent combiner études photo et voyages. Ils apprennent et expérimentent en même temps. Pour cette raison, de nombreux étudiants viennent apprendre et demander des excursions et des ateliers.
Quelles sont les astuces rapides que n’importe qui peut appliquer, quel que soit l’appareil photo utilisé, pour améliorer la photo de son profil sur les réseaux sociaux?
Une petite LED, des flashs rapides ou un petit réflecteur peuvent vraiment rendre les images très différentes. Vous pouvez trouver des informations sur les ateliers et les cours Skype de Rarindra Prakarsa sur son site Web ou lui envoyer une question sur sa page Facebook et sur Instagram .
Henri Cartier Bresson est né en 1908. Il prend ses premières photos en 1930 en Côte d’Ivoire, puis en Espagne, en Italie, au Mexique et au Maroc. En 1947, il fonde l’agence Magnum avec Robert Capa, entre autres. Il est décédé à l’âge de 96 ans en 2004. Henri Cartier Bresson est un photographe de légende.
« La photo, c’est la concentration du regard. C’est l’œil qui tourne inlassablement, toujours prêt, à l’affût . La photo est un dessin immédiat. Elle est question et réponse. »
Henri Cartier Bresson photos célèbres.
Henri Cartier-Bresson est un photographe et cinéaste français connu pour être le pionnier de la photographie de rue. Ses images en noir et blanc sont parmi les plus emblématiques du monde de la photographie, dont certaines présentent de grands moments politiques du XXe siècle. Henri Cartier Bresson , surnommé l’Œil du siècle, a un œil artistique exceptionnel. Il photographie de manière réaliste des scènes de rue et des scènes de la vie quotidienne. Son cadrage est toujours impeccable, de sorte qu’il n’a plus à recadrer ses photos par la suite.
Il invente le terme «instantané» ou «moment décisif», titre de son livre publié en 1952. « Moment décisif » décrit ce moment précis ou le photographe décide de prendre une photo. « Prendre une photo c’est reconnaître en une fraction de seconde à la fois le fait lui-même et la capacité d’organiser les formes visuellement perçues qui lui donnent un sens », explique-t-il. Né le 22 août 1908 à Chanteloup en Seine-et-Marne, Henri Cartier Bresson étudiera la peinture avec André Lhote avant de devenir photojournaliste dans les années 1930.
Ces photos sont présentées dans tous les cours d’introduction à la photographie pour inspirer leur fonctionnement. Peut-être que ce nom ne vous dit rien pour le moment, mais vous reconnaîtrez probablement certaines de ces photos.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
« Sans émotion, s’il n’y a pas de choc, si vous ne répondez pas à cette sensibilité, vous ne devriez pas prendre de photo. C’est l’image qui nous fait. C’est ainsi qu’Henri Cartier Bresson perçoit la photographie. Toute son existence a été façonnée par la recherche de la photo parfaite au bon endroit au bon moment.
Inspiré du mouvement surréaliste, le Chanteloup-en-Brie, né à Paris, a pris le cubisme d’André Lhote et le réalisme dialectique de Jean Renoir pour façonner la jambe de son photographe. Leica de Cartier-Bresson a capturé des moments clés de l’histoire du XXe siècle, de la libération de Paris en 1944 à la crise de Cuba pendant la guerre froide, y compris la mort de Gandhi. L’homme est toujours célèbre pour son travail de photojournaliste, notamment sous la bannière de Magnum Photos, une coopérative photographique qu’il a cofondée, même si son travail personnel a certainement façonné sa légende.
Une époque proche du Parti communiste français dans les années 1930, sans en faire partie, HCB a défendu des questions qui lui tiennent à cœur, comme la situation au Tibet. Voici les dix étapes importantes de la vie d’un homme qui a été témoin de son temps.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson: 22 août 1908.
Henri Cartier Bresson est né à Chanteloup-en-Brie, petite ville à une quarantaine de kilomètres à l’est de Paris. Ce fils qui est attiré par l’art, en particulier la photographie, le dessin,refuse catégoriquement de se charger des affaires paternelles. HCB s’est d’abord tourné vers la peinture et aiguisé son œil créatif sur les ordres du peintre cubiste André Lhote, qui était également graveur, sculpteur ou même théoricien de l’art.
Henri Cartier Bresson : 1930.
Après diverses rencontres qui le caractérisent comme André Lhote et lui font découvrir la photographie (Max Ernst, André Breton, Gretchen et Peter Powell),Henri Cartier Bresson se rend en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Togo, découvrir le Soudan. Le jeune de 22 ans aime voyager. Au cours de ce voyage, il a produit son premier reportage, Impressions d’Afrique.
Henri Cartier Bresson: 1933.
Entre deux voyages, Henri Cartier Bresson visite l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires présidée par Louis Aragon. Cette association proche du parti communiste rassemble des artistes et des penseurs séduits par le courant marxiste. Il se liera d’amitié avec Robert Capa et David Seymour, deux photographes avec lesquels il a fondé Magnum Photos. Il a travaillé pour le journal Ce Soir, fondé par le PCF en 1937 et dirigé par Aragon.
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Henri Cartier Bresson: 1937.
Henri Cartier Bresson épouse Ratna Mohini, une danseuse indonésienne qui lui fait découvrir l’Asie et la danse. Ces deux points inspireront son travail sur le mouvement du corps dans l’espace. Il est allé de 1937 à 1940 pour toucher le cinéma alors qu’il était élève de Jean Renoir, le deuxième fils du peintre Auguste Renoir.
Henri Cartier Bresson: 1947.
Après la Seconde Guerre mondiale, quand il a été capturé par l’armée allemande – son militantisme envers le PCF lui a certainement servi – Henri Cartier Bresson était cofondateur de Magnum Photos. L’objectif est de couvrir des événements importants à travers le monde avec le désir d’une totale liberté d’expression. Le Français entre dans le photojournalisme. Son premier rapport au nom de cette coopérative l’a amené à rencontrer Gandhi. Toujours au bon endroit au bon moment, HCB reçoit la dernière interview du père de la nation indienne avant sa mort, qu’il soignera.
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Henri Cartier Bresson: 1948.
Henri Cartier Bresson décide de se rendre en Chine pour onze mois. La situation tendue entre les forces de Mao Zedong et du général Chiang Kai-shek offrira une fois de plus au photographe un moment de l’histoire. Le communiste chinois est repris de Pékin à Nanjing au sud de la capitale. Quelques années plus tard, en 1955, Henri Cartier-Bresson a vécu les bouleversements de la mort de Staline au cœur du bloc soviétique. Ces reportages photo assureront sa renommée dans le monde du journalisme.
Henri Cartier Bresson: 1969.
Après divers voyages – notamment à Cuba lors de l’avènement de Fidel Castro – Henri Cartier Bresson enregistre les manifestations de mai 1968 avec son film. Il traverse ensuite la France et publie Vive la France, l’une de ses célèbres œuvres photographiques humaines et mécaniques, pour n’en citer qu’une. Il y a la fameuse Fotorue de Vaugirard à Paris pendant le mois de soulèvement étudiant « Profitez sans obstacle ».
Henri Cartier Bresson: 1972.
Henri Cartier Bresson est marié une deuxième fois à Martine Franck et père d’une petite Mélanie. Il freine et quitte Magnum Photos. Il préfère désormais sa vie de famille et se démarque de la nouvelle vague de photojournalistes de la coopérative. Puis il devient professeur. Il est décédé dans les Alpes-de-Haute-Provence en 2004 et a laissé un bel héritage dans la photographie et le journalisme.
Henri Cartier Bresson: 1974
En 1974, Bresson se détache de l’agence Magnum Photos et renonce à sa qualité d’associé, mais laisse l’agence la gestion de ses archives. Il se consacre alors au dessin.
Henri Cartier Bresson meurt en 2004 à Montjustin en Provence.
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Eric CANTO Photographe : Photos de concertS, portraits, pochettes d’albumS.
Bonus : 10 choses que nous apprend Henri Cartier-Bresson
1. L’art de la géométrie
Si vous regardez le travail d’Henri Cartier-Bresson, il a appliqué la géométrie à ses images de manière poétique. Si vous regardez la composition de ses images, il a intégré à son avantage les lignes verticales, horizontales et diagonales, les courbes, les ombres, les triangles, les cercles et les carrés. Il a également accordé une attention particulière aux cadres.
Ne voyez pas seulement le monde tel qu’il est, recherchez les formes et la géométrie qui se produisent également naturellement. Ouvrez votre esprit et divisez votre environnement en différents éléments formels. Recherchez les lignes qui peuvent conduire à vos sujets ou les carrés qui peuvent encadrer votre image. Devenez poétique avec vos images et intégrez des acteurs et des scènes intéressants lorsque vous sortez en tournage.
2. Le Voyage
Henri Cartier-Bresson a parcouru le monde et tourné dans des endroits comme l’Inde, toute l’Europe, les États-Unis, la Chine et l’Afrique. Quand il a voyagé à travers le monde, il a pu capturer une tranche de vie différente et en apprendre davantage sur la population locale avec laquelle il était. Par exemple, quand il tournait en Inde, il y est resté environ un an et s’est plongé dans la culture.
3. La patience du photographe
Quand Henri Cartier-Bresson parlait de «Le moment décisif», il a dit que parfois ce serait spontané, mais parfois il fallait être patient et l’attendre. Quoi qu’il en soit, il était très méthodologique lorsqu’il sortait et photographiait, et ne conservait ses images que si chaque élément de son image (les gens, le fond, le cadrage et la composition) était parfait.
Lorsque vous prenez des photos et que vous voyez des scènes fascinantes, attendez que la bonne personne passe pour terminer votre image. Bien que vous ne vouliez pas camper pendant des heures pour attendre le bon moment, faites preuve de patience. Vous n’avez pas toujours besoin de sortir et de rechercher des opportunités de photos. Laissez-les venir à vous.
Bien qu’il soit bon de prendre des photos de rue dans votre jardin, il est bon de voyager aussi souvent que possible. Explorez différents pays et cultures, et cela vous aidera à inspirer votre photographie et à ouvrir les yeux.
4. L’objectif 50mm
Bien qu’Henri Cartier-Bresson photographiait avec plusieurs objectifs différents alors qu’il travaillait pour Magnum, il ne shootait qu’avec un 50 mm s’il shootait pour lui-même. En étant fidèle à cet objectif pendant des décennies, l’appareil photo est devenu véritablement «une extension de son œil».
Appliquez la même mentalité lorsque vous sortez et tirez. Utilisez différentes longueurs focales pour voir le monde différemment et à expérimenter, mais en fin de compte, rester avec une seule distance focale vous aidera à consolider votre vision artistique. Vous pourrez voir des lignes de cadrage naturelles dans votre vie quotidienne et savoir exactement comment vos photos apparaîtront lors de la prise de vue sous certains angles et distances.
5. Les photos d’enfants
L’une de mes photos préférées d’Henri Cartier-Bresson est ce petit garçon portant deux bouteilles de vin sous les bras, avec le sourire triomphant d’un champion. Quand j’ai vu l’image pour la première fois, elle m’a frappé au cœur, car elle me rappelait ma propre enfance. Henri Cartier-Bresson était un maître dans la prise de photos d’enfants dans leur état ludique naturel, créant des images qui transmettent une belle nostalgie à ses téléspectateurs.
De nos jours, il est incroyablement difficile de photographier des enfants. Cependant, les enfants sont d’excellents sujets à photographier en matière de photographie de rue. D’après mon expérience, j’ai remarqué que cela ne les dérange pas d’être devant la caméra et l’ignore souvent. Par conséquent, vous pouvez capturer leur véritable essence: ludique, curieuse et souvent espiègle.
6. Ne recadrez pas
Henri Cartier-Bresson était farouchement opposé au recadrage. Il pensait que chaque fois que vous preniez une photo, cela devait toujours être fait à huis clos. Si son cadrage ou sa composition était un peu décalé, il ignorerait l’image.
Cependant, à titre de mise en garde, l’une de ses photos les plus célèbres (l’homme sautant) a été recadrée, car Henri Cartier-Bresson a dit qu’il devait le photographier en regardant à travers une clôture.
Bien que ma philosophie personnelle soit un peu plus laxiste sur le recadrage, je pense toujours qu’il est préférable que vous puissiez réaliser votre photographie de rue sans recadrage. Si vous recadrez trop souvent, vous devenez paresseux avec votre cadrage lorsque vous photographiez, ce qui nuira à votre vision photographique.
7. La discrétion
Lorsque Henri Cartier-Bresson photographiait dans les rues, il restait aussi discret et discret que possible. J’ai même lu qu’il couvrirait son Leica chromé avec du ruban noir et même parfois avec un mouchoir pour le rendre moins visible quand il photographiait. La plupart des images qu’il a capturées sur ses sujets étaient inconscientes de la caméra, et donc vraiment sincères.
Si vous souhaitez photographier de la même manière, portez des vêtements qui se fondent dans votre environnement et travaillent rapidement et ne s’attardent pas. Si vous voyez des vidéos de tournage d’Henri Cartier-Bresson, vous pouvez voir qu’il a la dextérité d’un félin et qu’il est assez agile et rapide. Si vous voyez une scène que vous souhaitez capturer, portez rapidement votre appareil photo à votre œil et avancez avant que quiconque ne vous remarque.
8. Voir le monde comme un peintre
Avant qu’Henri Cartier Bresson se lance dans la photographie, il s’intéresse d’abord à la peinture. Une fois que HCB a découvert la photographie, il a appliqué la même esthétique de la peinture classique à ses images. Pour HCB, la composition était essentielle, et ses images reflètent celle des peintres romantiques avant lui. Assez intéressant quand il était beaucoup plus âgé, il a en fait dénoncé la photographie et concentré le reste de sa vie sur le dessin.
Afin de devenir un meilleur photographe de rue, étudiez le travail des peintres. Découvrez comment ils utilisent le cadrage, la composition, les personnes et les scènes. Un peintre que je trouve absolument fascinant est Edward Hopper, qui était essentiellement un photographe de rue armé d’un pinceau. Ne vous contentez pas de limiter votre inspiration dans les livres de photographie, explorez également d’autres formes d’art classique, moderne, surréaliste et abstrait.
9. Ne vous inquiétez pas du traitement
Bien qu’ Henri Cartier Bresson ait su traiter et développer son propre film, il ne l’a jamais fait seul. Il sortait, photographiait et envoyait ses photos à des personnes en qui il avait confiance, qui les développeraient pour lui. Cela lui a donné un énorme avantage, car cela lui permettrait de passer moins de temps dans la chambre noire et plus de temps à photographier.
À l’ère moderne et numérique, les photographes sont trop préoccupés par le post-traitement. Si vous prenez une mauvaise photo, aucune quantité de « photoshopping » ne peut l’améliorer.
10. Toujours chercher plus
Henri Cartier Bresson n’a jamais eu beaucoup d’attachement émotionnel à ses images. Dans un documentaire, les intervieweurs ont essayé de le surprendre en imprimant et en lui montrant tout son travail classique et antérieur sur les murs de la galerie où ils l’interviewaient. Cependant, HCB les a regardés avec peu d’intérêt et leur a dit qu’une fois qu’il aurait pris une photo, il irait simplement de l’avant et chercherait la photo suivante.
Il n’y a pas de magie dans l’image. La photo est magique. Dans sa capacité à capturer un instantané et à nous la servir. La caméra est une boîte magique qui génère une certaine fascination. Mais la photographie est technique. Il demande des compétences d’apprentissage. Le génie créatif et l’intuition ne fonctionnent qu’avec un grand travail.
Si vous avez un grand portefeuille d’images, essayez d’obtenir des images encore meilleures. Ne devenez pas satisfait et complaisant. Cherchez toujours la grandeur.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Henri Cartier-Bresson (1908-2004) était un photographe français considéré comme l’un des pionniers de la photographie moderne. Il était également connu pour sa contribution au développement du photojournalisme, un genre qui utilise la photographie pour raconter des histoires d’actualité.
2. Qu’est-ce que l’instant décisif ?
L’instant décisif est une notion clé dans la photographie d’Henri Cartier-Bresson. Il s’agit du moment précis où le photographe doit appuyer sur le déclencheur pour capturer une image qui raconte une histoire ou exprime une émotion. Selon Cartier-Bresson, c’est ce moment qui rend une photographie unique et précieuse.
3. Quel est le style photographique d’Henri Cartier-Bresson ?
Le style photographique d’Henri Cartier-Bresson était basé sur l’utilisation d’une caméra Leica 35mm, qui lui permettait de capturer des images spontanées et non posées. Ses photographies étaient souvent en noir et blanc et se caractérisaient par une composition précise et équilibrée.
4. Quels sont les sujets photographiques préférés d’Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson était connu pour sa capacité à capturer des moments de la vie quotidienne, notamment dans les rues des grandes villes comme Paris, New York et Bombay. Il a également photographié des personnalités célèbres comme Pablo Picasso, Marilyn Monroe et Mahatma Gandhi.
5. Quelle est l’influence d’Henri Cartier-Bresson sur la photographie moderne ?
Henri Cartier-Bresson est considéré comme l’un des photographes les plus influents de tous les temps. Son style photographique spontané et non posé a influencé de nombreux autres photographes, ainsi que les mouvements artistiques tels que le surréalisme et le nouveau réalisme.
6. Quels sont les livres les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson ?
Parmi les livres les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson figurent « Images à la sauvette » (1952), « Les Européens » (1955) et « D’une Chine à l’autre » (1956). Ces livres ont contribué à établir sa réputation de photographe de renom.
7. Quelles sont les expositions les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson a eu de nombreuses expositions à travers le monde tout au long de sa carrière. L’une des plus célèbres est l’exposition rétrospective organisée par le Museum of Modern Art de New York en 1947, qui a permis de faire découvrir son travail au public américain.
8. Comment Henri Cartier-Bresson a-t-il contribué au photojournalisme ?
Henri Cartier-Bresson a contribué au développement du photojournal
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isme en créant, avec Robert Capa et d’autres photographes, l’agence Magnum Photos en 1947. Cette agence était destinée à permettre aux photographes de garder le contrôle sur leur travail et de garantir leur indépendance vis-à-vis des magazines et journaux qui achetaient leurs images. Magnum Photos est devenue l’une des agences de photographie les plus respectées au monde, représentant des photographes de renom tels que Elliott Erwitt, Susan Meiselas et Martin Parr.
9. Quels sont les prix et distinctions reçus par Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson a reçu de nombreuses distinctions tout au long de sa carrière, notamment le prix de la Fondation Hasselblad en 1982 et le prix international de la Fondation de la culture japonaise en 1987. En 1981, il a été nommé commandeur de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française.
10. Quel est l’héritage d’Henri Cartier-Bresson dans le monde de la photographie ?
L’héritage d’Henri Cartier-Bresson est immense et continue d’inspirer de nombreux photographes à travers le monde. Son style photographique a influencé des générations de photographes, tandis que son engagement en faveur du photojournalisme a permis de montrer au monde entier les réalités souvent difficiles et complexes de notre monde. En tant que co-fondateur de Magnum Photos, il a également contribué à promouvoir la liberté et l’indépendance des photographes, garantissant ainsi que leur travail pourrait être vu et apprécié pour les générations à venir.